Education sexuelle, Transgenre, Droits de l’Homme, Antiracisme, etc…

L’idéologie gauchiste qui sévit à l’école met les enfants en grave danger mental.

Si le mal de vivre, voire le suicide chez les jeunes est de plus en plus fréquent, nous pouvons nous demander si l’école, dans laquelle les enfants passent la moitié de leur temps, n’y est pas pour quelque chose ?

Loin de vivre dans l’innocence propre à leur âge, les enfants sont de plus en plus confrontés à des programmes scolaires n’ayant plus rien à voir avec l’enseignement visant à leur transmettre des connaissances de bases, à savoir ; lire, écrire, compter, faire du sport et de la musique, se repérer dans l’espace et le temps. La plupart des élèves sort avec de graves lacunes dans tous les domaines si bien qu’ils sont souvent incapables de s’exprimer à l’écrit ou à l’oral, ne savent plus utiliser et conjuguer les temps. Ils ne sont plus capable de calculer mentalement et sont totalement perdus sans leur calculatrice.

Par contre l’école sert à bourrer les jeunes cervelles d’une idéologie mortifère qui contribue nécessairement au malaise dès le plus jeune âge.

C’est ainsi que tout petits, ils reçoivent des cours d’éducation sexuelle, ce qui aura pour effet de briser la magie d’un mystère qu’il n’auraient dû aborder qu’au moment de l’adolescence, lorsque le travail des hormones qui s’accompagne de la maturation de l’esprit ôte progressivement le voile de la sexualité. Les jeunes enfants rêvent de princes et de princesses et la meilleure éducation pour leur avenir sentimental en attendant l’adolescence reste encore nos bon vieux contes populaires.


L’éducation sexuelle




Cette éducation sexuelle vise en fait uniquement à leur créer une dépendance ultérieure et plus précoce au sexe en altérant ou en effaçant purement et simplement la relation sentimentale qui précède l’acte sexuel entre un homme et une femme. Cette "éducation sexuelle" favorise un penchant précoce pour le porno, la masturbation et le sexe de consommation.




Le trans-genre



Ces dernières années, les lobbys homosexuels, appuyés par les groupes d’influences et partis politiques "progressistes" (Verts, Socialistes, communistes extrême-gauche, libéraux) cherchent à introduire un nouveau poison issu de cerveaux malades et privé de tout fondement scientifique ; le Trans-genre, ce traitement de choc pour les petits et les plus grands consiste à leur faire croire que, malgré la nature qui les a fait garçons ou filles à la naissance, ils auraient le choix de ce définir librement homme ou femme, voire même de n’être ni l’un ni l’autre ou les deux à la fois.

La définition est purement ahurissante :



Maladie d’une fin de civilisation ?


« substituer à des catégories comme le sexe ou les différences sexuelles, qui renvoient à la biologie, le concept de genre qui lui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites »

Il est aisé de comprendre quels dégâts ce genre de débilités peuvent occasionner dans les petites cervelles de nos chérubins. Le trans-genre n’a pour résultat que d’engendrer des troubles schizophréniques chez l’enfant. Tant et si bien que la Norvège en avance sur le sujet et réputée "progressiste" comme tous les pays scandinaves a, à l’issue d’une enquête pluridisciplinaire, purement et simplement décidé de suspendre tous les crédits aux promoteurs de cette théorie. qui s’est non seulement révélée sans fondement scientifique, mais une atteinte à l’intégrité de l’enfant.

Au delà des crétins de la base qui le répandent et n’en comprennent pas la finalité (à l’instar des égalitaristes et les féministes), la théorie du trans-genre a pour but de servir les intérêts d’élites pédophiles et homosexuelles dans le but d’assouvir leur instincts monstrueux sur les enfants.


L’humanisme, les Droits-de-l’homme et l’égalitarisme.


Le rabâchage des Droits de l’homme et de l’égalitarisme à l’école de plus en plus jeune visent à formater l’esprit à un dogme contre nature et par conséquence, d’annihiler toute idée ultérieure de résistance identitaire, par la culpabilisation. ils contraignent le jeune individu désarmé à cet âge, à lui faire accepter l’invasion migratoire, souvent ressentie par lui comme une agression diffuse chaque jour dans la cour d’école, dans la rue et sur les terrains de sport, en faisant passer les envahisseurs pour des victimes.

Par voie de conséquence, les défenseurs de l’identité et des frontières (que sont souvent les parents, la famille) entrent en conflit et sont perçus pour des extrémistes violant les droits humains par leur propre progéniture ; ce qui est source de conflit familiaux.



Dès le 5ème mois les bébés seraient capables de faire la distinction raciale. Le racisme serait donc inné. Et non pas la haine raciale avec laquelle il ne faut pas faire d’amalgame.


Le principe d’égalité s’applique à faire tomber toute barrière entre les races et incite, voire établi le métissage comme une norme. Les études scientifiques menées à ce sujet aux États-Unis montrent pourtant que la conscience raciale chez les enfants est naturelle puisqu’elle se développe dès les premiers mois de la vie. Mais le monde que l’on nous prépare, loin des bonnes intentions martelées, est un monde consommateurs serviles et jamais satisfaits est étranger à l’homme enraciné, pétris de traditions, épris de spiritualité, vivant frugalement et travaillant pour simplement subvenir à ses besoins élémentaires physiologiques.Pourtant, la simple observation nous prouve cent fois par jour que l’égalité n’existe pas. Ni entre les hommes, ni dans la nature. C’est donc une idéologie qui vise à anéantir les défenses naturelles de nos enfants avant une quelconque maturité intellectuelle qui leur permettrait de faire un choix en conscience.


L’antiracisme



L’antiracisme à pour objet officiel de lutter contre le racisme tout en niant l’existence des races. Ce qui n’est pas la moindre des contradiction et dénonce là une forfaiture. Dans le prolongement de l’égalité, l’antiracisme vise à culpabiliser l’enfant qui aurait encore conservé une trace d’instinct naturel qui le pousserai à s’identifier et à se rapprocher logiquement de ceux qui lui ressemble. L’antiracisme est une forme de racisme puisque qu’il vise à culpabiliser les enfants blancs et eux seuls en martelant que le racisme est exclusivement d’essence blanche. Cette culpabilisation répétée inocule dans l’inconscient une haine de soi.



Wigger vient de White niger qui signifie Nègre blanc comme les nomment eux-mêmes les Noirs-américains.


Nombreux sont les adolescents qui avouent ce dégoût d’eux-même et des Blancs. En réaction, ils développent une attitude de soumission, voire d’identification envers la victime imaginaire. Ils adoptent un comportement ou une religion allogène qui les satisfait un moment mais qui fragilise un peu plus leur santé mentale. Cette culpabilisation et cette haine de soi, soigneusement manipulées et entretenues au-delà de l’école par la puissance des médias qui constitueront bientôt la première source d’influence de l’enfant devenu adolescent, dénaturent la jeunesse, la détruise psychologiquement et la poussent au métissage ; c’est-à-dire au suicide racial comme seul horizon pour n’être plus soi-même et devenir enfin autre. Évidemment l’enfer de ses jeunes ne s’arrête pas là. Car pour jouer à être autre sans être équipé physiquement et psychiquement débouche nécessaire sur d’autres troubles de la personnalité.


En résumé, l’éducation nationale moderne vise donc à combattre l’instinct naturel de l’enfant et principalement le puissant instinct de conservation :
  • qui nous pousse à nous reproduire, suivant donc le schéma hétérosexuel pour perpétuer la race.
  • qui nous pousse à nous battre pour défendre notre territoire et à en chasser tout agresseur potentiel
  • qui nous pousse à choisir le ou la meilleure partenaire pour engendrer des êtres qui auront le plus de chance de survie. Donc des êtres sains et adaptés à leur milieu écologique qui nous ressemblent.

Les principes idéologiques modernes agissant perfidement contre la nature profonde de l’enfant, provoquent un déséquilibre mental que l’on peu reconnaître à travers les attitudes mortifères (cigarette, alcool, drogues, violences, musiques aliénantes, anorexie, piercing, auto-mutilation, syndromes de déprime, suicides) de notre jeunesse.

Il est temps que l’école devienne le lieux de la transmission de notre culture et des valeurs éternelles, fruits de l’observation de la nature, et non celui de l’endoctrinement idéologique qui participe grandement à l’empoisonnement de la jeunesse. Une école qui fabrique des êtres asociaux et instables, qui par la destruction de l’instinct de conservation sont sujets à un mal de vivre qu’ils ne peuvent identifier puisqu’il s’agit d’un poison qui leur a été distillé dès la petite enfance.

PS : Il y a naturellement d’autres sources de destruction mentale et psychologique chez l’enfant. Cet article ne prétend pas le contraire, mais ici n’est pas le sujet.

L?école n?est plus un lieu d?apprentissage mais d?endoctrinement idéologique conduisant à la mort. | Le blog de Tancrède Lenormand