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View Full Version : Holocauste ? Ce que l'on vous cache...



microrobert
10-27-2011, 11:11 AM
Holocauste ? Ce que l'on vous cache...

Voici un URL pour le contenu de la plaquette (16 pages) qui a valu à son auteur, le scientifique français Vincent Reynouard -- père de huit enfants -- une très sévère condamnation en vertu de la loi scélérate Fabius-Gayssot : un an de prison ferme.

http://balder.org/judea/pdf/Vincent-Reynouard-Holocauste-Ce-Que-Lon-Vous-Cache.pdf

microrobert
11-04-2011, 02:28 PM
Hitler a-t-il annoncé en 1939 sont intention d’exterminer les juifs ?


Le discours d’Hitler du 30 janvier 1939


D’après la thèse officielle, dès le 30 janvier 1939, Hitler lui-même annonça son intention d’exterminer les Juifs. Dans un discours public, il déclara :

Au cas où la finance judéo-internationale des pays européens et extra-européens réussirait encore à précipiter les nations dans une guerre mondiale, celle-ci se terminerait non par la bolchévisation, et, en conséquence, par la victoire du judaïsme, mais bien par l’anéantissement de la race juive en Europe (die Vernichtung der jüdischen Rasse in Europa) (Doc. PS-2663 à Nuremberg).

L’extermination était donc déjà envisagée ; Hitler n’attendait plus que le prétexte. Et ce prétexte, il lui a été donné le 3 septembre 1939…

Cet argument pourra impressionner celui qui n’aura pas la curiosité d’aller consulter le discours en question. Car lorsqu’on prend la peine de le lire, on s’aperçoit qu’il ne contient nulle annonce d’une quelconque extermination physique. Pour saisir le sens exact du passage si souvent cité, il suffit de lire ce qui suit immédiatement. Voici ce qu’a déclaré Hitler le 30 janvier 1939 :

Au cas où la finance judéo-internationale des pays européens et extra-européens réussirait encore à précipiter les nations dans une guerre mondiale, celle-ci se terminerait non par la bolchévisation, et, en conséquence, par la victoire du judaïsme, mais bien par l’anéantissement de la race juive en Europe (die Vernichtung der jüdischen Rasse in Europa).

En effet, le temps n’est plus où les peuples non juifs étaient sans défense dans le domaine de la propagande. L’Allemagne nationale-socialiste et l’Italie fasciste possèdent à présent des institutions qui leur permettent, le cas échéant, d’éclairer le monde sur la nature d’une question dont bien des peuples ont une notion instinctive, mais qui leur paraît obscure au point de vue scientifique. Pour le moment, la juiverie peut, dans certains États, mener sa campagne avec le concours d’une presse qui est entre ses mains, du cinéma, de la radiophonie, du théâtre, de la littérature etc. Cependant, pour le cas où les juifs réussiraient à nouveau à inciter des millions d’êtres humains à une lutte insensée en ce qui les concerne, et ayant pour unique objet la défense des intérêts juifs, on verra se manifester l’efficacité d’une propagande éducatrice qui, en Allemagne même, a réussi en quelques années à terrasser la juiverie[1] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve-2.htm#_ftn1).

La dernière phrase, notamment, est capitale. Elle démontre que dans l’esprit du Führer, il n’était pas question d’un anéantissement physique par l’assassinat systématique, mais d’un anéantissement social (expulsion de la vie économique) grâce à une propagande éducatrice orchestrée en direction des goyim. C’est effectivement ce qui s’était passé en Allemagne à partir de 1935, avec les lois de Nuremberg.



Le 30 janvier 1939, Hitler exprima donc son espoir qu’en cas de guerre, bien d’autres pays excluraient les juifs de la vie socio-économique. Rien de plus…


[1] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve-2.htm#_ftnref1) Voy. la traduction du discours paru dans La Documentation Catholique, n° 895, 20 avril 1939, col. 502.

microrobert
11-04-2011, 02:30 PM
« Où sont les juifs qui avaient disparu en 1945 ? »


On ne le sait pas toujours,
mais rien ne prouve qu’ils sont morts ou qu’ils ont été assassinés…


Soixante ans après, des juifs qui se croyaient mutuellement morts en déportation se retrouvent…


Vincent REYNOUARD


Tous les juifs qui ne sont pas revenus chez eux en 1945 n’étaient pas morts pour autant

L’avis de décès que nous reproduisons est paru dans le journal belge Le Soir. Des informations données, on déduit que, très probablement, cette juive a été déportée en 1943 à Auschwitz et y est restée plus de deux ans, c’est-à-dire jusqu’à la libération du camp fin janvier 1945. Elle n’a été ni gazée, ni exterminée lentement par la faim, le froid et les coups. Soulignons également qu’originaire de Pologne, elle est morte en Belgique laissant de la famille dans ce pays ainsi qu’en Israël, en Grande-Bretagne et aux USA, mais pas en… Pologne. Nouvelle preuve, que des juifs polonais déportés et pas revenus au pays en 1945 ne sont pas pour autant des juifs morts. Un certain nombre ne sont pas revenus parce qu’ils avaient émigré ailleurs…

Encore et toujours des « survivants »

Plus on lit la presse locale ou spécialisée, et plus on « rencontre » de juifs qui, comme Dewora Korenberg, ont survécu à leur déportation à Auschwitz. Une déportation dont ils n’auraient pourtant pas dû revenir.

Paul Chytelman

Le 14 et le 25 février 2003, ainsi, l’Est Éclair a consacré deux articles à Paul Chytelman, un « homme de 80 ans dynamique et alerte » qui témoigne aujourd’hui dans les établissements scolaires. Ce juif né en Pologne en 1922 et venu plus tard en France a pourtant été déporté le 3 février 1944 à Auschwitz. Notons que, comme beaucoup d’autres, il a été arrêté non parce qu’il était juif, mais, comme il le dit lui-même, « pour actes de résistance ». Lors de sa déportation, il a connu non seulement Auschwitz, mais aussi Dora et, finalement, Bergen-Belsen, d’où il est revenu. Son témoignage est paru sous le titre Le Courage d’Espérer. Lui non plus n’a pas été exterminé alors que, d’après la thèse officielle, les Allemands auraient disposé de neuf mois et de quatre chambres à gaz pour le faire.

Ruth Klüger

Deux mois plus tard, le mensuel Page (magazine des librairies) a annoncé la sortie du livre de Ruth Klüger : Refus de témoigner. R. Klüger est également une « miraculée ». A l’âge de douze ans, cette juive de Vienne a été déportée à Theresienstadt puis « au camp d’extermination d’Auschwitz ». Elle n’y a pourtant pas été exterminée puisqu’elle est revenue de déportation avant d’émigrer aux USA deux ans plus tard[1].

Madeleine et Israël Golstein

Mentionnons également Madeleine et Israël Goldsztejn. Un couple de juifs arrêté tout comme P. Chytelman pour faits de Résistance. Tous les deux ont été déportés par le même convoi à Auschwitz, fin avril 1944. Tous les deux y ont été mis au travail (elle dans une carrière, lui à Buna-Monowitz). Tous les deux ont connu l’évacuation du camp fin janvier 1945 vers Gleiwitz. Elle s’est retrouvée à Malkoff, Schoenfeld avant d’échouer à Ravensbrück. Lui s’est retrouvé à Buchenwald et à Flossenburg. Tous les deux ont survécu, sont revenus et se sont retrouvés fin juin 1945 à Paris. Le destin des Goldsztejn, est intéressant à plus d’un titre :

- durant l’occupation, ils sont allés vivre à Lyon. Israël Goldsztejn déclare : « Je vivais à Lyon en toute légalité avec ma femme et mon enfant ». Nouvelle preuve que, sous Vichy, les juifs français n’étaient pas des bêtes traquées. Tant qu’ils se tenaient tranquilles, ils pouvaient vivre quasi normalement.

- sur invitation, I. Goldsztejn a été se présenter, avec d’autres juifs, à la préfecture. Il a été arrêté et présenté devant une commission franco-allemande. L’a-t-on envoyé dans un camps « d’extermination » avec sa femme et son enfant ? Nullement. Il a été envoyé « travailler à la construction du Mur de l’Atlantique ». Nouvelle preuve que pendant la guerre, les Allemands avaient un besoin urgent de main-d’œuvre et préféraient voir les juifs vivants que morts.

- A son arrivée à Birkenau, I. Goldsztejn a été séparé de sa femme. Par chance, il l’a retrouvée en 1945. Mais à supposer que celle-ci soit morte en déportation, lors des évacuations par exemple, gageons qu’aujourd’hui, il prétendrait qu’elle est morte dès son arrivée à Birkenau, gazées avec les autres.

« Que sont devenus les juifs manquants en 1945 ? »

Cette dernière remarque appelle d’ailleurs un développement. Quant on remet en cause le chiffre des « six millions », il n’est pas rare de s’entendre dire : « Si les juifs ne sont pas morts, que sont-ils devenus ? Certes, M. X ou Mme Y ont survécu, mais où sont passés les membres de leur famille et les amis qu’ils pleurent encore aujourd’hui ? » A chaque fois, je réponds : « Je l’ignore, mais rien ne prouve qu’ils ont été exterminés, ni même qu’ils sont morts. Dans le tourbillon de la guerre, de la déportation, des évacuation, bien des survivants ont pu se perdre de vue et ne jamais se retrouver ». Certains lecteurs du livre de Serge Thion, Vérité politique ou Vérité historique? , se souviennent peut-être de la réunion de Los Angeles de 1978 où un grand nombre de survivants avaient eu la surprise de se retrouver, alors qu’ils se croyaient mutuellement mort.

En 2003, un ancien déporté retrouve sa sœur qu’il croyait morte, avec sa mère, en déportation

Bien que peu courant, ce genre d’événement heureux n’est pas exceptionnel. C'est le sujet d'un article publié le 1er décembre 2003 par Nice-Matin. Il évoque le cas d’un ancien Polonais déporté qui, soixante ans après, a retrouvé sa sœur et appris que sa mère était morte en 1986, alors qu’il les croyait mortes en déportation.

Une quarantaine de retrouvailles grâce aux banques de données

De son côté, l’AFP diffusa le communiqué suivant :

SEATTLE (AP) - Près de 60 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, d'émouvantes retrouvailles réunissent des survivants de la déportation nazie qui désespéraient de se retrouver un jour, grâce à l'aide déterminante de banques de données informatisées et à l'ouverture des archives soviétiques.

Ces quatre derniers mois, les efforts du centre de la Croix-Rouge de Baltimore (Maryland) chargé de la recherche des disparus de la Seconde Guerre mondiale ont permis une quarantaine de ces retrouvailles.

George Gordon, 77 ans, a vécu l'une de ces improbables réunions. Ce catholique né en Pologne sous l'identité de Jerzy Budzynski, survivant du camp de Buchenwald puis chasseur de nazis pour le procès de Nuremberg, avait été informé voilà de nombreuses années de la mort de ses parents, de sa sœur et de son frère encore bébé en 1944 à Varsovie. Cet été, le centre de Baltimore lui a appris que sa mère avait en fait vécu jusqu'en 1986 et que sa sœur était encore vivante et se trouvait en Pologne.

La Croix-Rouge polonaise a ensuite retrouvé le certificat de décès de sa mère et localisé sa sœur, Krystyna Budzynska, qu'il a revue en septembre au domicile de cette dernière à Wroclaw.

« Je ne pouvais y croire », a raconté George Gordon, qui réside désormais à Seattle (Etat de Washington). « Retrouver une personne qui vous manquait depuis 60 ans, c'est tout simplement incroyable. »

Le centre de recherche de Baltimore a été créé en 1990 pour passer au crible 47 millions de documents consultables après la chute du mur de Berlin. Il a ainsi aidé à éplucher les archives de l'ex-Union soviétique, d'anciens régimes d'Europe de l'Est et de l'administration nazie.

Un millier de personnes ont ainsi pu être retrouvées mais les retrouvailles comme celle de George Gordon et de sa sœur ne sont pas si courantes. Le plus souvent, explique Elise Babbitt, porte-parole du centre, les recherches débouchent sur « des dates de décès, des noms de camps, des matricules de trains pour déportés... »

Quand bien même ces efforts n'aboutissent qu'à la découverte de papiers jaunis, « ces gens sont heureux d'apprendre quelque chose », note Tammy Kaiser, volontaire de la Croix-Rouge à Seattle qui a travaillé sur le cas Gordon. « Cela leur donne le sentiment qu'ils sont vivants et qu'on pense à eux. »

Le temps commence toutefois à manquer pour ceux qui étaient adultes dans les années 1940. Au total l'an dernier, 34 000 personnes ont contacté le Musée américain de l'Holocauste à Washington qui échange ses informations avec le centre de la Croix-Rouge.

Internet est aussi d'une grande aide. Plusieurs personnes ont pu être retrouvées grâce au moteur de recherche anybirthday.com, indique Elise Babbitt […].

Un frère et une sœur se retrouvent

Une semaine plus tard, le 23 décembre, la Jewish Telegraphic Agency a annoncé d’autres retrouvailles, celles d’un frère et d’une sœur qui vivaient en Israël mais qui se croyaient mutuellement morts dans l’ « Holocauste ». Sous le titre : « Holocauste: d’émouvantes retrouvailles », on lit :

Deux enfants que l’Holocauste avait séparés et qui vivaient en Israël se sont retrouvés après plus de 65 ans. Beniamin Shilom et sa sœur Rozia November se sont rencontrés samedi grâce à la liaison établie entre eux par le Mémorial de l’Holocauste de Yad Vashem. Chacun était persuadé que l’autre avait péri dans l’Holocauste. B. Shilom avait survécu à la guerre et servi dans l’armée soviétique, tandis que R. November avait survécu à Auschwitz. « Je n’arrive pas à croire que j’ai un frère », a-t-elle déclaré lundi au New York Times après sa rencontre avec Shilom. « C’est impossible. »

Combien d’autres ?

Sachant que soixante an après les faits, des retrouvailles sont encore possibles, il n’est pas inepte de penser que de 1945 à aujourd’hui, un grand nombre de gens personnes sont mortes persuadées qu’elles étaient les seules survivantes d’une famille alors que d’autres membres vivaient ailleurs.



Par conséquent, la prudence s’impose lorsqu’un juif ou qu’une juive déclare, sans autre preuve, que tout sa famille a été exterminée


Quant à la thèse de l’ « Holocaute » et au chiffre des « six millions », plus le temps passe et plus ils paraissent absurdes…


[1] Voy. Page, n° 82, avril 2003, p. 28.

microrobert
11-12-2011, 08:56 AM
Wannsee : y a-t-on planifié une liquidation industrielle ?




Dans son livre Auschwitz expliqué à ma fille, Annette Wieviorka prétend (après bien d’autres) que l’extermination des juifs aurait été planifiée le 20 janvier 1942 lors de la conférence de Wannsee. A la page 41, elle écrit :

— […] On connaît bien cette conférence parce que son procès-verbal a été conservé. Je t’en cite un extrait, suffisamment clair même si le langage, comme souvent chez les nazis, demeure codé car tout cela devait en principe rester secret : « Sous une direction autorisée, les juifs doivent être — dans la perspective de la solution finale — transférés à l’Est et forcés d’y travailler. Ils seront constitués en grandes compagnies de travailleurs, avec séparation des sexes. Les juifs aptes au travail seront conduits dans ces régions pour des travaux de terrassement sur les routes. Il faut naturellement s’attendre à une élimination naturelle — par la mort — d’une proportion importante de ces effectifs. L’élément naturel qui sera maintenu en vie devra de ce fait même être considéré comme résistant, constituant une sélection naturelle. La remise en liberté de tels individus présenterait le danger de la formation d’un noyau de nouvelle réédification juive ».

— En langage clair, comment tu traduirais ?

— Cela signifie que ceux que les conditions de travail ne tueront pas, et qui sont donc les plus résistants, devront être éliminés par d’autres moyens, de crainte de voir renaître le peuple juif.

On se contentera de répondre qu'en 1992, le professeur Yehuda Bauer, exterminationniste connu et professeur à l'Université hébraïque de Jérusalem, a qualifié cette thèse d' « histoire inepte » (silly story) :

Le public répète encore, jour après jour, l'histoire inepte qui veut que ce soit à Wannsee que l'extermination des juifs ait été décidée. Wannsee n'était qu'une étape dans le déroulement du processus du meurtre de masse[1] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve_wannsee.htm#_ftn1).

Un an plus tard, Jean-Claude Pressac écrivit sans être contredit :

Le 20 janvier [1942], se tenait à Berlin la conférence dite de Wannsee. Si une action de « refoulement » des juifs vers l’Est fut bien prévue avec l’évocation d’une élimination « naturelle » par le travail, personne ne parla alors d’une liquidation industrielle. Dans les jours et les semaines qui suivirent, la Bauleitung d’Auschwitz ne reçut ni appel, ni télégramme, ni lettre réclamant l’étude d’une installation adaptée à cette fin[2] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve_wannsee.htm#_ftn2).

C’est clair : à Wannsee, aucun « génocide » n’a été planifié. Si A. Wieviorka peut affirmer le contraire, c’est qu’elle traduit incomplètement et mal le passage qu’elle cite, et notamment le dernier paragraphe. Celui-ci dit en vérité (je souligne) :

Ce qu’il en restera de toute façon à la fin, c’est-à-dire sans doute la partie la plus capable de résistance, devra être traité de façon appropriée parce que, constituant une sélection naturelle, ce reste, à sa remise en liberté, sera à considérer comme portant en germe les éléments d’une renaissance juive [3] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve_wannsee.htm#_ftn3).



On ne le répètera jamais assez : lors de la conférence de Wannsee, aucune extermination n’a été ni décidée, ni planifiée…


[1] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve_wannsee.htm#_ftnref1) Voy. Canadian Jewish News, 30 janvier 1992, cité dans la Revue d'Histoire Révisionniste, n° 6, mai 1992, pp. 157-158.

[2] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve_wannsee.htm#_ftnref2) Voy. J.-C. Pressac, Les Crématoires d’Auschwitz. La Machinerie du meurtre de masse (éd. du CNRS, 1993),p. 35.

[3] (http://www.vhofrance.org/fausse_preuve_wannsee.htm#_ftnref3) Voy. Robert Faurisson, Écrits révisionnistes (auto-édité, 1999, tome III), p. 987, note.

microrobert
02-19-2012, 12:09 PM
Des DVD essentiels et pratiques


Pour contrer la formidable propagande développée par le Système en place, et notamment celle qui est assenée jour après jour dans les collèges et les lycées, le révisionniste Vincent Reynouard propose une série de documentaires vidéos essentiels pour la cause révisionniste, "Thèses interdites".



Les cinq premiers volumes sont déjà disponibles:



- Boîtier n° 1: "Le professeur Faurisson parle." Il s'agit de deux DVD, le premier reprenant la toute première conférence vidéo tenue par le professeur, en 1981, et qui s'intitule "Le problème des chambres à gaz"; l'autre, trente ans plus tard, étant le documentaire réalisé par Paul-Eric Blanrue en 2011, et qui s'intitule "Un Homme - Le Pr Faurisson".

Prix du boîtier: 23 euros.



- Boîtier n° 2: "Vincent Reynouard parle." Encore deux pavés dans la mare :

le premier s'intitule "Oradour-sur-Glane/ 50 ans de mensonges officiels" ;

le second "L'Uranium appauvri/ un crime contre l'humanité occulté".

Prix du boîtier: 23 euros.



Puis trois boîtiers essentiels sont consacrés à "l'Holocauste", contenant chacun deux DVD:

- Boîtier n° 3: Ce boîtier comprend le DVD 1 intitulé "La vérité sur Auschwitz" et le DVD 2 intitulé "La véritable 'solution finale' ".

Prix du boîtier: 17 euros.



- Boîtier n° 4: Ce boîtier comprend le DVD 3 intitulé "Six millions ? Les fausses preuves..." et le DVD 4 intitulé "Les Alliés et les rumeurs. Déportés bien traités".

Prix du boîtier: 17 euros.



- Boîtier n° 5: Ce boîtier comprend le DVD 5 intitulé "Les photos prises en 1945 dans les camps" et le DVD 6 intitulé "Les enjeux politiques actuels".

Prix du boîtier: 17 euros.


Frais de port :

- 1 ou 2 boîtiers achetés : 3 euros
- 3 ou 4 boîtiers achetés : 4 euros
- 5 et plus : 5 euros



Les commandes sont à adresser à:


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CH-1820 MONTREUX
(Suisse)



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N'oubliez pas: le voisin ou l'ami que vous voulez convaincre a plus de chance de visionner une vidéo que de lire un ouvrage...

microrobert
02-23-2012, 07:40 PM
Relève le Défi de Vincent Reynouard et gagne 5000 €

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microrobert
02-26-2012, 08:13 AM
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Heart of Oak
02-26-2012, 09:24 AM
It did not happen the way we're taught in school, it was very sad that so many people died due to illness and starvation, but they where not deliberately put to death, that is a lie...