microrobert
10-29-2011, 12:36 PM
SYwjWj-THbI
David Lean dirigea en 1948 cette mise en images du roman de Dickens, « Oliver Twist ». Il pouvait encore se permettre de respecter le texte original, en montrant Fagin, le j.u.i.f., tel que le romancier l'avait décrit -- tel que ces énergumènes escrocs, voleurs et receleurs étaient, et sont, depuis leur origine.
Cette peinture, à laquelle Alec Guinness collabora avec enthousiasme, fit alors couler pas mal d'encre, dans une Angleterre où la liberté d'expression commençait d'être l'apanage réservé de certains lobbies.
Contre ce terrorisme qui ne dit pas son nom, en demeurent cependant, pour notre édification et celles des générations futures -- qui ont précisément droit à une planète préservée aussi (et peut-être même avant tout...) de cette pollution physique et spirituelle --, ces scènes d'anthologie où certains « fondamentaux » sont exposés avec une verve et une véracité que la caricature ne saurait égaler.
David Lean dirigea en 1948 cette mise en images du roman de Dickens, « Oliver Twist ». Il pouvait encore se permettre de respecter le texte original, en montrant Fagin, le j.u.i.f., tel que le romancier l'avait décrit -- tel que ces énergumènes escrocs, voleurs et receleurs étaient, et sont, depuis leur origine.
Cette peinture, à laquelle Alec Guinness collabora avec enthousiasme, fit alors couler pas mal d'encre, dans une Angleterre où la liberté d'expression commençait d'être l'apanage réservé de certains lobbies.
Contre ce terrorisme qui ne dit pas son nom, en demeurent cependant, pour notre édification et celles des générations futures -- qui ont précisément droit à une planète préservée aussi (et peut-être même avant tout...) de cette pollution physique et spirituelle --, ces scènes d'anthologie où certains « fondamentaux » sont exposés avec une verve et une véracité que la caricature ne saurait égaler.