Page 4 of 5 FirstFirst 12345 LastLast
Results 31 to 40 of 42

Thread: Les dernières nouveautés chez AKRIBEIA

  1. #31
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Les Confessions de Kurt Gerstein

    Étude comparative des différentes versions

    Henri Roques

    Préface d'André Chelain


    Henri Roques (1920-2014) était un honorable retraité, vivant dans la banlieue parisienne, qui défraya la chronique en soutenant avec succès une thèse de littérature comparée et de critique de textes devant un jury de l’université de Nantes. La teneur et les conclusions de cette thèse firent scandale dans les médias. Du jour au lendemain, Henri Roques occupa la première page des journaux, déclenchant une vaste polémique qui conduisit les autorités universitaires et le ministère de l’Éducation à prendre des mesures énergiques à la demande de ceux qui s’estimaient offensés par les conséquences que pourraient avoir les conclusions de la thèse dans l’opinion publique mondiale. Étrange affaire qui mit le monde entier en émoi. Qu’en est-il exactement? Quelle est la nature réelle des travaux universitaires d’Henri Roques? Quels sont les points de vue des différentes parties présentes dans cette affaire? On trouvera dans la troisième édition de cet ouvrage, enrichie de quelques nouvelles annexes (au total 150 pages d’annexes qui ne figuraient pas dans le texte original de la thèse de Roques), les principales pièces du dossier qui permettront aux lecteurs de se forger une opinion. À noter un additif qui résout l’énigme du « mystérieux visiteur » de Paul Rassinier en «juin 1963».



    Ils nient l'histoire ?

    Réfutation d’un ouvrage antirévisionniste et de sa fausse «convergence des preuves»

    Carlo Mattogno


    En l’an 2000 parut aux États-Unis un ouvrage (Denying History. Who Says the Holocaust Never Happened and Why Do They Say It?) qui nourrissait de grandes ambitions. Il s’agissait pour ses auteurs, Michael Shermer et Alex Grobman, de réfuter en détail les thèses et les arguments des révisionnistes, de proposer une analyse en profondeur de leur personnalité et de leurs motivations, et de montrer avec précision, preuves solides à l’appui, « comment nous savons que l’Holocauste a eu lieu ». Ce livre de Shermer et Grobman ne cesse d’être cité dans la littérature antirévisionniste et au-delà. C’est dire l’importance et l’intérêt de la présente étude. Le révisionniste italien Carlo Mattogno passe en effet ici en revue les principaux arguments des deux auteurs et apporte la preuve, page après page, du total amateurisme de ces historiens de rencontre.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  2. #32
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Articles de Je suis partout, 1941-1943

    Robert Brasillach


    Robert Brasillach était aussi un journaliste. Il a publié des articles de nature politique et critique dans un très grand nombre de revues et de journaux. Sa collaboration à l'hebdomadaire Je suis partout, qui deviendra l'organe du fascisme français, commença à partir du 28 novembre 1931. En bon disciple de Charles Maurras, chef de l'Action française, Brasillach journaliste prône le pacifisme au cours des années 1930. Son engagement en faveur du fascisme français date des émeutes du 6 février 1934. Dès 1937, les articles de Brasillach, rédacteur en chef de Je suis partout, déjà polémiques à l'époque du Front populaire, deviennent de plus en plus virulents, anti-républicains et pro-allemands, ce qui finit par le brouiller avec *Maurras, son ancien maître à penser. La débâcle de mai-juin 1940 fut un traumatisme pour lui. Prisonnier de guerre en Allemagne jusqu'en mars 1941, il rentrera en France pour reprendre son poste à Je suis partout. Il s'engagera dans la voie de la collaboration, mais démissionnera pourtant en août 1943, à la suite d'un différend idéologique avec les «ultras» de l'équipe. Les articles reproduits dans ce livre dénoncent la République, de Gaulle, les Alliés, les Juifs et les francs-maçons. Ils plaident aussi pour le retour rapide des prisonniers de guerre, la formation de la jeunesse et un fascisme français semblable aux fascismes européens. Par ailleurs, une admiration et, même, une sympathie pour les Allemands se font de plus en plus sentir à mesure que ces derniers commencent à perdre la guerre. Cette anthologie d'articles parus de 1941 à 1943 éclaire l'itinéraire tragique d'un des plus talentueux écrivains français qui, tout en se trompant sur certains enjeux politiques, resta sincèrement et essentiellement un patriote.



    Le Svastika. Histoire d'un symbole

    Jörg Lechler, Edwige Thibaut


    Depuis 1945, le svastika, ou plus familièrement croix gammée, stigmatisé comme emblème politique, a finalement été interdit d'exposition dans la plupart des pays occidentaux. Mais avant qu'il n'acquiert cette sulfureuse réputation qui tend à l'éradiquer de la vue autant des mémoires, on a trop tendance à oublier qu'il fut employé par des cultures et des religions très diverses dès la plus haute antiquité.

    Bien avant qu'Hitler ne vienne au pouvoir et n'en fasse sa marque de puissance, un historien et universitaire allemand, Jörg Lechler, a entrepris de retracer l'histoire de ce symbole qui suscitait déjà de nombreuses interrogations. Pour la première fois traduite en français, voici cette étude.

    De son côté, Edwige Thibaut a voulu tenter d'apporter des réponses nécessaires aux mystères qui entourent encore l'origine, la diffusion et la signification si spécifique du svastika et qui en font le résumé d'une cosmologie, d'une vision du monde intégrale. Sa thèse, complémentaire de celle de Lechler, ne peut que l'enrichir.

    Assorti d'une somptueuse iconographie, cet ouvrage s'inscrit dans une démarche culturelle, archéologique et religieuse. Il se tient loin des instrumentalisations politiciennes et de toute forme d'apologies quelconques, même s'il ne peut faire l'impasse sur une période historique très controversée.

    De nos jours, près de deux milliards de personnes vénèrent et utilisent le svastika à des fins religieuses dans le monde. C'est à elles que ce livre est dédié. Il souhaite rendre justice à ce symbole afin que son usage traditionnel puisse perdurer. Signe de paix et de bonheur depuis la nuit des temps, puisse-t-il toujours demeurer tel.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  3. #33
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Tabou, vol. 26

    Au sommaire : Christophe Dolbeau : Des Américains au service de l’Axe. – Tué par inadvertance… – Lee Richards : Rumeurs de guerre. [La diffusion de rumeurs par la Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale, en particulier à propos de maladies et de gaz toxiques, a-t-elle donné naissance aux « chambres à gaz » homicides du IIIe Reich ?] – Robert A. Graham : Le Vatican dans la guerre psychologique de l’Angleterre, 1939-1945. L’histoire des « sibs » ou « mensonges autorisés ». – Thomas Kues : Trois livres sur Treblinka. – James J. Weingartner : Trophées de guerre : les troupes américaines et la mutilation des Japonais morts au combat, 1941-1945. – Robert Hampton : Le piège de l’ «avant-garde révolutionnaire ». – Greg Johnson : Les différences irréconciliables : des arguments en faveur du divorce racial.



    Raul Hilberg et les « centres de mise à mort » nationaux-socialistes

    Les sources et la méthode d’un bien étrange historien

    Carlo Mattogno


    Le révisionniste italien Carlo Mattogno passe ici au crible le chapitre de La Destruction des Juifs d’Europe de Raul Hilberg consacré aux « centres de mise à mort ». Ce chapitre représente la quintessence de cet ouvrage, le but vers quoi il tend tout entier, qui le justifie et en est la raison d’être. La conclusion de l’analyse de Mattogno est impitoyable. Pour lui, Hilberg n’a jamais fourni aucun effort personnel de documentation dans son domaine de spécialisation. Il ne s’est absolument pas soucié de trouver d’éventuels documents sur les « centres de mise à mort » in loco, en Pologne ; il n’a même pas eu la curiosité de visiter des archives capitales, comme celles du musée d’Auschwitz, ou importantes, comme celles du musée de Lublin-Majdanek ou de Stutthof, ni d’inspecter les lieux : il s’est borné à produire un pâle résumé de la littérature exterminationniste et mémorielle de l’époque.

    https://www.akribeia.fr/histoire-cri...cialistes.html


    Écrits révisionnistes (1993-1998), tome IV

    Robert Faurisson


    3e édition

    Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  4. #34
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Les Rapports de la résistance polonaise sur les chambres à gaz d’Auschwitz (1941-1944)

    Enrique Aynat

    L’auteur a toujours été curieux de savoir quelles informations le gouvernement polonais en exil et le mouvement clandestin polonais à l’intérieur de la Pologne – la résistance – possédaient sur le camp de concentration allemand d’Auschwitz. Il a déjà consacré un travail à cette question. Il y indiquait que la résistance polonaise, et donc le gouvernement polonais en exil, savait ce qui se passait à l’intérieur d’Auschwitz. Les membres des différentes organisations de résistance étaient bien placés dans les centres névralgiques du camp de concentration, tels que le bureau central, l’hôpital, la direction des constructions, le bureau d’affectation des tâches et la section politique. Il est clair que la résistance ne pouvait ignorer les événements majeurs du camp, et en particulier la présumée extermination massive des Juifs.

    Dans le présent ouvrage, l’intérêt du révisionniste espagnol Enrique Aynat s’est porté sur l’étude des informations traitées par la résistance concernant le principal instrument avec lequel, prétendument, s’effectuait une telle extermination de masse : les chambres à gaz homicides.



    Le Gouvernement polonais en exil et Auschwitz

    Enrique Aynat


    d’après le périodique Polish Fortnightly Review, 1940-1945


    Le révisionniste espagnol Enrique Aynat a cherché à savoir comment avait pu réagir le gouvernement polonais en exil devant les gigantesques tueries de Juifs qui étaient censées se produire dans le camp de concentration d’Auschwitz. Il est parti de l’hypothèse selon laquelle, s’il s’était produit à Auschwitz un grand massacre de Juifs, le gouvernement polonais en exil aurait dû en avoir connaissance et, en conséquence, aurait réagi d’une manière ou d’une autre.

    Le but que le révisionniste espagnol s’est proposé dans la présente étude a été de vérifier ce que publia sur Auschwitz le périodique Polish Fortnightly Review, organe du ministère de l’Intérieur du gouvernement polonais à Londres et principal véhicule de dissémination de la propagande polonaise en langue anglaise.

    Au fil de son analyse, l’auteur a constaté que la Polish Fortnightly Review donna d’amples informations sur le camp de concentration d’Auschwitz, mais nullement dans le sens d’une liquidation de Juifs qui se serait produite là-bas et, parallèlement, elle fit fréquemment allusion à l’extermination de Juifs mais sans jamais dire qu’elle avait lieu à Auschwitz.

    La réalité est que la Polish Fortnightly Review, qui pouvait savoir – et savait sans aucun doute – ce qui se passait à Auschwitz, s’est, de 1942 à mai 1945, abstenue de toute référence à une extermination de Juifs qui aurait été effectuée durant plus de trois années dans ce camp.



    Mise à mort de deux innocents

    Le Zyklon B, Auschwitz et le procès du Dr Bruno Tesch


    William B. Lindsey

    En 1923, le Dr Tesch créa, avec Paul Stabenow, la société Tesch und Stabenow, dont il deviendra par la suite l’unique propriétaire. Tesch und Stabenow était une entreprise de lutte contre les nuisibles, à l’image de celles qui existaient à la même époque aux États-Unis ou en Angleterre. Elle vendait avant tout ses services et son savoir-faire en matière de lutte contre la vermine. Elle ne fabriquait pas le Zyklon B ni les autres produits chimiques utilisés par son service de fumigation, mais les achetait auprès des usines spécialisées. Avant la guerre, l’entreprise du Dr Tesch connut un rapide essor, car il était désormais possible, grâce au Zyklon B, de désinfecter avec succès des bateaux entiers, des bâtiments, des maisons d’habitation, des salles de réfectoire, des baraquements, des moulins à grains, des silos, des voitures de chemin de fer, etc., sans abîmer leur contenu.

    Après la Seconde Guerre mondiale, les autorités d’occupation alliées accusèrent le Dr Tesch et son directeur commercial délégué Karl Weinbacher d’avoir recommandé l’utilisation du Zyklon B et d’avoir livré en toute connaissance de cause ce produit mortel pour tuer plusieurs millions de Juifs à Auschwitz-Birkenau. Condamnés à mort par un tribunal militaire britannique, le Dr Bruno Tesch et Karl Weinbacher furent pendus à la prison de Hamelin (Allemagne), le 16 mai 1946. C’est le destin tragique de ces deux hommes que nous rappelle ici William B. Lindsey.



    Traitement spécial à Auschwitz

    Origine et signification d’une expression


    Carlo Mattogno

    S’il est incontestable que, dans nombre de documents du Troisième Reich, l’expression « traitement spécial » est synonyme d’exécution ou de liquidation, cela ne signifie pas qu’elle ait toujours et exclusivement eu ce sens. On dispose de documents dans lesquels le « traitement spécial » n’équivalait pas du tout à un assassinat, et d’autres encore où il désignait un « traitement de faveur ». Le « traitement spécial » des prisonniers de marque des états hostiles au Troisième Reich qui jouissaient d’un traitement princier dans des hôtels de luxe est par exemple bien connu.

    Par ailleurs, il y a abondance de documents importants dans lesquels l’expression « traitement spécial » (ainsi que d’autres prétendus « termes codés » comme « mesures spéciales », « opération spéciale » ou « unité spéciale ») couvre toute une palette de significations variées, mais qui correspondent à des aspects parfaitement ordinaires de la vie au camp d’Auschwitz et ne renvoient jamais à l’assassinat d’êtres humains. La plupart de ces documents ne sont pas connus des chercheurs, et, quand ils le sont, la signification de leur contenu a été et est toujours gauchie par les représentants de l’historiographie exterminationniste.

    Dans la présente étude, ces documents sont mis à la disposition du lecteur, analysés dans leur contexte historique et des recoupements sont effectués. Par ce moyen, le révisionniste italien Carlo Mattogno montre ce que les documents disent vraiment et non ce que révèlent le « déchiffrage » et l’interprétation mécanique de supposés « termes codés ». En réalité, le « traitement spécial » n’était aucunement un « mot de code » cachant l’indicible, mais plutôt un concept bureaucratique qui, en fonction du contexte, désignait des choses entièrement différentes, de la liquidation au traitement de faveur. Cette réalité contredit l’interprétation prônée par l’historiographie exterminationniste, à savoir que le « traitement spécial » aurait toujours et sans réserve aucune été synonyme d’assassinat.



    Une allumette sur la banquise. Écrits de combat (1980-1992)

    Serge Thion


    Serge Thion avait rassemblé la matière de ce volume au début de 1990. Dix ans avaient passé depuis qu’il avait publié Vérité historique ou vérité politique ?, qui avait fourni à l’époque le premier dossier à peu près complet de l’affaire du révisionnisme. Il y décrivait comment était né ce qu’on appelle l’affaire Faurisson et examinait les sources disponibles concernant l’affaire dite des « chambres à gaz ». Il notait que la documentation fiable était restreinte et que nombre de témoignages soulevaient de graves questions. Il concluait en disant que cette période, comme n’importe quelle autre, devait désormais entrer dans le champ de la recherche historique et de ses méthodes établies. À cela s’ajoutait un dossier de textes dus au professeur Faurisson, afin que les lecteurs puissent se faire une opinion par eux-mêmes. Ce livre devait être difficilement contestable puisque, s’il a été largement vilipendé par une presse qui s’est gardée de rendre compte de son contenu, il n’a jamais été critiqué dans le détail, ni attaqué devant les tribunaux.

    Dans les années qui suivirent, l’auteur continua à observer les déroulements de cette affaire, dans la presse et dans diverses publications. Il intervint plusieurs fois sur tel ou tel point. Il défendit un point de vue qui doit beaucoup à Rassinier et à une tradition libertaire où lui-même et beaucoup d’autres, dont la Vieille Taupe, s’abreuvèrent.

    Le présent volume est composé de textes datés qui sont des analyses ou des réactions à tel événement ou tel personnage qui a voulu participer au débat, public ou privé. Serge Thion a ajouté à l’ensemble des textes qui devaient être publiés en 1990 quelques autres, en annexe, qui participent de la même volonté d’instaurer un espace de libre réflexion sur l’histoire et la politique de notre temps. L’auteur ne croit détenir aucune vérité particulière mais est sûr de son droit d’exercer un esprit critique auquel notre civilisation prétend reconnaître un rôle central. Ce droit est aussi celui des lecteurs à qui incombe d’examiner ses arguments, avant de les accepter, ou de les rejeter.



    La Base antarctique d’Hitler. Mythe et réalité

    Colin Summerhayes & Peter Beeching


    En janvier-février 1939, une expédition allemande secrète se rendit sur la terre de la Reine-Maud, en Antarctique, apparemment dans l’intention, entre autres, d’y établir une base. Entre 1943 et 1945, les Britanniques lancèrent une opération secrète en Antarctique, sous le nom de code Tabarin. Il semblerait que des hommes du Special Air Services Regiment (SAS), les forces secrètes britanniques chargées d’opérer derrière les lignes, y aient participé. En juillet et août 1945, après la capitulation allemande, deux U-Boote arrivèrent en Argentine. S’étaient-ils rendus en Antarctique pour débarquer des trésors ou des fonctionnaires nazis ? Au cours de l’été austral de 1946-1947, la marine américaine semble avoir « envahi » l’Antarctique avec des forces importantes. L’opération, dont le nom de code était Highjump, fut classée confidentielle. En 1958, trois armes nucléaires explosèrent dans la région, dans le cadre d’une autre opération américaine classifiée, sous le nom de code Argus. Compte tenu du manque initial d’informations sur ces différentes activités, il n’est peut-être pas surprenant que certains les associent afin de bâtir un scénario dans lequel les gouvernements seraient accusés de supprimer les informations sur « ce qui s’est réellement passé » et utilisent ces informations pour construire le mythe d’une grande base allemande en Antarctique et des efforts alliés pour la détruire. En utilisant les connaissances de base sur l’Antarctique et les informations concernant ces activités qui ont été publiées depuis le début des années 1940, les auteurs font œuvre salutaire de démystification.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  5. #35
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Wewelsburg. Histoire d'un nouveau Montsalvat

    Edwige Thibaut


    L’ensemble du territoire culturel européen est parsemé de châteaux, citadelles, places fortes, forteresses, comme autant de marques d’un certain état d’esprit. Dans les légendes, les châteaux sont les centres d’un cheminement initiatique, d’un combat métaphysique. Dans la vie, ils sont des affirmations de culture, de pouvoir, des lieux de défense. Dans les deux cas, ils caractérisent un type d’hommes particulier : une aristocratie guerrière, exigeante, qui aime se mettre à l’épreuve dans les grandes ou les petites guerres saintes. Lorsqu’il visita Wewelsburg pour la première fois en 1933, Heinrich Himmler, chef de la SS, fit un rêve singulier : unir ces deux visions dans ce qui deviendrait le haut lieu de son futur Ordre militaire européen. Dès lors, pendant près de dix ans, le château fut restauré, repensé, métamorphosé. Il sera à la fois un espace de retraite, de commandement, de recherche culturelle et un centre de réflexion identitaire. Il s’affirmera microcosme d’une projection métapolitique prodigieuse empreinte de majesté de mystère et d’ombre terrible. Mais avant d’acquérir cette réputation politique devenue très sulfureuse, Wewelsburg a eu une autre histoire. Il appartenait déjà à un monde fourmillant de légendes et combats épiques, ponctué de sites à la sacralité se perdant dans le temps. De ce fait, pour tous les patriotes allemands, la Saxe-Westphalie où il se situe a fait figure d’emblème de résistance identitaire. Plus tard, des princes-évêques y installeront leur résidence. En s’appuyant sur des documents inédits et des découvertes récentes, ce livre nous raconte son histoire ainsi que celle de ses acteurs. Il nous expose les raisons qui ont présidé à son choix et décrypte l’univers des influences et des symboles qui l’imprègnent. Pour la première fois, il nous fait franchir le seuil du seul Ordensburg connu de la SS et analyse la nature du travail culturel qui y fut effectué. Ce faisant, il contribue à mettre fin aux affabulations et instrumentalisations venues de tous bords et rétablit Wewelsburg dans sa vérité première : celle d’un endroit enchanteur.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  6. #36
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Au cœur des Panzertruppen

    Hans von Luck


    Les mémoires de guerre de Hans von Luck, officier ayant servi dans les plus prestigieuses Panzer-Divisionen de 1939 à 1945, enfin accessibles en français ! Ayant combattu sur tous les fronts, des plaines du nord de la France en 1940, en passant par la Russie en 1941, la Libye et l’Égypte en 1942, ou encore la Normandie et l’Alsace en 1944, puis l’Allemagne en 1945, von Luck nous livre un récit haletant de son engagement, jusqu’à sa capture par les Soviétiques et ses années de goulag !


    Maquis blancs

    Olivier Pigoreau


    De l’été de la Libération jusqu’au printemps 1945, les services spéciaux allemands ont mené sur le sol français une guerre secrète comparable à celle conduite entre 1940 et 1944 par les Alliés. Des centaines d’hommes et de femmes, militants du Parti populaire français de Doriot, miliciens et autres partisans de la cause du Reich réfugiés sur l’autre rive du Rhin ont été infiltrés dans notre pays, notamment par parachutages, afin de créer un mouvement de résistance qui mènerait la lutte contre les armées occidentales et saperait l’autorité du nouveau gouvernement. Dans les zones montagneuses, les ultras de la collaboration rêvaient de créer des « maquis blancs » et, partout ailleurs, de mettre sur pied des réseaux de renseignement et d’action. La formation des agents, leurs matériels et leurs missions : ce livre lève le voile sur une guerre restée inconnue.

    https://www.akribeia.fr/occupation/2...is-blancs.html

    La Libération de Dachau entre légende et réalité

    Jürgen Zarusky

    C’est dans l’après-midi du 29 avril 1945, un dimanche, que des soldats américains libérèrent le camp de concentration de Dachau, où environ 32 000 prisonniers de toute l’Europe étaient alors incarcérés. L’arrivée des Américains rendit la liberté aux captifs, les délivra de la faim et du typhus. Bien que la prise du camp par les Américains ne se soit pas réalisée sans quelques combats, ils ne subirent aucune perte, et tout se passa assez rapidement. Toutefois, nombre de SS encore présents dans le camp furent tués, une partie d’entre eux après qu’ils se furent rendus. Sur ces événements, les comptes rendus dont on dispose sont à maints égards contradictoires et confus. Lorsque, en 1986, l’ancien colonel et médecin militaire Howard A. Buechner publia son livre, Dachau : The Hour of the Avenger, il sembla fournir la confirmation irréfutable du massacre systématique, par des soldats américains, du détachement des gardiens du camp de Dachau. Buechner possédait en effet la double autorité de témoin oculaire et de membre des forces de libération. Jürgen Zarusky réexamine dans la présente étude les pièces du dossier avec le regard critique de l’historien.

    Vérité historique ou vérité politique ?

    Le dossier de l’affaire Faurisson. La question des chambres à gaz


    Serge Thion


    Voici un individu qui affirme que les chambres à gaz des camps de concentration allemands n’ont jamais existé, qu’elles sont essentiellement un mythe, né des horreurs de la guerre. Mais chose étrange, le fait divers s’enfle et prend des proportions inattendues. La presse, certains politiciens, certains historiens, la justice même, en font une « affaire ». On l’attaque, on le condamne, mais on ne lui répond pas. Pour qui veut d’abord comprendre ce qui s’est passé à cette époque sombre, le chemin ne sera pas sans surprises. Il faut avoir eu en main les éléments du dossier pour voir que, si la politique est satisfaite, l’histoire ne l’est pas. De cette histoire, que savons-nous, et comment le savons-nous ? Quelles sont les questions que nous pouvons nous poser ? Pour l’auteur, une seule certitude qu’il voudrait faire partager : la question n’est pas résolue !

    https://www.akribeia.fr/histoire-cri...olitique-.html

    Les Mensonges du musée d’Auschwitz

    Altération de preuves, dénaturation de documents, raisonnements fallacieux


    Carlo Mattogno

    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le musée d’Auschwitz cherche désespérément à trouver des preuves documentaires pour étayer l’affirmation selon laquelle des personnes furent massacrées à Auschwitz dans d’immenses abattoirs chimiques appelés « chambres à gaz ». Ses responsables ont été totalement incapables d’y parvenir. Pourtant, ils continuent à prétendre le contraire, tout en ignorant délibérément toutes les publications qui réfutent leurs affirmations. Il est apparu à maintes reprises que les publications du musée sont truffées de traductions inexactes, de déformations, d’incohérences, de raisonnements erronés, de contradictions et d’absurdités. Le présent ouvrage est consacré à l’analyse dévastatrice, par l’historien révisionniste Carlo Mattogno, de l’une de ces publications. Cette étude est précédée d’un texte sur l’imposture de la chambre à gaz du crématoire I d’Auschwitz.


    Au sommaire : Kerry Bolton : En défense des sans-défense. Les Américains qui s’opposèrent aux mauvais traitements infligés aux Allemands après la Seconde Guerre mondiale. – Frederick H. Gareau : Le plan de Morgenthau pour le désarmement industriel de l’Allemagne. – Christophe Dolbeau : La tragédie d’Abbeville et l’assassinat de Thierry de Ludre. – Jürgen Graf : David Irving et les « camps de l’opération Reinhardt ». – Panagiotis Heliotis : Personne n’a nié que c’est arrivé ? – Paul Grubach : Le conspirateur Wiesenthal, le témoignage d’Eichmann et l’Holocauste. La contribution de Deborah Lipstadt au révisionnisme de l’Holocauste. – Panagiotis Heliotis : La négation de l’Holocauste et du génocide : une perspective contextuelle.


    Guerre

    Céline


    Parmi les manuscrits de Louis-Ferdinand Céline récemment retrouvés figurait une liasse de deux cent cinquante feuillets révélant un roman dont l’action se situe dans les Flandres durant la Grande Guerre. Avec la transcription de ce manuscrit de premier jet, écrit quelque deux ans après la parution de Voyage au bout de la nuit (1932), une pièce capitale de l’œuvre de l’écrivain est mise au jour. Car Céline, entre récit autobiographique et œuvre d’imagination, y lève le voile sur l’expérience centrale de son existence : le traumatisme physique et moral du front, dans l’ « abattoir international en folie ». On y suit la convalescence du brigadier Ferdinand depuis le moment où, gravement blessé, il reprend conscience sur le champ de bataille jusqu'à son départ pour Londres. À l’hôpital de Peurdu-sur-la-lys, objet de toutes les attentions d’une infirmière entreprenante, Ferdinand, s’étant lié d’amitié au souteneur Bébert, trompe la mort et s’affranchit du destin qui lui était jusqu’alors promis. Ce temps brutal de la désillusion et de la prise de conscience, que l’auteur n’avait jamais abordé sous la forme d’un récit littéraire autonome, apparaît ici dans sa lumière la plus crue. Vingt ans après 14, le passé, « toujours saoul d'oubli », prend des « petites mélodies en route qu’on lui demandait pas ». Mais il reste vivant, à jamais inoubliable, et Guerre en témoigne tout autant que la suite de l’œuvre de Céline.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  7. #37
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Au cœur des Panzertruppen

    Hans von Luck


    Les mémoires de guerre de Hans von Luck, officier ayant servi dans les plus prestigieuses Panzer-Divisionen de 1939 à 1945, enfin accessibles en français ! Ayant combattu sur tous les fronts, des plaines du nord de la France en 1940, en passant par la Russie en 1941, la Libye et l’Égypte en 1942, ou encore la Normandie et l’Alsace en 1944, puis l’Allemagne en 1945, von Luck nous livre un récit haletant de son engagement, jusqu’à sa capture par les Soviétiques et ses années de goulag !


    Maquis blancs

    Olivier Pigoreau


    De l’été de la Libération jusqu’au printemps 1945, les services spéciaux allemands ont mené sur le sol français une guerre secrète comparable à celle conduite entre 1940 et 1944 par les Alliés. Des centaines d’hommes et de femmes, militants du Parti populaire français de Doriot, miliciens et autres partisans de la cause du Reich réfugiés sur l’autre rive du Rhin ont été infiltrés dans notre pays, notamment par parachutages, afin de créer un mouvement de résistance qui mènerait la lutte contre les armées occidentales et saperait l’autorité du nouveau gouvernement. Dans les zones montagneuses, les ultras de la collaboration rêvaient de créer des « maquis blancs » et, partout ailleurs, de mettre sur pied des réseaux de renseignement et d’action. La formation des agents, leurs matériels et leurs missions : ce livre lève le voile sur une guerre restée inconnue.

    https://www.akribeia.fr/occupation/2...is-blancs.html

    La Libération de Dachau entre légende et réalité

    Jürgen Zarusky

    C’est dans l’après-midi du 29 avril 1945, un dimanche, que des soldats américains libérèrent le camp de concentration de Dachau, où environ 32 000 prisonniers de toute l’Europe étaient alors incarcérés. L’arrivée des Américains rendit la liberté aux captifs, les délivra de la faim et du typhus. Bien que la prise du camp par les Américains ne se soit pas réalisée sans quelques combats, ils ne subirent aucune perte, et tout se passa assez rapidement. Toutefois, nombre de SS encore présents dans le camp furent tués, une partie d’entre eux après qu’ils se furent rendus. Sur ces événements, les comptes rendus dont on dispose sont à maints égards contradictoires et confus. Lorsque, en 1986, l’ancien colonel et médecin militaire Howard A. Buechner publia son livre, Dachau : The Hour of the Avenger, il sembla fournir la confirmation irréfutable du massacre systématique, par des soldats américains, du détachement des gardiens du camp de Dachau. Buechner possédait en effet la double autorité de témoin oculaire et de membre des forces de libération. Jürgen Zarusky réexamine dans la présente étude les pièces du dossier avec le regard critique de l’historien.


    Vérité historique ou vérité politique ?

    Le dossier de l’affaire Faurisson. La question des chambres à gaz


    Serge Thion


    Voici un individu qui affirme que les chambres à gaz des camps de concentration allemands n’ont jamais existé, qu’elles sont essentiellement un mythe, né des horreurs de la guerre. Mais chose étrange, le fait divers s’enfle et prend des proportions inattendues. La presse, certains politiciens, certains historiens, la justice même, en font une « affaire ». On l’attaque, on le condamne, mais on ne lui répond pas. Pour qui veut d’abord comprendre ce qui s’est passé à cette époque sombre, le chemin ne sera pas sans surprises. Il faut avoir eu en main les éléments du dossier pour voir que, si la politique est satisfaite, l’histoire ne l’est pas. De cette histoire, que savons-nous, et comment le savons-nous ? Quelles sont les questions que nous pouvons nous poser ? Pour l’auteur, une seule certitude qu’il voudrait faire partager : la question n’est pas résolue !

    https://www.akribeia.fr/histoire-cri...olitique-.html

    Les Mensonges du musée d’Auschwitz

    Altération de preuves, dénaturation de documents, raisonnements fallacieux


    Carlo Mattogno

    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le musée d’Auschwitz cherche désespérément à trouver des preuves documentaires pour étayer l’affirmation selon laquelle des personnes furent massacrées à Auschwitz dans d’immenses abattoirs chimiques appelés « chambres à gaz ». Ses responsables ont été totalement incapables d’y parvenir. Pourtant, ils continuent à prétendre le contraire, tout en ignorant délibérément toutes les publications qui réfutent leurs affirmations. Il est apparu à maintes reprises que les publications du musée sont truffées de traductions inexactes, de déformations, d’incohérences, de raisonnements erronés, de contradictions et d’absurdités. Le présent ouvrage est consacré à l’analyse dévastatrice, par l’historien révisionniste Carlo Mattogno, de l’une de ces publications. Cette étude est précédée d’un texte sur l’imposture de la chambre à gaz du crématoire I d’Auschwitz.


    Au sommaire : Kerry Bolton : En défense des sans-défense. Les Américains qui s’opposèrent aux mauvais traitements infligés aux Allemands après la Seconde Guerre mondiale. – Frederick H. Gareau : Le plan de Morgenthau pour le désarmement industriel de l’Allemagne. – Christophe Dolbeau : La tragédie d’Abbeville et l’assassinat de Thierry de Ludre. – Jürgen Graf : David Irving et les « camps de l’opération Reinhardt ». – Panagiotis Heliotis : Personne n’a nié que c’est arrivé ? – Paul Grubach : Le conspirateur Wiesenthal, le témoignage d’Eichmann et l’Holocauste. La contribution de Deborah Lipstadt au révisionnisme de l’Holocauste. – Panagiotis Heliotis : La négation de l’Holocauste et du génocide : une perspective contextuelle.


    Guerre

    Céline


    Parmi les manuscrits de Louis-Ferdinand Céline récemment retrouvés figurait une liasse de deux cent cinquante feuillets révélant un roman dont l’action se situe dans les Flandres durant la Grande Guerre. Avec la transcription de ce manuscrit de premier jet, écrit quelque deux ans après la parution de Voyage au bout de la nuit (1932), une pièce capitale de l’œuvre de l’écrivain est mise au jour. Car Céline, entre récit autobiographique et œuvre d’imagination, y lève le voile sur l’expérience centrale de son existence : le traumatisme physique et moral du front, dans l’ « abattoir international en folie ». On y suit la convalescence du brigadier Ferdinand depuis le moment où, gravement blessé, il reprend conscience sur le champ de bataille jusqu'à son départ pour Londres. À l’hôpital de Peurdu-sur-la-lys, objet de toutes les attentions d’une infirmière entreprenante, Ferdinand, s’étant lié d’amitié au souteneur Bébert, trompe la mort et s’affranchit du destin qui lui était jusqu’alors promis. Ce temps brutal de la désillusion et de la prise de conscience, que l’auteur n’avait jamais abordé sous la forme d’un récit littéraire autonome, apparaît ici dans sa lumière la plus crue. Vingt ans après 14, le passé, « toujours saoul d'oubli », prend des « petites mélodies en route qu’on lui demandait pas ». Mais il reste vivant, à jamais inoubliable, et Guerre en témoigne tout autant que la suite de l’œuvre de Céline.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  8. #38
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Drakkars sur l’Amazone

    Jacques de Mahieu


    Jacques de Mahieu, Directeur de l’Institut des Sciences de l’Homme de Buenos-Aires, s’est fait tour à tour historien, ethnologue et archéologue pour raconter l’une des plus méconnues et des plus fantastiques aventures pionnières : la découverte de l’Amérique par les Vikings.

    Au sud de l’Amazone, dans l’état brésilien du Piaui, Jacques de Mahieu a relevé et identifié les Sept-Villes, un lieu de culte qu’il attribue aux Vikings. À deux mille kilomètres à vol d’oiseau plus au sud, l’énorme figure d’un vieillard barbu, coiffé du casque ogival d’Odin, domine Rio de Janeiro.

    L’inscription qu’elle porte – aujourd’hui enfin traduite – marque un jalon essentiel de la route maritime qui reliait l’embouchure de l’Amazone aux ports du Sud, vers lesquels les « chemins mœlleux » conduisaient les « Danois » de Tiahuanacu. Et dans l’intérieur du pays brésilien vivent encore des tribus d’Indiens « blancs », héritiers des lointains conquérants scandinaves…

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  9. #39
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Auschwitz dans les rapports polonais et les témoignages (1941-1947)

    Genèse et évolution de l’histoire des chambres à gaz

    Carlo Mattogno


    Les premiers groupes de résistance apparurent à Auschwitz dès la seconde moitié de 1940 et se multiplièrent dans les années qui suivirent. Ces groupes recevaient du dehors l’aide du mouvement de résistance polonais, qui s’articulait en plusieurs organisations, qui étaient en contact avec les détenus d’Auschwitz par l’intermédiaire d’ouvriers civils polonais employés dans le camp, dont elles recevaient des messages et des informations qu’elles transmettaient à la Delegatura, la représentation clandestine en Pologne occupée du gouvernement polonais en exil à Londres. La Delegatura était divisée en vingt services, dont le cinquième, le « Département de l’Information et de la Presse », était chargé de la collecte, du traitement et de la transmission à Londres des informations provenant des camps. Les historiens polonais ont étudié à fond tous ces aspects, mais le problème fondamental reste entier : que savaient en vérité les détenus sur l’extermination présumée des Juifs ? Et quelles étaient leurs véritables sources ? La présente étude vise à répondre à ces questions.

    Dans un premier temps, l’auteur expose et commente les rapports fantaisistes de la résistance du camp et des détenus évadés avant la fin 1944, en retraçant les origines et les développements contradictoires de l’histoire des chambres à gaz d’Auschwitz. En règle générale, les sources sont examinées dans leur version originale, qui est la plupart du temps en polonais.

    Il passe ensuite à l’étude des témoignages postérieurs à l’arrivée des Soviétiques à Auschwitz, ce jusqu’en 1947, année où se sont tenus, à Varsovie, le procès contre l’ancien commandant d’Auschwitz Rudolf Höss et, à Cracovie, celui de la garnison du camp. Ces procès forgèrent la version finale de l’histoire globale des chambres à gaz qui aura cours désormais. L’auteur examine enfin les premières tentatives visant à historiciser les fantasmes des résistants et analyse les efforts de certains historiens officiels pour justifier à tout prix des témoignages manifestement mensongers.

    Le présent ouvrage de l’historien révisionniste Carlo Mattogno offre un ensemble très vaste de sources dont un nombre non négligeable de rapports et de témoignages ignorés à ce jour par l’historiographie exterminationniste.



    Mon journal des temps de lutte et de victoire

    Roberto Farinacci


    Roberto Farinacci, dit « le Ras de Crémone », fut un des fondateurs des Faisceaux italiens de combat et leur organisateur dans le Nord de l’Italie. Son Journal des temps de lutte et de victoire, que l’on peut comparer à Combat pour Berlin de Joseph Goebbels relate l’action qu’il mena de la réunion fondatrice des Faisceaux, place du Saint Sépulcre à Milan, jusqu’à la Marche sur Rome contre les rouges et pour la grandeur de l’Italie. À ce titre, c’est un document historique important qui était cependant, jusqu’à maintenant, resté inédit en français.



    C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit

    Alfred Leverrier


    Alfred Caton dit Alfred Leverrier intégra le 1er contingent de la L.V.F. en 1941. Il fut chargé de la propagande (Sonderführer) en 1943 au sein du IIe bataillon, ainsi que correspondant de guerre au Combattant européen et à La Gerbe d'Alphonse de Chateaubriant. Muté à la Charlemagne il sera le prisonnier des Américains avant d'être « remis » à la France. Il fut interné en juillet-août 1945 à la caserne Carnot à Chalon-sur-Saône puis jugé en mars 1946. 
Ses souvenirs ont été écrits tardivement sans notes, ni carnet d’époque, ce qui explique que la première édition sortie aux éditions Arctic était rempli de confusions graves. Cette nouvelle version des souvenirs du légionnaire Leverrier a été revue et corrigée tout en gardant l’esprit d’origine. Ce parcours d’un légionnaire antibolchevique qui finira dans la célèbre division Charlemagne quelques années plus tard méritait bien une réédition, dorénavant plus complète et définitive, de par la richesse de son itinéraire et des anecdotes qui ont ponctué son engagement.
    Dans un style alerte, il nous fait vivre sa vie de soldat dans les différents territoires de l'Est européen ainsi que ses rencontres avec Jacques Doriot, Robert Brasillach, Jean Fontenoy, Mgr Mayol de Lupé et bien d'autres encore!



    Guérilla 3 - Le dernier combat

    Laurent Obertone


    La France traversait la pire crise de son histoire. Préparez-vous au dernier combat. Une banale descente dans une cité, des jeunes abattus par un policier. L'embrasement du pays et l'effondrement de l'Etat. Vingt-sept jours de survie plus tard, l'ordre semble enfin de retour, avec lui le média, le vice politique et citoyen, tandis que de larges zones du territoire sont encore privées de tout, et que certains refusent toujours de déposer les armes. Sous un intense conditionnement et l'impulsion de milices « citoyennes », la crise semble sous contrôle. En réalité, rien n'est réglé. Le pouvoir en sursis pourrait être violemment confronté à ses limites, et la France livrée à un chaos bien plus terrible encore. Au milieu de cette convulsion indécise, Gite, Escard, Danjou, la fillette et les autres, tous se préparent à jeter leurs dernières forces dans l'affrontement final. Voilà l'univers réduit à la terreur, et voici sonnée l'heure de la guerre totale. Après ses deux premiers tomes best-seller Le jour où tout s'embrasa et Le temps des barbares, Laurent Obertone poursuit son voyage au bout de l'enfer et conclut de manière magistrale sa saga Guerilla : celle de l'effondrement d'une nation.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  10. #40
    Veteran Member PHDNM's Avatar
    Join Date
    Aug 2016
    Last Online
    03-11-2024 @ 05:28 AM
    Meta-Ethnicity
    Celtic
    Ethnicity
    French
    Country
    France
    Gender
    Posts
    12,414
    Thumbs Up
    Received: 6,121
    Given: 1,884

    0 Not allowed!

    Default

    Auschwitz dans les rapports polonais et les témoignages (1941-1947)

    Genèse et évolution de l’histoire des chambres à gaz

    Carlo Mattogno


    Les premiers groupes de résistance apparurent à Auschwitz dès la seconde moitié de 1940 et se multiplièrent dans les années qui suivirent. Ces groupes recevaient du dehors l’aide du mouvement de résistance polonais, qui s’articulait en plusieurs organisations, qui étaient en contact avec les détenus d’Auschwitz par l’intermédiaire d’ouvriers civils polonais employés dans le camp, dont elles recevaient des messages et des informations qu’elles transmettaient à la Delegatura, la représentation clandestine en Pologne occupée du gouvernement polonais en exil à Londres. La Delegatura était divisée en vingt services, dont le cinquième, le « Département de l’Information et de la Presse », était chargé de la collecte, du traitement et de la transmission à Londres des informations provenant des camps. Les historiens polonais ont étudié à fond tous ces aspects, mais le problème fondamental reste entier : que savaient en vérité les détenus sur l’extermination présumée des Juifs ? Et quelles étaient leurs véritables sources ? La présente étude vise à répondre à ces questions.

    Dans un premier temps, l’auteur expose et commente les rapports fantaisistes de la résistance du camp et des détenus évadés avant la fin 1944, en retraçant les origines et les développements contradictoires de l’histoire des chambres à gaz d’Auschwitz. En règle générale, les sources sont examinées dans leur version originale, qui est la plupart du temps en polonais.

    Il passe ensuite à l’étude des témoignages postérieurs à l’arrivée des Soviétiques à Auschwitz, ce jusqu’en 1947, année où se sont tenus, à Varsovie, le procès contre l’ancien commandant d’Auschwitz Rudolf Höss et, à Cracovie, celui de la garnison du camp. Ces procès forgèrent la version finale de l’histoire globale des chambres à gaz qui aura cours désormais. L’auteur examine enfin les premières tentatives visant à historiciser les fantasmes des résistants et analyse les efforts de certains historiens officiels pour justifier à tout prix des témoignages manifestement mensongers.

    Le présent ouvrage de l’historien révisionniste Carlo Mattogno offre un ensemble très vaste de sources dont un nombre non négligeable de rapports et de témoignages ignorés à ce jour par l’historiographie exterminationniste.



    Mon journal des temps de lutte et de victoire

    Roberto Farinacci


    Roberto Farinacci, dit « le Ras de Crémone », fut un des fondateurs des Faisceaux italiens de combat et leur organisateur dans le Nord de l’Italie. Son Journal des temps de lutte et de victoire, que l’on peut comparer à Combat pour Berlin de Joseph Goebbels relate l’action qu’il mena de la réunion fondatrice des Faisceaux, place du Saint Sépulcre à Milan, jusqu’à la Marche sur Rome contre les rouges et pour la grandeur de l’Italie. À ce titre, c’est un document historique important qui était cependant, jusqu’à maintenant, resté inédit en français.



    C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit

    Alfred Leverrier


    Alfred Caton dit Alfred Leverrier intégra le 1er contingent de la L.V.F. en 1941. Il fut chargé de la propagande (Sonderführer) en 1943 au sein du IIe bataillon, ainsi que correspondant de guerre au Combattant européen et à La Gerbe d'Alphonse de Chateaubriant. Muté à la Charlemagne il sera le prisonnier des Américains avant d'être « remis » à la France. Il fut interné en juillet-août 1945 à la caserne Carnot à Chalon-sur-Saône puis jugé en mars 1946. 
Ses souvenirs ont été écrits tardivement sans notes, ni carnet d’époque, ce qui explique que la première édition sortie aux éditions Arctic était rempli de confusions graves. Cette nouvelle version des souvenirs du légionnaire Leverrier a été revue et corrigée tout en gardant l’esprit d’origine. Ce parcours d’un légionnaire antibolchevique qui finira dans la célèbre division Charlemagne quelques années plus tard méritait bien une réédition, dorénavant plus complète et définitive, de par la richesse de son itinéraire et des anecdotes qui ont ponctué son engagement.
    Dans un style alerte, il nous fait vivre sa vie de soldat dans les différents territoires de l'Est européen ainsi que ses rencontres avec Jacques Doriot, Robert Brasillach, Jean Fontenoy, Mgr Mayol de Lupé et bien d'autres encore!



    Guérilla 3 - Le dernier combat

    Laurent Obertone


    La France traversait la pire crise de son histoire. Préparez-vous au dernier combat. Une banale descente dans une cité, des jeunes abattus par un policier. L'embrasement du pays et l'effondrement de l'Etat. Vingt-sept jours de survie plus tard, l'ordre semble enfin de retour, avec lui le média, le vice politique et citoyen, tandis que de larges zones du territoire sont encore privées de tout, et que certains refusent toujours de déposer les armes. Sous un intense conditionnement et l'impulsion de milices « citoyennes », la crise semble sous contrôle. En réalité, rien n'est réglé. Le pouvoir en sursis pourrait être violemment confronté à ses limites, et la France livrée à un chaos bien plus terrible encore. Au milieu de cette convulsion indécise, Gite, Escard, Danjou, la fillette et les autres, tous se préparent à jeter leurs dernières forces dans l'affrontement final. Voilà l'univers réduit à la terreur, et voici sonnée l'heure de la guerre totale. Après ses deux premiers tomes best-seller Le jour où tout s'embrasa et Le temps des barbares, Laurent Obertone poursuit son voyage au bout de l'enfer et conclut de manière magistrale sa saga Guerilla : celle de l'effondrement d'une nation.

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


Page 4 of 5 FirstFirst 12345 LastLast

Thread Information

Users Browsing this Thread

There are currently 1 users browsing this thread. (0 members and 1 guests)

Similar Threads

  1. L'enterrement chez les Varègues
    By Elveon in forum France
    Replies: 0
    Last Post: 10-12-2010, 01:20 PM
  2. Replies: 0
    Last Post: 03-14-2009, 09:26 PM

Bookmarks

Posting Permissions

  • You may not post new threads
  • You may not post replies
  • You may not post attachments
  • You may not edit your posts
  •