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View Full Version : La moralité de la survie



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05-20-2009, 01:11 PM
La Moralité de la Survie


Nous sommes sous l’emprise d’un système moral universaliste en rupture avec les lois de la nature et peu importe combien cette morale nous semble bonne, elle mène l’Occident, qui a généré absolument tout ce qui compose le monde moderne actuellement, à sa ruine inévitable.

L’homme européen, de race nordique ou alpine, aura cessé d’existé en tant qu’entité distincte, si les taux d’immigrations et de natalité continuent ainsi et ne sont pas altérés bientôt.

Tout questionnement sur le sort des responsables de la civilisation technologique, est immédiatement avorté par les accusations de bigoterie, de racisme et de xénophobie. Mais ce système moral altruiste destructeur, disparaîtra lui-aussi, avec la disparition de l’Occident.

Selon quels critères doit-on corriger ce système moral dénaturé? Est-il moral pour un groupe ethnique et les individus qui le compose de veiller à leur propre survie? Quels sont les moyens moraux que nous pouvons prendre assurer cette survie? Quels sont les bases morales d’une civilisation qui ne veut pas disparaître? Mr. Richard McCulloch appel ces questions, l’étique ultime.



Le dilemme moral de l’Occident


C’est une erreur de croire que l’on peut étendre l’altruisme au-delà de son origine évolutive, à savoir l’altruisme à l’intérieur du groupe de parenté raciale.

Mais ce débat est mené sous la chape de l’obscurantisme, où l’importance de la génétique est niée et, comme au temps de la Grande Noirceur moyenâgeuse, il est dominé par des affirmations moralisatrices plutôt que par les faits scientifiques.

L’auteur Garrett Hardin, démontra dans son ouvrage « Discriminating Altruisms », que les groupes raciaux qui pratique un altruisme sans limites, seront nécessairement supplantés par ceux limitant leur altruisme à leur propre groupe.

A la base, si il n’y avait que des individus égoïstes, l’apparition dans ce contexte de la famille, doit être mise sur le compte d’un avantage évolutif, c’est-à-dire, l’individus tire plus qu’il ne sacrifie à ce système de solidarité.

Par la suite aussi, la création du clan au-delà de la famille, de la nation au-delà du clan, doivent être basés sur ce même avantage évolutif, sauf le dernier et ultime saut : la solidarité des nations, le « One Worldism », car il n’y a aucun avantage compétitif qui le supporte. L’Universalisme ne peut remporter la compétition contre la discrimination.

Trois milliards d’années d’évolution biologique, ont consacré la discrimination comme le grand facteur actif dans la sélection des espèces. Sans l’impulsion pour sa conservation, (par le biais d’un altruisme limité à son propre groupe) chaque maillon de la chaîne évolutive jusqu’à l’homme, aurait sombré dans l’oubliette évolutive. L’Occident fait profiter le monde entier du fruit de son travail et de son génie créatif (sans nous, les peuples asiatiques ont stagnés pieds nus dans leur rizières pendant des millénaires). Mais le résultat ultime sera sa disparition sous la poussés des groupes qui ne pratiquent pas ce système moral, mais un altruisme limité à leur propre groupe.

La perte de l'identité raciale dans le monde occidental est symptomatique d'une crise plus profonde chez les peuples européens, dont la culture et la technologie ont apporté au monde la plus grande part de ce que nous appelons aujourd'hui la civilisation moderne. Dans son cœur, la crise est l'inévitable conséquence d'une mauvaise compréhension, profonde et peut-être fatale, de la nature de la moralité. Nous avons perdu de vue les anciennes et éternelles lois de la Nature sur lesquelles notre civilisation doit être basée si nous voulons survivre. Nous ne pouvons plus nous complaire dans des principes altruistes universalistes qui, si nobles qu'ils puissent apparaître, nous ont conduits au bord de la ruine.

Les projections démographiques basées sur les politiques d'immigration américaine et européenne, ainsi que sur les informations fournies par nos sens lorsqu'on marche dans les rues de n'importe quelle grande ville occidentale, nous montrent un triste avenir. Dans un siècle ou deux, peut-être moins, les peuples de l'Occident, ceux dont l'ascendance remonte aux sous-races nordique et alpine de l'Europe, auront cessé d'exister en tant qu'entité cohésive. La rapidité de la fin dépendra des taux d'immigration, des différentiels de taux de natalité entre les groupes ethniques, et des taux de naissances multiraciales. Mais le résultat final est acquis si nous poursuivons notre route actuelle.

Et pourtant, toute discussion franche du résultat, la submersion de la race qui produisit la première, et peut-être la seule civilisation technologique du monde, est ordinairement interdite par des mots comme «raciste», «fanatique», et «xénophobe». Ni le système moral défectueux qui impose ce silence, ni les gens qui le soutiennent ne survivront à la disparition de l'Occident. Mais quand l'Occident aura disparu, ce sera une mauvaise consolation de savoir que les responsables auront aussi expiré. Si nous voulons inverser le cours des choses, il est vital que nous prenions des mesures maintenant, avant qu'il ne soit trop tard.

Si, aujourd'hui, le système moral de l'Occident est défectueux, comment peut-il être corrigé? La première question que nous devons poser est de savoir s'il est moral pour les groupes ethniques tout comme pour les individus de chercher à survivre. Et si c'est le cas, quelles sont les actions morales que nous pourrions entreprendre pour assurer la survie? Quelle doit être la base morale de notre civilisation si elle ne veut pas disparaître? Dans son livre Destiny of Angels [Le destin des anges], Richard McCulloch dit que ces questions dépendent d'une «éthique ultime».

Le dilemme de notre peuple est le produit d'un profond malentendu concernant la nature et la moralité. Cela vient de la croyance erronée et sentimentale selon laquelle l'altruisme pourrait être étendu au-delà de son origine évolutionnaire -- l'altruisme entre parents et à l'intérieur d'un groupe --, à la totalité de l'humanité. Cela vient d'une incapacité à accepter le rôle des facteurs génétiques pour définir le tempérament et le potentiel humains.

Les règles qui gouvernent le débat public rappellent le Moyen Age par le fait qu'elles ne sont pas fondées sur la science ou l'expérience humaine. Au lieu de cela, elles consistent en affirmations moralistes dérivées d'une vision du monde enracinée dans l'égalitarisme radical. Les conséquences à long terme de l'adhésion à ces principes sont rarement examinées, encore moins soumises à un examen scientifique.

La plupart des Occidentaux seront d'accord avec le fait qu'un sens inné du bien et du mal joue un rôle clé dans le système moral occidental, un système qui valorise la valeur individuelle et la loyauté réciproque. La tragédie de cette vision morale est qu'elle a été étendue au monde en général - apparemment le plus noble comportement que l'humanité ait jamais montré -- et qu'elle est devenue une menace pour la survie de l'Occident.

Comme le biologiste Garrett Hardin l'a démontré dans son essai en 1982, Discriminating Altruisms [Altruismes sélectifs], l'universalisme -- un Seul Monde [One World] chimérique sans frontières ni distinctions -- est impossible. Les groupes qui pratiquent l'altruisme illimité, sans aucune pensée d'auto-préservation, seront désavantagés dans la compétition de la vie et donc éliminés avec le temps en faveur de ceux qui limitent leur comportement altruiste à une plus petite partie de l'humanité, habituellement leur propre parenté génétique, dont ils reçoivent des bénéfices réciproques.

Le professeur Hardin écrit:

«L'universalisme est l'altruisme pratiqué sans discrimination en faveur d'une parenté, de connaissance, de valeurs partagées, ou de proximité dans le temps ou l'espace ... Pour les gens qui acceptent l'idée de l'évolution biologique, de l'amibe à l'homme, la vision de l'évolution sociale, de l'égoïsme à l'universalisme, peut sembler plausible. En fait, cependant, la dernière étape est impossible ... Voyons pourquoi.

«En imagination, représentez-vous un monde où l'évolution sociale ne serait pas allée plus loin que l'égoïsme ou l'individualisme. Quand la structure familiale apparaît sur la scène, qu'est-ce qui compte pour sa persistance? Ce doit être que le coût des sacrifices que les individus font pour leurs parents est plus que compensé par le gain réalisé à travers la solidarité familiale ...

«L'argument qui compte pour l'étape de la structure familiale sert tout aussi bien pour chaque étape successive -- sauf pour la dernière. Pourquoi cette différence? Parce que le Seul Monde créé par l'universalisme n'a -- par définition -- aucune base compétitive pour le soutenir ... [l'universalisme] ne peut pas survivre dans une compétition avec la discrimination.» [en italique dans l'original]

Le professeur Hardin ajoute:

«Il ne faut jamais oublier que pendant trois milliards d'années, l'évolution biologique a été rendue possible par la discrimination. Même la simple survie en l'absence de changement évolutionnaire dépend de la discrimination. Si les universalistes parviennent à leurs fins, la discrimination sera abandonnée. Même la plus modeste impulsion vers le conservatisme devrait nous conduire à contester la sagesse de l'abandon d'un principe qui a si bien fonctionné pendant des milliards d'années. C'est une ironie tragique que la discrimination ait produit une espèce (l'homo sapiens) qui propose maintenant d'abandonner le principe responsable de son ascension vers la grandeur.»

Les non-Européens, qui conservent presque tous leur cohésion en tant que groupes distinctifs et discriminants, en tirent avantage pour exploiter la richesse économique et l'ordre social de l'Occident, des bénéfices que beaucoup ne peuvent manifestement pas créer par eux-mêmes. Quand cette tendance cohésive est placée en compétition avec l'altruisme occidental d'auto-sacrifice, cela ne peut avoir qu'un seul résultat. A moyen terme, les Européens seront remplacés par des groupes agissant dans leur propre intérêt. A long terme, c'est la destruction biologique qui nous attend. Comme ceux qui nous remplacent ne maintiennent pas, par définition, nos règles morales -- car s'ils le faisaient, ils ne nous remplaceraient pas -, notre système moral défectueux disparaîtra avec nous.

Le fait que l'altruisme universel et auto-sacrificateur détruise ceux qui le pratiquent est son défaut le plus évident. Tout ordre moral désirant survivre doit reconnaître cela.


La «race cosmique»


Le rêve d'une Utopie dans laquelle prévaudrait l'harmonie raciale ne s'est jamais réalisé. Aujourd'hui, l'empiètement racial est une menace pour l'existence même des peuples occidentaux. Lawrence Auster, auteur de The Path to National Suicide, An Essay on Immigration and Multiculturalism [La route du suicide national, essai sur l'immigration et le multiracialisme], a résumé la situation ainsi:

«Le libéralisme [ = la pensée de gauche, NDT] moderne nous a dit que les différences raciales ne comptaient pas, et sur la base de cette croyance, les libéraux entreprirent alors de transformer l'Amérique en une société multiraciale, intégrée, aveugle à la race. Mais maintenant ce même effort a créé tellement de conscience raciale, de conflits raciaux et d'inégalités raciales que ces mêmes libéraux en ont conclu que la seule manière de surmonter ces problèmes était de fusionner toutes les races en une seule. Les mêmes gens qui ont toujours dénoncé comme des fanatiques extrémistes tous ceux qui mettaient en garde contre la 'dilution raciale de l'Amérique blanche' proposent maintenant non seulement la dilution de l'Amérique blanche, mais son élimination complète. L'idéologie aveugle à la race a conduit directement à la proposition la plus racialement consciente -- et en fait, génocidaire -- de l'histoire du monde.»

Time Cover, Fall 1993Ce changement de stratégie fut signalé par un article de couverture d'une édition spéciale du Time à l'automne 1993. L'article comprenait une image de synthèse par ordinateur d'une femme représentant le mélange de tous les éléments ethniques de la population des Etats-Unis dans leurs proportions actuelles. Le message subliminal véhiculé par cet androïde informatisé, manifestement encore d'ascendance européenne prédominante, était: «N'ayez pas peur, c'est sans danger». Ou, dans l'idiome actuel du multiculturalisme: «Célébrons notre diversité». Bien sûr, cette image représente la destruction totale de la diversité, pas sa conservation.

Cet androïde créé par ordinateur est un mensonge. La base de la population américaine est en cours de changement rapide. Les Blancs ont maintenant moins d'enfants, et il y a donc moins de Blancs en âge de procréer que le Time affecte de le croire. Cela se passe dans le monde entier. La question est, quel serait le résultat si ce plan était mis en œuvre à une plus grande échelle, poussé à sa conclusion logique dans un monde sans frontières? L'androïde de Time n'est qu'une étape sur la route de ce que certains appellent affectueusement la «race cosmique».

Les gens d'ascendance européenne constituent un peu plus de dix pour cent de la population mondiale, mais depuis 1980, les naissances blanches s'élèvent à seulement un peu plus de cinq pour cent des nouveaux enfants du monde. Le taux de natalité en Occident est tombé à des niveaux dangereusement faibles, actuellement environ 1,8 enfant par femme. Un niveau de 2,1 est requis pour compenser les décès. Les taux de natalité du Tiers Monde restent très élevés, en grande partie grâce à l'infusion de nourriture, de médecine et de «maintien de la paix» par l'Occident.

Comme les gens ne sont pas des images informatisées mais ont des ancêtres réels, nous pouvons supposer que la fraction de population ayant une ascendance européenne représente aujourd'hui un seizième de la population en âge de procréer. Si l'expérience du Time est réalisée à l'échelle du monde, l'humain en résultant aura seulement un seul arrière-arrière-grand-parent. Il sera surtout d'apparence asiatique puisque environ 60 % de la population mondiale est asiatique. En chiffres ronds, cela fait dix des seize arrière-arrière-grands-parents, dont quatre de la seule Chine. Trois viendraient de l'Inde et trois autres de l'Asie du Sud-Est et du Moyen Orient. L'Afrique en fournirait trois et l'Amérique Latine non-blanche et le bassin des Caraïbes les deux derniers.

Dans ce scénario, qui est déjà en cours dans le continent nord-américain et en Europe et en Australie, l'unique ancêtre européen ne laisserait aucune trace discernable dans l'homo cosmicus. Les Européens seraient éteints, accomplissant la vision de cauchemar que Jean Raspail décrivit dans Le Camp des Saints. Cela n'est pas une condamnation d'un être humain réel ayant une telle ascendance. Néanmoins, ce processus éradiquerait la diversité biologique que les multiculturalistes prétendre chérir. A sa place il n'y aurait que de l'uniformité, la submersion irréversible de toutes les races.

La disparition d'une race est un événement de grande importance. La destruction d'une population entière est, de fait, un génocide selon la définition de la Convention des Nations Unies sur le génocide, qui définit le génocide comme «... la destruction, en totalité ou en partie, d'un groupe ethnique, racial ou national. Les actes ainsi définis incluent ... la destruction des conditions de vie nécessaires à l'existence physique du groupe ...».

Le débat sur la race doit être mené dans ces termes pour faire apparaître son importance réelle. La bataille ne peut pas être gagnée en permettant à l'autre camp de limiter les termes du débat en déclarant que certaines questions ne peuvent pas être discutées. Les conséquences sont trop importantes.


Le double code de moralité


Pourquoi donc la race est-elle importante? La réponse se trouve dans la biologie des gènes et dans l'impact de la parenté génétique sur l'altruisme. Pendant de nombreuses décennies, l'altruisme fut un paradoxe pour les théories de l'évolution. Darwin lui-même réalisa que l'altruisme était difficile à expliquer en termes de «survie du plus adapté» au niveau individuel. Dans son livre Race, Evolution and Behavior [Race, évolution et comportement], Philippe Rushton écrit: «Si les membres les plus altruistes d'un groupe se sacrifient pour les autres, ils courent le risque de laisser moins de descendants à qui transmettre ces mêmes gènes qui gouvernent le comportement altruiste. Donc, l'altruisme serait une sélection négative, et l'égoïsme une sélection positive».

Le Prof. Rushton suggère que ce paradoxe est résolu par la théorie de la similarité génétique, un domaine exploré par le biologiste W.D. Hamilton et d'autres. Le Prof. Rushton écrit:

«Par un processus connu sous le nom de sélection des apparentés, les individus peuvent maximiser leur aptitude inclusive en accroissant la production de descendance viable par eux-mêmes et par leurs apparentés génétiques, plutôt que par aptitude individuelle ... Les gènes sont ce qui survit et ce qui est transmis, et certains des mêmes gènes se trouveront non seulement dans la descendance directe mais dans les frères et sœurs, les cousins, les neveux et nièces, et les petits-enfants ... ainsi, du point de vue de l'évolution, l'altruisme est un moyen d'aider les gènes à se propager.»

A travers le temps, la sélection des apparentés a généré un double code de moralité, un code altruiste pour sa parenté génétique et un code non-altruiste pour tous les autres. Les anthropologues ont suggéré que les humains ont évolué par un processus de migrations et de guerres tribales entre des groupes composés d'individus génétiquement apparentés. Dans A New Theory of Human Evolution, Sir Arthur Keith écrivit: «Le processus qui assure l'évolution d'un groupe isolé de l'humanité est une combinaison de deux principes ... à savoir, la coopération et la compétition ... Je pense que dès le début de l'évolution humaine, la conduite de chaque groupe local a été réglée par deux codes de moralité, distingués par Herbert Spencer comme le 'code d'amitié' et le 'code d'hostilité'».

Garrett Hardin écrit: «La caractéristique essentielle d'une tribu est qu'elle doit suivre une double règle de moralité -- un type de comportement pour les relations à l'intérieur du groupe, et un autre pour celles en-dehors du groupe». Les relations à l'intérieur du groupe sont caractérisées par la coopération alors que les relations en-dehors du groupe sont caractérisées par le conflit. Les libéraux ont tenté de discréditer le rôle du conflit tribal, prétendant que de telles distinctions ont disparu quand les groupes ont atteint la taille d'une nation. Mais en faisant cela, ils oublient le message vital de la théorie de la similarité génétique. Les groupes ethniques nationaux représentent la croissance et la consolidation à travers le temps de tribus génétiquement apparentées».

Le professeur Hardin argue que, du fait de la nature de l'altruisme et de la compétition, le double code de moralité est inévitable et ne peut pas être éliminé de la société humaine:

«En l'absence de compétition entre tribus, la valeur de l'altruisme pour la survie dans un monde surpeuplé approche de zéro parce que ce que l'ego abandonne ... est forcément mis en commun. Ce qui est mis en commun ne peut pas favoriser la survie des impulsions de partage qui ont créé cela -- sauf si des limites sont placées au partage. Placer des limites au partage, c'est créer une tribu -- ce qui signifie un rejet du One World ... Un état de One World, s'il était réalisé, se re-dissoudrait bientôt en un assemblage de tribus.»

La distinction dans-le-groupe / en-dehors-du-groupe opère toujours aujourd'hui; c'est seulement le champ de bataille qui s'est déplacé. La guerre tribale a été remplacée par l'irrédentisme territorial et la compétition entre taux de natalité.

La campagne des libéraux pour éliminer les sentiments de solidarité nationale, culturelle ou raciale chez les peuples occidentaux fut entreprise en grande partie dans l'espoir que l'abolition du «tribalisme» inaugurerait une ère de paix mondiale. Comme l'a montré le Prof. Hardin, le tribalisme ne peut pas être éliminé. Pire, tout groupe idéaliste qui démantèle unilatéralement son propre sens tribal sera balayé par les groupes qui ont conservé le leur. A moins que la direction actuelle ne soit changée, l'Occident sera détruit dans cette nouvelle forme de guerre biologique.

Le double code de moralité est donc la pierre d'angle sur laquelle tout ordre moral durable doit être basé. C'est aussi une réponse à la question d'éthique ultime posée précédemment: «Est-il moral pour les groupes ethniques de chercher à survivre?». Puisqu'il est impossible d'éliminer les «tribus» de la race humaine, la réponse à cette question doit être «oui». Ce qui est inextricablement construit dans les lois de l'univers ne peut pas être immoral.

Les universalistes pourront tenter de caricaturer le double code de moralité comme étant un double langage odieux, mais c'est quelque chose que nous pratiquons chaque jour sans même y penser. Sans lui, aucun groupe, que ce soit une famille, un club, une corporation, un parti politique, une nation ou une race, n'existerait. C'est la manière dont les groupes font la distinction entre membres et non-membres. Les employés d'une même société se traitent différemment de la manière dont ils traitent les concurrents. Les membres d'un même parti politique coopèrent entre eux et s'allient contre les adversaires. Les familles font une sévère distinction entre les membres et les étrangers. Il est facile de reconnaître le double code de moralité, précisément parce qu'il est une partie fondamentale de la nature humaine.

Le «code d'amitié, code d'hostilité» explique les loyautés raciales. C'est une extension du fait biologiquement nécessaire que les parents aiment leurs enfants plus que les enfants des étrangers. De tels sentiments sont normaux et naturels. Pourtant le «racisme» est devenu l'anathème qui stoppe la discussion. Ceux qui utilisent le mot comme une arme disent que la loyauté raciale est du racisme quand elle est manifestée par des Blancs, mais qu'elle est de la fierté justifiable quand elle est manifestée par des non-Blancs. Le mot est simplement un moyen d'avoir du pouvoir sur les gens qui ont des scrupules moraux excessifs.