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View Full Version : Le faux témoin Elie Wiesel de plus en plus contesté



microrobert
10-18-2011, 01:42 PM
Le faux témoin Elie Wiesel de plus en plus contesté

Sur le site de l’Américain Bradley Smith, fondateur du CODOH (Comité pour un débat public sur l’Holocauste), un article de l’un de ses précieux contributeurs: Carolyn Yeager.

http://www.medialibre.eu/monde/le-faux-temoin-elie-wiesel-de-plus-en-plus-conteste/10572

microrobert
04-01-2013, 12:48 PM
Bradley Smith ne lâche pas les universités


Voici le courriel que le toujours intrépide révisionniste américain Bradley Smith a adressé le 27 mars aux étudiants et membres de la faculté de la Kent State University (KSU) (traduction rapide):

http://forum.codoh.com/viewtopic.php?f=2&t=7742#sthash.JWmwXBCo.dpbs

Le Comité de rédaction
The Daily Kent Stater
Kent State University

Ceci est un message de félicitations adressé au Comité:

Le 17 mars j'ai mis en ligne un commentaire se rapportant à la préparation, par la section des Etudes juives de la KSU, de la visite et de la conférence d'Elie Wiesel le 8 avril. Voici mon commentaire, qui est toujours en ligne:

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Dans son livre autobiographique, "La Nuit", Elie Wiesel écrit qu'en janvier 1945, alors que son père et lui étaient tous deux prisonniers des meurtriers nazis allemands à Auschwitz, leurs bourreaux leur ont demandé s'ils préféraient attendre l'arrivée imminente de leurs libérateurs soviétiques en restant dans ce camp de la mort, où un nombre considérable de juifs avaient déjà été assassinés dans des chambres à gaz, ou s'ils préféraient partir en compagnie des Nazis tueurs de juifs qui abandonnaient le camp. Au lieu d'attendre leurs libérateurs soviétiques, Elie Wiesel et son papa, après s'être concertés, choisirent de quitter le camp avec les Nazis en retraite et de se joindre à la marche de la mort en compagnie de ceux qui s'étaient investis dans l'extermination de la race juive.

Y a-t-il un seul professeur, à la Kent State University, qui estimera intéressant que les étudiants se penchent sur la signification de cette confession? Et pourquoi non?

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Je prédisais, sans le dire, que, non, il n'y aurait pas un seul professeur, à la Kent State University, pour oser préconiser un libre débat d'idées sur ce point ou sur toute autre affirmation qu'aurait faite le professeur Wiesel à propos de ses prétendues expériences à Auschwitz. Il ne s'agit pas ici d'un simple point de vue moral. Ce sont les "témoignages oculaires" d'hommes et de femmes comme Elie Wiesel qui servent à justifier moralement la conquête et l'occupation par les juifs des terres arabes en Palestine. Et c'est une décision morale aussi bien qu'intellectuelle qui a amené les universitaires de la KSU à supprimer l'étude de texte routinière de "La Nuit" d'Elie Wiesel.

Bradley Smith

Baluarte
04-01-2013, 12:55 PM
Je pense que Jean Robin a fait le constat avec le directeur du centre de la mémoire d'Auschwitz (dont le nom m'échappe), et il n'y aucun registre de Wiesel parmi les noms des prisonniers du camp.

Que des escrocs....

microrobert
04-04-2013, 04:05 PM
Bradley Smith, Elie Wiesel, Babi Yar et les étudiants de la KSU

Bradley Smith, toujours aussi intrépide, il s'est juré de ne pas laisser pontifier Elie Wiesel devant les étudiants de la Kent State University.

Il nous explique où en sont les choses (traduction rapide):


Comité pour un débat public sur l'Holocauste

NOTE: Le texte ci-après a été publié sur le site de la Kent State University en commentaire à l'article "Le cycle d'études juives consacré à l'enseignement de l'Holocauste prépare les étudiants à la visite d'Elie Wiesel".

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Ecrit par Bradley Smith, 27 mars 2013

Elie Wiesel, le chéri des professeurs de la Kent State et de la classe professorale du pays tout entier, sera invité à venir parler ici le 8 avril.

En attendant, serait-il inconvenant que les étudiants de la Kent State sachent ce qu'a écrit Elie Wiesel, disons, au sujet de Babi Yar?

Babi Yar est un ravin situé à proximité de Kiev en Ukraine. Dans ce lieu, pendant les années de l'Holocauste, les Allemands ont exécuté des citoyens soviétiques, dont certains étaient juifs, et les ont enterrés là où ils étaient tombés. Wiesel écrit qu'il existe des déclarations de "témoins oculaires" selon lesquels pendant des mois après les tueries la terre a tremblé et "des geysers de sang" ont giclé du sol.

D'accord. Alors ils sont là-bas. Ils sont morts, ils sont froids, ils sont enterrés dans la saleté, mais ils conservent la capacité unique, comme le font tant de témoins oculaires que promeut Elie Wiesel, de s'exprimer avec une imagination unique. Ils s'organisent, là-dessous, dans leur environnement noir et sans air, et, afin de s'adresser au monde pour que l'on "n'oublie jamais", ils tremblent jusqu'à ce que la terre elle-même tremble. Et ils font en sorte que leur sang traverse le sol et jaillisse dans l'air, encore et encore, là où les "témoins oculaires" auront pu voir les geysers de sang pendant des mois et des mois (littéralement) et raconter le fait à tous les crétins qui auront bien voulu les croire et qui diffuseront l'histoire partout dans le monde jusqu'à ce qu'elle parvienne à la Kent State University.

Comme je le dis, Elie Wiesel a écrit ces mots dans "Jews of Silence", un simple livre de journaliste. Si un professeur de la Kent State s'avisait d'entamer une discussion sur ce roman pourri de Babi Yar, ne se pourrait-il pas que des étudiants du campus trouvent cela instructif? Peut-être intéressant? qu'ils aient deux ou trois questions nouvelles à poser au professeur Elie Wiesel lorsqu'il se présentera pour donner sa conférence?

Elie préférerait probablement que personne ne mentionne Babi Yar.

Il peut compter sur les professeurs de la Kent State pour garder le silence.

Mais, je me demande: est-ce qu'il pourra vraiment compter sur les étudiants de la Kent State?