Le marronnier de Pianellu en mémoire d'Anne Franck a été vandalisé

L'arbre planté en 2010 a été vandalisé dans la nuit de samedi à dimanche. Pour le moment, rien ne permet d'établir les motivations de l'acte. Une plainte devrait être déposée.

02/08/2020

La traditionnelle journée "In Giru a l’Arburu", dédiée à la mémoire de la Shoah et contre l'antisémitisme, a pris cette année une nouvelle tournure suite à un acte de vandalisme.

Le marronnier de Pianellu (Haute-Corse), planté en 2010 en mémoire d’Anne Franck et lieu des commémorations a été dégradé dans la nuit de samedi à dimanche.

Toute l’écorce sur la partie inférieure a été épluchée, menacant potentiellement la survie de l'arbre. Le sous-préfet de Corte, Ronan Leaustic, s'est rendu sur place pour constater les dégâts.

"Notre présence est utile pour rappeler la mémoire, la transmission qui est toute aussi nécessaire aujourd’hui qu’hier, a-t-il notamment déclaré. Car si des actes de cette nature sont toujours présents, c'est qu'il y a encore un gros travail à mener pour éveiller les consciences."

Un acte antisémite ?

Ce marronnier, offert au village de Pianellu par le Musée Maison d’Anne Franck d’Amsterdam en 2010, a été bouturé à partir de l’arbre que la jeune fille juive voyait depuis l’appartement clandestin où elle était cachée de 1942 à 1944. L'adolescente de 15 ans est morte en 1945 au camp de concentration de Bergen-Belsen.

Si les organisateurs estiment que cette dégradation était motivée par l'antisémitisme, aucun élément ne permet encore d'établir les causes et circonstances exactes de cet acte de vandalisme. Une plainte doit être déposée, et une enquête devrait être ouverte.

https://france3-regions.francetvinfo...e-1859430.html


Les dix commandements de la religion de « l’Holocauste »

Robert Faurisson



3. Avec les yeux de la foi tu croiras en tous les témoignages des innombrables rescapés de « l’Holocauste » ; si, par malheur, un témoignage se révèle outrageusement faux, tu répliqueras que cela n’a pas d’importance, puisque, quand le récit vient du cœur, les notions du vrai et du faux ne comptent plus. Répète après moi : « Je crois en l’authenticité du Journal d’Anne Frank fabriqué, entre nous soit dit, par son père, l’ancien banquier trafiquant de devises Otto Heinrich Frank devenu commerçant, avec, pour la version originale en néerlandais, la complicité d’une feuilletoniste néerlandaise (Isa Cauvern) et, pour les deux versions en allemand, les manipulations d’une traductrice allemande (Anneliese Schütz).




L'ensemble de mes écrits sur le "Journal d’Anne Frank"

Robert Faurisson


On trouvera ci-dessous une recension des différents écrits que j’ai consacrés au Journal d’Anne Frank de 1978 à 2008. Ce prétendu Journal n’est en réalité qu’une supercherie littéraire due à Otto Heinrich Frank, le père de la jeune Anne.