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View Full Version : Le dernier numéro de la revue Sans Concession est paru



microrobert
10-19-2011, 01:13 PM
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Le dernier numéro de Sans Concession est disponible.


Pour ne rater aucun numéro de Sans Concession, contactez l'adresse suivante:

vincentreynouard@yahoo.fr

microrobert
03-08-2012, 01:09 PM
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Pour commander le numéro, écrire à : sansconcession@gmx.fr.

ou à

Urbain Cairat - C. P. 1528 - CH-1820 Montreux Cx (Suisse)

Prix: 45 € (port compris).

Paiement à réception.



Dans cette livraison, une très intéressante étude de Marie Pererou sur les droits de l’homme. S’appuyant sur les textes fondateurs et, surtout, sur les déclarations d’élus de droite comme de gauche entendues lors de votes de lois liberticides, notre collaboratrice démontre que, de par leur nature, les droits de l’homme ne seront jamais appliqués aux révisionnistes de la Shoah.

Vous y découvrirez également ce qui s’est passé à Téhéran où le révisionnisme français a été honoré par le président Ahmadinejad en personne. Nous publions non seulement les comptes rendus de Robert Faurisson et de Marie Bruchet (qui représentait V. Reynouard), mais aussi les textes de leurs interventions lors de la conférence sur l’Hollywoodisme.

Vous trouverez enfin une étude passionnante de J. Graf et de V. Reynouard sur le camp de Majdanek. Les auteurs démontrent en effet que la propagande sur les « atrocités nazies dans les camps » a été forgée dès l’été 1944 par les Soviétiques, lorsqu’ils ont libéré Majdanek. Tout y était : affamement, tortures, gazages homicides, fours crématoires aux rendements délirants, effacement des traces… Ajoutons-y un mensonge net : cette histoire, « vérifiée dans tous ses détails » nous disait-on, de Léon Blum qui serait mort à Majdanek. Incluse dans la version de 1944, cette histoire fut discrètement retirée dans la version parue un an plus tard... quand Blum avait été retrouvé bien vivant !

Quoi qu’il en soit, les Anglo-américains n’ont fait que reprendre cette propagande quelques mois plus tard, lorsqu’ils ont à leur tour libéré des camps. Ils se sont contentés d’ajouter les tas de cadavres (dus aux épidémies des derniers mois de la guerre). Dès lors, pourquoi faudrait-il croire la version des alliés puisqu’elle a pour fondement la propagande soviétique aujourd’hui unanimement déconsidérée ? Grave question à poser aux « croyants »...

Voici, en exclusivité, le texte de l'éditorial:

Avec un prix décerné par l’Iran à Maria Poumier, Robert Faurisson et Vincent Reynouard, le révisionnisme français a été honoré lors que 30ème festival international de cinéma FAJR (Téhéran). C’est la récompense de nombreuses années de lutte sans concession pour la vérité en histoire. Dans cette livraison, R. Faurisson et Marie Bruchet (qui représentait V. Reynouard à Téhéran) racontent ces trois jours inoubliables passés dans le seul pays au monde dont le président a le courage de se déclarer révisionniste et de soutenir la cause des libres chercheurs.

Certes, il faut s’attendre à une réaction de nos adversaires. Au-delà des articles injurieux et calomniateurs (comme celui de Marc Knobel qui accuse R. Faurisson d’avoir reçu 120 000 € de l’Iran), gageons que la répression judiciaire va à nouveau s’abattre. C’est chose faite pour Paul-Eric Blanrue ; il vient d’apprendre les poursuites intentées contre lui pour son documentaire Un homme – Robert Faurisson (voy. son communiqué en annexe à l’éditorial).

Il est vrai que la censure, par le Conseil constitutionnel, de la récente loi punissant la contestation de tous les génocides reconnus par la France a pu faire naître des espérances. Mais ne nous leurrons pas. Dans une importante étude que nous publions ci-après, Marie Pererou étudie la nature profonde des droits de l’homme et conclut : « il est parfaitement vain de prétendre défendre les révisionnistes en invoquant les droits de l’homme. C’est totalement méconnaître la nature profonde de ces droits. Loin d’être un rempart pour la liberté d’opinion, la liberté de recherche et la liberté d’expression, ils justifient au contraire le bâillonnement des libres chercheurs en histoire. Deux siècles plus tard, l’ombre du révolutionnaire Louis Antoine de Saint-Just plane encore sur nous, parce que son cri « pas de liberté pour les ennemis de la Liberté » fonde finalement les droits de l’homme ». Rappelant une récente décision-cadre européenne qui condamne le révisionnisme, Mlle Pererou, annonce un renforcement inéluctable de la répression : à terme, les « crimes contre l’humanité » ne seront plus les seuls protégés ; la loi interdira la remise en cause des « crimes de guerre » et même des « crimes contre la paix ».

Il n’y a là rien de surprenant. Sans même parler des aspects financiers, les prolongements sociologiques et géopolitiques du mythe de l’ « Holocauste » sont tels que les défenseurs du Nouvel Ordre mondial établi en 1945 sur les ruines du IIIe Reich (ordre qui incluait la réalisation du rêve sioniste) ne peuvent accepter la moindre remise en cause du dogme shoatique. Quand on leur montre le Rapport Leuchter, c’est comme si l’on montrait à un chrétien une tombe avec le squelette du Christ à l’intérieur. Plus d’Ascension et sans doute plus de Résurrection, donc tout s’effondre. De même, sans « chambre à gaz », donc sans « Holocauste », les fondements du Nouvel Ordre mondial vacillent. Lorsque le sénateur français François Rochebloine lance ― voir l’étude de Mlle Pererou : « Il y a un trouble, une atteinte grave à la démocratie quand on nie l’existence des pratiques génocidaires. En effet, ces pratiques sont manifestement contraires aux droits de l’homme tels qu’ils sont reconnus par les sociétés civilisées et constatés dans des déclarations universelles obligatoires en droit international. En niant leur caractère de génocide, on affaiblit du même coup la portée de ces déclarations de droits et des garanties qu’elles présentent pour les citoyens. On porte ainsi atteinte à la démocratie elle-même », il pose parfaitement bien le problème. Qu’on le veuille ou non, le révisionnisme remet en cause l’ordre bâti en 1945.

Voilà pourquoi la libre recherche historique sur la période 1933-1945 sera toujours prohibée.

Elle le sera parce que, finalement, la guerre idéologique contre les fascismes continue. Dès lors, ne perdons pas notre temps à invoquer la « liberté » et les droits de l’homme. C’est parfaitement inutile. Dans cette guerre idéologique qui fait rage, recherchons les soutiens stratégiques où qu’ils se trouvent, y compris en Iran. Me répondra-t-on que notre image en pâtira ? Je rétorquerai que, depuis le début et quelles qu’aient été les stratégies adoptées, la presse aux nous a toujours décrits comme des monstres. Attendre que nos adversaires mortels brossent de nous un portrait objectif est illusoire. Par conséquent, pourquoi se gêner ? Mlle Pererou a raison de dénoncer les scrupules qui nous paralysent.

Acceptons donc les soutiens d’où qu’ils viennent et continuons notre travail pour la vérité en histoire. Nos lecteurs trouveront dans cette livraison une étude sur Majdanek ; elle démontre que la propagande sur les « atrocités nazie » a été bâtie en grande partie par les Soviétiques. Après la libération de Majdanek (été 1944), tout était déjà en place : affamement, tortures, gazages homicides… Les Alliés occidentaux ne firent que reprendre ces éléments, en y ajoutant les amoncellements de cadavres (dus aux épidémies des derniers mois).

Aujourd’hui, cette propagande communiste est largement remise en cause (affaire de Katyn notamment). Dès lors, pourquoi la propagande alliée ne devrait-elle pas l’être, par ricochet ?

L’aventure révisionniste continue. Bonne lecture à tous.