Ci-dessus, ces deux caricatures illustrent la tyrannie qu’exerce la religion de ce prétendu « Holocauste » des juifs, parfois également appelé « Shoah ». La première caricature, sous-titrée « SERVILITÉ », nous montre Benyamin Nétanyahou qui, avec le sourire d’un homme sûr de son fait, glisse à Angela Merkel : « Il me faut plus de sous-marins d’attaque Dolphin … ». A quoi la chancelière d’Allemagne s’empresse de répondre : « Oui, mon Maître ». La seconde caricature, sous-titrée « SOUMISSION », montre une jument (?), représentant « La France » ; attachée à une chaise en plastique, la bête pourrait d’une simple ruade se libérer de son entrave, mais elle est comme paralysée par une inscription entourée d’étoiles juives et portant les mots de « Loi Gayssot ». Trop d’êtres humains se comportent comme cette malheureuse bête. Ils ignorent que « Souvent, les limites et les “lois” qui nous sont imposées sont plus mentales que (réelles et) physiques ». Ils devraient se rebiffer.


Parue au Journal officiel de la République française du 14 juillet 1990, jour anniversaire d’une célèbre proclamation de la Liberté d’opinion et d’expression pour tous les Français, la « loi Gayssot » punit d’une année d’emprisonnement et d’une amende allant jusqu’à 45 000 euros (sans compter bien d’autres peines) celui qui conteste l’existence d’un ou plusieurs « crimes contre l’humanité » tels que définis et châtiés en 1945-1946 par le Tribunal militaire international (TMI), où les vainqueurs se sont arrogé le droit de juger leurs vaincus dans des conditions totalement contraires aux exigences normales de la justice (voyez Nouveau retour sur Katyn à Nuremberg, 17 septembre 2012).


« Gayssot » est le nom d’un député du Parti communiste français. En réalité, les véritables auteurs d’une telle loi ont plutôt été le rabbin René-Samuel Sirat et surtout Laurent Fabius, un député socialiste d’origine juive et riche à millions. Cette loi a été exigée pour forcer les magistrats de France à condamner mes écrits sur les chambres à gaz « nazies ». En effet, par un arrêt du 26 avril 1983, la Première chambre de la Cour d’appel de Paris, tout en me condamnant, avait rendu un hommage appuyé à la qualité de mes travaux sur le sujet.


Pour en revenir à la première caricature, il suffira de chercher « Dolphin » sur Internet pour découvrir qu’il s’agit là du nom d’un type allemand de sous-marin d’attaque pour armes conventionnelles. L’Etat hébreu s’en est fait livrer cinq qui ont été adaptés pour recevoir, en Israël, des ogives nucléaires. Les deux premiers « Dolphin » ont été livrés gratuitement (!) et les suivants ont été facturés soit avec une remise de 50%, soit au prix réel. L’Allemagne a ainsi accordé aux Israéliens un double droit qu’elle se refuse à elle-même : celui de se protéger avec une arme nucléaire et de tuer avec cette « arme de destruction massive ».


Par l’aide scandaleuse qu’elle a ainsi apportée à l’Etat d’Israël, A. Merkel a contribué à l’accroissement d’un risque nucléaire dont son visage porte le stigmate.


NB : Je dois ces deux caricatures à Ahmed Rami qui, résidant à Stockholm, y déploie, en particulier, une intense activité révisionniste en de multiples langues, dont le français, à http://abbc.net/islam/french/french.htm.


9 avril 2017