Le nouveau Sans Concession est paru

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Remerciements et projets

2 avril 2020

Je viens de terminer ma série la Shoarnaque. Les deux épisodes supplémentaires sur les Einsatzgruppen paraîtront un peu plus tard. Je remercie celles et ceux qui, par leur soutien, m'ont permis de réaliser ce projet. Soutien financier d'abord, car réaliser une telle série n'est pas gratuit.

Par exemple, les quelques images que vous avez pu voir dans le dernier épisode (voir illustration 1) m'ont coûté 180 dollars. Parce qu'elles sont issues d'un film qu'on ne trouve à l'état original que dans des archives payantes.

S'y ajoutent les ouvrages qu'il faut se procurer pour les avoir dans des versions complètes et en bonne qualité. Ce livre de 1934, par exemple, dont j'ai extrait quelques photos, m'a coûté 200 euros (voir illustration 2).

Tout cela sans compter les heures passées dans les archives à chercher, à lire, à collecter, à comparer... Sans votre soutien financier, ce travail serait impossible. Merci, donc, aux Internautes qui m'ont financé. Mais je n'oublie pas celles et ceux qui m'épaulent d'une façon ou d'une autre : envoi de documents, de liens, de messages amicaux... Qu'ils soient remerciés. Le jour où le révisionnisme triomphera, sa victoire sera aussi votre victoire.

Mon prochain grand projet est désormais la réédition revue et augmentée de mon ouvrage sur Oradour-sur-Glane. Je serai donc moins présent sur le Net, mais je continuerai tout de même à publier des vidéos que des sujets divers, toujours en lien avec mon combat.

Merci encore.

Vincent

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Le coronavirus, moins meurtrier que bombardiers anglo-américains

Le cliché ci-dessous n'a pas été pris ce 11 avril 2020 ; il ne montre pas des victimes de l'actuelle pandémie. Non, il a été pris le 11 avril 1944, quelque part en région parisienne. La veille et l'avant-veille, lors de ce qui fut appelé la "Pâques sanglante", les bombardiers anglo-américains avaient frappé la France. A Lille, on déplora plus de 400 morts ; dans la région parisienne, environ 180 ; sans compter les bilans moins lourds ici et là...

Gageons qu'en cette Pâques 2020, en France, le Covid-19 sera bien moins meurtrier que les bombardiers-anglo-américains de 1944.

Sur ces bombardements, on pourra consulter ces deux articles et cette vidéo que j'ai déjà publiés :

- "Une morte-vivante raconte les bombardements alliés" :

https://blogue-sc.com/2018/06/une-mo...dements-allies

- "Les orphelins des bombardements alliés, adoptés par les travailleurs français en Allemagne" :

https://blogue-sc.com/2018/06/les-or...s-en-allemagne

- "Du mariage royal (2018) à la « Pentecôte sanglante » (1944)" :

https://blogue-sc.com/2018/05/du-mar...sanglante-1944

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Un révisionniste doit rester prudent et objectif sur tous les sujets

Certains Internautes reprochent à Vincent Reynouard ses positions dans la « pandémie » liée au Covid-19. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard explique qu'il ne fait que mettre en pratique les enseignements du professeur Faurisson...

https://www.bitchute.com/video/IExBC7ITmy6o/

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Un révisionniste doit rester prudent et objectif sur tous les sujets

Certains Internautes reprochent à Vincent Reynouard ses positions dans la « pandémie » liée au Covid-19. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard explique qu'il ne fait que mettre en pratique les enseignements du professeur Faurisson...

https://www.bitchute.com/video/IExBC7ITmy6o/

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Ce que le destin d 'Adolf Hitler m'a appris (1/5)

Dans ce premier épisode, Vincent Reynouard s'appuie sur « Mein Kampf » pour expliquer pourquoi il est national-socialiste. Il souligne que le national-socialisme n'est d'aucun pays : né en France au début du XXe siècle, appliqué en Allemagne, ses piliers (primauté du Bien commun, nationalisme, racisme) sont universels.

Vincent Reynouard en vient ensuite à la question juive. Se référant à un précédent historique et à des travaux d'antijuifs, il explique pourquoi, bien que national-socialiste et conscient qu'Hitler avait de bonnes raisons de combattre les Juifs, il reste pour sa part « judéo-indifférent ».

https://www.bitchute.com/video/logihnFFJXKC/

Plan de ce premier épisode :

A) Sur les Juifs : un constat capital d'Adolf Hitler
1°) Le pilier central du national-socialisme
2°) Le national-socialisme rejette l'oppression comme système de gouvernement
3°) National-socialiste, je ne veux ni molester, ni tuer quiconque
4°) Le constat capital de Hitler sur les méthodes juives
5°) Antijudaïsme : le message du créateur du Prix International Robert Faurisson

B) L'Europe : un corps affaibli donc cible de tous les agents pathogènes, juifs ou autres
1°) L'exemple du roi Philippe le Bel qui chasse les Juifs en 1306 puis 1311
2°) Le constat désabusé d'un prêtre antijuif en 1896
3°) La conclusion d'un antijuif à la même époque

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (2)

Dans ce deuxième épisode, Vincent Reynouard rappelle que dès 1940, les peuples européens furent libérés de l'emprise juive. Par conséquent, l'Europe avait tous les atouts pour prendre le bon partie, c'est-à-dire celui du IIIe Reich. Et en effet, dans de nombreux pays, dont la France, un esprit communautaire surgit, démontrant une évolution des mentalités. Mais cette évolution concernait-elle la majorité ? Réponse au prochain épisode...

https://www.bitchute.com/video/UVTJvUyebDoO/

Plan de l'épisode :

C) Les deux raisons profondes de la défaite du IIIe Reich
I°) Première raison : l'Europe n'a pas suffisamment suivi
1°) A partir de 1940, de nombreux peuples d'Europe furent débarrassés de la propagande juive
2°) Malgré cette libération, l'Europe reste globalement endormie
3°) Dès 1940, l'Europe pouvait prendre le bon parti, celui du IIIe Reich
4°) L'exemple flagrant de la France
a) Ces Français patriotes qui voient clair et qui s'engagent
b) L'esprit communautaire surgit

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné. 3 : L'Europe unie et prospère que le Reich proposait

Dans cet épisode, Vincent Reynouard répond à l'argument selon lequel le peuple français avait raison de se dresser contre l'Occupant, soit par la Résistance, soit par l'attentisme. Il rappelle tous les appels de l'Allemagne pour une collaboration sincère, sur pied d'égalité, ainsi que tous ses gestes pour la construction, une fois la paix retrouvée, d'une Europe unie, où les cultures et les traditions nationales seraient conservées afin de parvenir à une amélioration générale de la qualité de la vie.

https://www.bitchute.com/video/8FhbUqQKxQf7/

Plan de l'épisode :

c) Mais une majorité se réfugie dans « l'attentisme pourrissant »
d) Les gestes de l'Allemagne envers la France et les initiatives du Gouvernement français

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (4) : Hitler était-il un pion aux mains des Juifs et de la Haute-Finance ?

Dans certains milieux nationalistes, on affirme qu'Hitler a été porté au pouvoir par Wall Street et que son projet d'Europe unie était une préfiguration du mondialisme. Dans cet épisode, Vincent Reynouard répond à ces deux accusations.

https://www.bitchute.com/video/Cm3Wc8KJgLBo/

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Cette fois, c'est la victoire qu'il faut remporter

Il y a 76 ans jour-pour-jour, le 7 mai 1944, un Anglais, John Amery, donna une conférence à Paris. Fils du secrétaire d'État britannique pour les Indes, John Amery était partisan de la collaboration la plus totale avec le Reich.

Ce 7 mai 1944, il lança : « Nous sommes en face de trois conceptions, et il faudra bien que l'une des trois triomphe. La première est le communisme, avec son cortège d'esclavage, de misères et de coups de revolver dans la nuque. La seconde est la ploutocratie juive, c'est-à-dire la réaction, et la troisième enfin, celle que nous voulons, c'est le triomphe d'un national-socialisme européen. »

L'orateur était persuadé que Hitler vaincrait car, disait-il : « Je ne veux pas croire qu'une civilisation de deux mille ans puisse s'écrouler devant le Talmud et la barbarie de la steppe. »

John Amery se trompait.

Pourquoi cette civilisation de deux mille ans s'est-elle effondrée ? Parce que, dans leur immense majorité, les Européens avaient, consciemment ou non, choisi le camp ennemi. D'ailleurs, John Amery lui-même le reconnut involontairement lorsqu'il lança : « Dans cette lutte à la vie et à la mort menée pour la civilisation, l'Allemagne seule a compris la grandeur de sa mission européenne. Il n'y a donc qu'une armée allemande pour soutenir le choc à l'Est, aidée d'une poignée de révolutionnaires convaincus. » John Amery avait bien vu : l'Allemagne était isolée en Europe ; seule une « poignée de révolutionnaires convaincus » l'avait rejointe. Quant au reste de la population, une fraction s'était engagée pour les Alliés, la majorité se réfugiant dans « l'attentisme ».

On m'objectera que parmi ces « attentistes », beaucoup auraient finalement accepté la victoire du Reich. Peut-être, mais le 20 avril 1942, alors que Hitler fêtait ses 53 ans, le quotidien « L'Ouest-Éclair » prévint que « l'attentisme n'était en fait qu'un refus d'entente avec l'Allemagne – donc, un choix en faveur de ses ennemis. On se mettait un bandeau sur les yeux, on refusait de choisir entre les deux camps sans s'apercevoir que ne pas choisir, dans le cas de la France, c'était avoir déjà choisi. » (voir « L'Ouest-Éclair », 20 avril 1942, p. 1) Le journaliste avait raison : dans les moments historiques, lorsqu'il s'agit de choisir son destin, ce n'est pas une acceptation molle, purement intérieure ou privée, que la Providence attend, c'est en engagement total, franc, public.

Cet engagement, trop peu d'Européens l'ont choisi, alors qu'ils avaient tout, absolument tout, pour comprendre. C'est ce que je démontrerai dans les prochains épisodes de ma série : « Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné ». Je démontrerai que dès 1940-1941, les Européens pouvaient savoir qui, dans cette guerre, représentait la civilisation et qui représentait la barbarie.

Allant plus loin, je soulignerai ce que j'estime être les erreurs commises par ceux qui, de 1941 à 1944, ont eu l'immense mérite de s'engager. Mon objectif n'est pas de critiquer mes aînés, mais d'enseigner mes contemporains afin que les mêmes erreurs ne soient pas commises à nouveau. Car cette fois, c'est la victoire que nous devons remporter.

Vincent