Valérie Trierweiler en larmes devant « La Marche » avec Jamel Debbouze

[microrobert]

Valérie Trierweiler en larmes devant « La Marche » avec Jamel Debbouze

Le film « La Marche » de Nabil Ben Yadir, inspiré de la grande marche pour l’égalité et contre le racisme qui s’improvisa entre Marseille et Paris en 1983, a ému Valérie Trierweiler jusqu’aux larmes lors d’une projection privée. Bande-annonce et casting.

C’est un épisode fondateur de la Ve République que le réalisateur Nabil Ben Yadir veut rappeler avec le film La Marche, qui sortira au cinéma le 27 novembre. Adaptation libre de la marche pour l’égalité et contre le racisme qui réunit des milliers de personnes sur les routes de France en 1983, le film a ému notre première dame, Valérie Trierweiler, jusqu’aux larmes.

Hommage à Toumi Djaïda

L’histoire (vraie) est celle de Toumi Djaïda, à qui le film rend hommage. Dans le quartier des Minguettes à Lyon, il est blessé lors d’affrontements avec la police. A Marseille, quelques jours plus tôt, un adolescent de 13 ans d’origine étrangère a été tué. Avec l’aide d’un curé et d’un pasteur, le jeune homme décide de marcher de Marseille à Paris. Partis le 15 octobre, le groupe de 32 personnes grossit et 100 000 personnes marchent sur Paris le 3 décembre.

Charlotte LeBon, Jamel Debbouzze : un casting soigné

Le réalisateur a choisi de réduire à dix le groupe des initiateurs de la marche, l’occasion de se pencher sur l’histoire de chacun, et de proposer une galerie de personnages forts, incarnés par des acteurs de haute volée : Jamel Debbouze, Charlotte Le Bon, Hafsia Herzi, Olivier Gourmet, pour ne citer qu’eux.

Le film vient commémorer les 30 ans de la marche pour l’égalité et contre le racisme, et montrer que le sujet reste indéniablement d’actualité.

Valérie Trierweiler en larmes devant «*La Marche*» avec Jamel Debbouze - Terrafemina

[microrobert]