Consterné, Elie Wiesel, la larme à l’œil, se rend compte que tout est maintenant révisé, à commencer par lui-même. La pancarte qu’il lui faut porter indique : « Je suis Faurisson ». Faurisson a beaucoup écrit sur le personnage et notamment, en 1986, un article intitulé Un grand faux témoin : Elie Wiesel.

Dans un coin à gauche, on notera la présence du numéro matricule qu’Elie Wiesel prétendait avoir été le sien à Auschwitz et qui, vérification faite, s’est révélé être celui d’un Lazar Wiesel. Une belle usurpation d’identité !

Ceux qui désirent « faire quelque chose pour le révisionnisme » pourraient peut-être, à leurs heures perdues, procéder à des envois ou à des affichages de cette caricature soit en couleurs, soit en noir et blanc.

Même un Pierre Vidal-Naquet dénonçait l’imposteur :

Élie Wiesel […] raconte n’importe quoi […] Il suffit de lire certaine description de La Nuit pour savoir que certaines de ses descriptions ne sont pas exactes et qu’il finit par se transformer en marchand de Shoah… Eh bien lui aussi porte un tort, et un tort immense, à la vérité historique (Pierre Vidal-Naquet, mensuel Zéro, interview recueillie par Michel Folco, avril 1987, p. 57).

31 octobre 2016

http://robertfaurisson.blogspot.be/2...larme-lil.html