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View Full Version : Un jeune échevin chassé de son parti pour révisionnisme



microrobert
10-27-2014, 03:32 PM
Un jeune échevin chassé de son parti pour révisionnisme


Dans les années 1980, je m'étais permis de lancer la formule : "Les chambres à gaz, c'est du bidon".


Le 16 février 1990, Olivier Mathieu, d'origine belge, lors d'une émission de Christophe Dechavanne, "Ciel, mon mardi !" avait courageusement lancé : "Faurisson a raison : les chambres à gaz, c'est du bidon". Il avait été sévèrement rossé en direct et dans les coulisses par des amis de Jean-Pierre Pierre-Bloch et des membres du Bétar, tous invités par C. Dechavanne. Son amie avait également été frappée ; hospitalisée, elle avait avorté.




http://www.youtube.com/watch?v=RG0ME5Y8Se0


La formule a été récemment scandée à Paris par un groupe de manifestants sur les Champs-Elysée.


Cette fois-ci, elle vient d'être reprise par le Belge Thierry Van De Plas, échevin de la commune de Kraainem (région de Bruxelles). Sur plainte de la "Ligue belge contre l'antisémitisme", le "Comité déontologique" (sic) du "Centre démocrate humaniste" (sic), se réclamant de la pensée d'Emmanuel Mousnier (sic), a exclu de ses rangs le jeune téméraire qui venait de confirmer qu'il était bien révisionniste, qu'il avait étudié la question des chambres à gaz nazies, qu'il s'était rendu à Auschwitz, qu'il avait rencontré Faurisson (ce que je confirme), etc. Aux dernières nouvelles, contrairement à d'autres qui après un premier moment d'audace et de franchise ont pris peur et abandonné le combat, le jeune ingénieur ne s'est pas renié. Affaire à suivre !


http://www.dhnet.be/actu/belgique/elu-cdh-exclu-pour-propos-negationnistes-j-ai-deconne-544dd8673570a5ad0ede3d98


RF




Dans mon précédent message, je concluais en écrivant : "Aux dernières nouvelles, contrairement à d'autres qui après un premier moment d'audace et de franchise ont pris peur et abandonné le combat, le jeune ingénieur ne

s'est pas renié. Affaire à suivre !"

Je disais bien "aux dernières nouvelles", ce qui impliquait "jusqu'à nouvel ordre" ; et j'ajoutais "affaire à suivre".

Or j'apprends qu'aux toutes dernières nouvelles il vient de se renier.

Nulle surprise, à vrai dire. Tant d'autres ont été pris de venette au premier méchant coup de vent. Et tant d'autres ont craqué au bout de plusieurs années. C'est qu'il est périlleux le grand voyage au bout de la nuit sur la galère révisionniste.

Le voilà qui se révèle marin d'eau douce. Le voilà qui, par sa propre faute, se trouve aujourd'hui pris dans une situation encore pire que s'il avait maintenu le cap. Il nous dit qu'il a, PAR LE PASSÉ, "déconné" ; erreur: il est, AUJOURD'HUI, pris d'une peur panique, qui se comprend. Elle est millénaire. En latin, elle s'appelle "metus Judaeorum" : "la peur des juifs" avec son mélange vicieux de génitif subjectif (la peur qu'éprouventles juifs) et de génitif objectif (la peur que provoquent les juifs).

Experto crede Roberto.

Affaire à suivre (bis).

Robertus Faber