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Thread: Le nouveau Sans Concession est paru

  1. #1101
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    Être un phare dans la nuit (7)

    23/03/2023

    [SC. Avec le recul des années, pourriez-vous nous dire ce que vous avez appris de cette période de votre vie?]

    VR. Lorsqu’en 2015, j’ai songé au suicide et que le révisionnisme m’en a préservé, j’ai travaillé sur moi-même pour ne plus souffrir du manque de mes enfants. Au lieu de reporter la faute sur les autres (Marina, Marie, mes adversaires…), j’ai observé mon propre comportement. Plus précisément, je me suis posé la question: « pourquoi, en 2011, ai-je quitté ma famille? » Je me suis alors aperçu que j’avais agi sous l’emprise de la souffrance.

    En effet, si, au début de ma détention, Marina m’avait très bien soutenu, après plusieurs mois, son comportement avait subitement changé: ses lettres étaient remplies de reproches acerbes, si acerbes qu’à la fin, je ne les ouvrais même plus, et elles partaient directement à la corbeille.

    De plus, à ma sortie de prison, en avril 2011, il m’était impossible de revenir chez moi, en Belgique, car pendant ma détention, j’avais été placé sous contrôle judiciaire par les autorités françaises, dans le cadre d’une nouvelle affaire liée au révisionnisme. Contraint de rester en France, j’avais élu domicile chez ma mère.

    Je pensais que mes enfants les plus jeunes m’y accompagneraient, tandis que les plus âgés viendraient nous y rejoindre pendant les vacances d’été. Toutefois, il n’en fut rien. Le soir de ma sortie de prison, je partis seul chez ma mère, mes enfants rentrant à Bruxelles au terme d’une journée passée ensemble. Plus tard, Marina m’apprit que, pour les vacances d’été, les enfants viendraient dix jours et logeraient chez mes beaux-parents, à 20km de là.

    À cela s’ajoutaient deux autres faits que je tairai ici. J’en fus ulcéré. J’espérais passer du temps avec mes enfants; on m’offrait dix jours pendant l’été! Dépité, je me rapprochais d’une révisionniste qui m’avait écrit anonymement en prison et qui s’était révélée à ma sortie de prison dans un courriel: Marie. Nous nous rencontrâmes à Paris en mai 2011. Auprès d’elle, je trouvais du réconfort. En juillet 2011, j’envoyais une lettre à Marina pour lui annoncer que je la quittais. Pendant une vingtaine de jours, j’ai attendu une réponse. Rien n’est venu. Jamais.

    Repensant à tout cela en 2015 et 2016, j’ai compris que j’avais souffert d’attentes déçues. J’attendais un soutien total et sans faille de Marina, j’attendais la venue de mes enfants à ma sortie de prison. Les événements m’avaient déçu, j’en souffrais beaucoup et sous l’emprise de la souffrance, j’avais commis une faute tragique.

    Cette souffrance était concevable, mais cela ne m’autorisait pas à abandonner ma famille! J’ai alors compris que si je m’étais très mal comporté, ce n’était ni par égoïsme ni par méchanceté, mais parce que je souffrais d’attentes déçues.

    Ayant réalisé cela, j’ai examiné le comportement de Marina. L’évidence m’est alors apparue, aveuglante: elle aussi avait dû souffrir d’attentes déçues cruellement, et cela dès le début, dès 1991-1992. J’avais toujours privilégié le révisionnisme et l’avais négligée…

    Plus généralement, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il n’y a pas, chez les gens, de méchanceté intrinsèque; une personne qui se comporte méchamment est une personne qui souffre, même si elle l’ignore (je pense ici aux souffrances de l’enfance).

    [SC. Vous dites qu’il n’existe pas de méchanceté intrinsèque. Appliquez-vous aussi ce raisonnement à vos adversaires?]

    VR. Surtout à mes adversaires. Songez à un Juif né après la guerre. Il apprend que les « nazis » ont tenté d’exterminer son peuple par « haine antisémite »; peut-être même lui dit-on que des membres de sa famille ont été assassinés dans les camps. On le gave d’images de déportation, de « chambres à gaz », de fosses remplies de cadavres… Quand ce Juif entend le discours révisionniste, il éprouve une souffrance qui, tout naturellement, provoque chez lui une colère profonde. Aussi applaudira-t-il à la répression.

    Il en va de même à Oradour. Les générations nées après 1950 croient le récit officiel: j’ai pu le constater. Même si elles peuvent nourrir des doutes, l’histoire imposée fait tellement partie de leur identité, qu’elles les refoulent d’une façon ou d’une autre. Par conséquent, mon travail ne peut que les faire souffrir; d’où leurs applaudissements ou leur passivité bienveillante face aux poursuites dont j’ai été — et serai sans doute — l’objet.

    Bien sûr qu’au départ, ces gens croient des menteurs, et nous devons publiquement dénoncer ces mensonges mortifères. Voilà pourquoi je lutte et brave la loi. Toutefois, à mon avis, il faut combattre nos adversaires sans les haïr, car leurs comportements répréhensibles sont le fruit d’une souffrance concevable, et non d’une méchanceté intrinsèque. Or, plus vous les injurieriez, plus ils souffriraient; et plus ils souffriront, plus ils renforceront la répression. Est-ce vraiment ce que vous voulez? Pas moi! D’où ma courtoisie à leur endroit. Je le répète: ce sont les discours que je combats, non les personnes. S’attaquer aux personnes, c’est perdre son temps, son énergie et rendre le combat at plus difficile.

    Quant aux complices qui collaborent à la répression que nous subissons (les dénonciateurs, les policiers et les juges notamment), ils sont soit convaincus des mensonges officiels et de la nocivité de notre combat, soit fonctionnaires appliquant les ordres; souvent les deux à la fois, d’où leur zèle intempestif. D’autres, enfin, sont du côté du plus fort, car c’est plus facile et plus confortable.

    À mes yeux, ils sont des instruments de la Providence. Elle les utilise comme simple rouage de la machine. Un rouage peut toujours être remplacé; ce qu’il nous faut donc faire, c’est tarir la source de carburant, c’est-à-dire les mensonges officiels. Voilà pourquoi je ne nourris contre ces gens ni haine ni colère.

    [SC. Revenons à votre famille. En quoi votre cheminement vous a-t-il permis de ne plus souffrir du manque de vos enfants?]

    VR. En acceptant de reconnaître ses torts et en cessant de se convaincre qu’on serait victime des gens « méchants », une véritable démarche de pardon peut être entreprise. Une telle entreprise a pour objectif non pas de se justifier, mais de réparer et d’attendre que l’autre réponde à votre appel, sans rien exiger. C’est parce que le fils prodigue n’a rien exigé que son père l’accueillit à bras ouverts.

    J’ai envoyé une demande de pardon à Marina. J’ai écrit à mes enfants. Pour reprendre contact. Ceux qui répondront positivement retrouveront leur père. Pour ceux qui refuseront, j’aurais été un simple géniteur, c’est-à-dire un instrument que la Providence aura utilisé pour les faire venir au monde dans les conditions requises par le plan divin.

    Cette vision de la vie m’a permis de ne plus souffrir du manque de mes enfants: ceux qui reviendront le feront un jour, c’est une simple question patience; les autres n’étaient pas mes enfants, mais des âmes qui devaient naître dans mon foyer. Naturellement, j’espère que tous reviendront; mais j’accepte d’avance le cas contraire.Le Christ l’a dit: « on reconnaît l’arbre à ses fruits. » Or, cette vision de la Vie m’a libéré du désespoir, du ressentiment, de la colère, et m’a également permis de perdre 40 kg à l’âge de 47 ans, sans les reprendre par la suite (c’est-à-dire depuis 6 ans): c’est là, il me semble, un signe objectif d’un changement intérieur…

    Demandant à d’autres de me pardonner, je suis tout naturellement disposé à pardonner. Considérons l’affaire d’Oradour-sur-Glane. Pendant huit ans, de 1997 à 2005, les gardiens de la Mémoire ont orchestré la répression ou l’ont applaudie. Si, à la suite à la parution de mon nouveau livre, ils me disaient: « Nous reconnaissons que la thèse officielle est fausse. Toutefois, les événements survenus le 10 juin 1944 dans le village demeurent une tragédie. Nous sommes donc prêts à réviser l’Histoire tout en respectant la mémoire des victimes et en oubliant ces 80 ans de mensonges »; si les gardiens de la Mémoire m’adressaient un tel appel, je répondrais immédiatement: « très bien: écrivons ensemble une Histoire véridique, oublions non seulement 80 ans de mensonges calomniateurs, mais aussi tout ce que vous m’avez fait subir. On efface tout, on dit la vérité et on se serre la main. »

    À vue humaine, les gardiens de la Mémoire ne m’adresseront certainement pas un tel message; mais au regard de l’infini, la vue humaine est celle d’une taupe. On peut donc toujours espérer et rester le cœur ouvert. J’ajoute que si les gardiens de la Mémoire nous infligent de nouvelles épreuves, il faudra les accueillir comme une nouvelle occasion de manifester le Bien. Voilà pourquoi je reste serein, y compris en prison. On peut certes critiquer ma vision du monde, mais une chose est certaine: cette vision me donne la force de continuer malgré les épreuves diverses, et ainsi d’être un phare dans la nuit.

    C’est la fin de cette série d’articles. Merci de l’avoir lue jusqu’au bout.

    N’oubliez pas de vous abonner à notre infolettre, si vous désirez être tenu au courant de nos prochaines publications.



    https://blogue.sansconcession.org/20...ans-la-nuit-7/
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  2. #1102
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    S’équiper gratuitement contre la censure

    23/03/2023

    Avis à nos lecteurs français

    Désormais, un internaute français qui veut accéder aux sites de Sans Concession doit nécessairement se doter d’un VPN ou passer par le réseau Tor pour contourner la censure gouvernementale toujours plus draconienne.

    «“VPN”, “réseau Tor”: les sites dissidents ne seront plus qu’accessibles aux ingénieurs en informatique…», pensez-vous peut-être en ce moment.

    Fort heureusement, ce n’est pas le cas! En effet, les outils pour contourner la censure sur Internet sont aujourd’hui nombreux, simples d’utilisation, voire même gratuit!

    Dans ce bref article, nous passerons en revue trois solutions qui s’offrent à vous:

    les navigateurs avec VPN gratuit intégré;
    les navigateurs qui permettent d’accéder au réseau Tor;
    Les VPN.

    Pour chacune de ces solutions, nous explorerons les logiciels disponibles pour ordinateur (macOS et Windows) et pour téléphone multifonction (iOS et Android).

    https://blogue.sansconcession.org/20...re-la-censure/
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  3. #1103
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    Des nouvelles de la procédure d’extradition de Vincent Reynouard


    La rédaction
    Démocratie Participative
    27 avril 2023

    L’avocat de Vincent Reynouard mène un intense travail sur son dossier. Actuellement, il s’efforce de faire traduire les vidéos pour lesquelles il a été condamné en France afin de les soumettre à la justice écossaise.

    Le révisionnisme historique étant légal en Écosse, produire les contenus visés par le régime juif en France est un moyen d’invalider la demande d’extradition. En tout cas, c’est la seule manière de procéder.

    The Herald Scotland :

    L’audience préliminaire d’extradition d’un négationniste recherché par les autorités françaises a été reportée de quatre semaines.

    Le tribunal du shérif d’Édimbourg a appris que ce délai permettra de traduire en anglais les vidéos que Vincent Reynouard est soupçonné d’avoir réalisées, et de déterminer les infractions qu’il a éventuellement commises en vertu de la loi écossaise.

    Vincent Reynouard, 54 ans, a été condamné en vertu des lois antinazies en vigueur outre-Manche. Il a été condamné à quatre mois de prison en novembre 2020 et à six mois supplémentaires en janvier 2021.

    Il a comparu devant le shérif Frank Crowe jeudi par liaison vidéo depuis le HMP d’Édimbourg.

    Il ne consent pas à son extradition vers la France.

    Son avocat Paul Dunne a demandé à la Cour si l’audience préliminaire dans son affaire d’extradition pouvait être déplacée au 18 mai, car l’une des deux vidéos YouTube que Reynouard est supposé avoir faites n’a pas encore été traduite du français à l’anglais.

    L’une des transcriptions a été mise à disposition jeudi matin, avant l’audience.

    M. Dunne a également déclaré que la négation de l’Holocauste n’était pas un délit en Écosse.

    Il a déclaré au tribunal : « Nous ne pouvons pas dire avec certitude si nous sommes en présence d’un délit écossais. »

    La négation de l’Holocauste est un délit en France depuis 1990, et Reynouard a été condamné à de nombreuses reprises.

    M. Reynouard s’est réfugié en Écosse à la suite de sa dernière condamnation pour une série de messages antisémites sur Facebook.

    Une nouvelle audience préliminaire a été fixée à Édimbourg pour le 18 mai, avant une audience d’extradition complète le 8 juin.
    La situation est déjà ahurissante. Vincent est détenu depuis plus de six mois alors que le motif de son extradition n’est même illégal en Écosse.

    Sentant que le dossier était de plus en plus compromis, la juiverie qui opère depuis la France ajoute sans cesse de nouvelles accusations pour obtenir cette extradition odieuse.

    Si vous souhaitez soutenir Vincent, écrivez-lui ici :

    160071 V Reynouard
    HM Prison Edinburgh
    33 Stenhouse Road
    Edinburgh
    EH11 3LN
    Royaume-Uni (UK)

    Vous pouvez aussi commander le livre majeur de Vincent Reynouard sur le principal mythe antifa du régime juif en France : Oradour, le cri des victimes.

    https://dempart.bio/des-nouvelles-de...ent-reynouard/
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  4. #1104
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    Lettre au Président Macron


    22/05/2023

    Monsieur le Président,

    Je vous écris de la prison d’Édimbourg, en Grande-Bretagne, où je suis détenu depuis le 10 novembre dernier. Le 8 juin 2023, la justice écossaise se prononcera sur mon extradition que la France réclame afin de me faire purger une peine de prison à laquelle j’ai été condamné en juin 2015.

    Quel délit ai-je commis pour qu’on me pourchasse encore après plus de sept ans ? Ai-je braqué une banque, fraudé le fisc massivement, violé ou tué ? Non, j’ai diffusé sur YouTube une vidéo révisionniste — vous diriez : “négationniste” — dans laquelle je dénonçais l’embrigadement politique de la jeunesse au nom du « devoir de mémoire ». J’exposais plus particulièrement les contre-vérités qui lui étaient enseignées à propos d’Auschwitz. Pour cet exposé de moins d’une heure, la justice française m’a infligé un an de prison ferme. J’ai alors fui en Angleterre.

    Le révisionnisme n’étant pas un délit au Royaume-Uni, afin d’obtenir mon extradition, les autorités françaises n’ont pas hésité à mentir : elles ont lancé un mandat d’arrêt européen prétendant que j’avais été condamné pour « racisme/xénophobie », un délit qui rend l’extradition automatique. La justice écossaise flairant la manœuvre, Paris a dû lancer un deuxième mandat d’arrêt, en vertu de trois plaintes déposées contre moi, dont une pour « provocation publique à la haine ».

    Dans une vidéo diffusée en 2020, j’aurais prêché l’antijudaïsme. Pour l’alléguer, les autorités judiciaires ont extrait 31 secondes d’un exposé de 45 minutes ! Je répondais à un spectateur selon lequel l’extermination des Juifs serait un « mal nécessaire ». Après avoir souligné qu’un « mal nécessaire » était une contradiction morale, j’expliquais pourquoi exterminer les Juifs ne servirait à rien, ceux-ci ne faisant que révéler des dysfonctionnements dont souffriraient nos sociétés et dont nous étions les premiers responsables. Les 31 secondes extraites résument cette opinion : elles ne sauraient constituer un appel à la haine des Juifs.

    Le visionnage de toute la vidéo le confirme. Je note d’ailleurs qu’en trente ans de militantisme, je n’avais jamais été poursuivi en vertu de la loi dite “antiraciste”. Pour une raison très simple : je ne suis pas “raciste” dans le sens donné aujourd’hui à ce mot (un “raciste” prônerait la haine raciale). De plus, je me déclare judéo-indifférent. Autrement dit : je n’éprouve ni sympathie ni antipathie pour ce peuple composé — comme tous les peuples — de gens très différents.

    Ces poursuites abusives pour « provocation publique à la haine » sont une nouvelle manœuvre tentée par la France qui se démène pour obtenir mon extradition. L’objectif final est de me jeter en prison et de m’y maintenir le plus longtemps possible afin de me réduire au silence.

    Quel aveu, Monsieur le Président ! Je ne pouvais espérer, de la part de vos autorités, une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux. En effet, comparons les forces en présence :

    • d’un côté, la France dotée de multiples musées mémoriaux : le Mémorial de la Shoah à Paris, le Musée de la Déportation à Lyon, le Mémorial de Caen, le Centre de la Mémoire d’Oradour à Oradour-sur-Glane, sans compter les dizaines de « livres de mémoire » à travers tout le pays, auxquels viennent s’ajoutent les programmes scolaires (la Shoah en primaire, au collège et au lycée), les « voyages pédagogiques » au Struthof, à Oradour ou à Auschwitz, les « passeurs de mémoire », les films, les émissions, les livres, les témoins dans les établissements scolaires, car le « devoir de mémoire » bénéficie de milliers de voix — toutes conformes à l’histoire officielle — et d’un financement qui atteint les millions d’euros.
    • en face de cela, un homme quasiment seul, qui ne dispose d’aucune subvention, seulement des dons venus de son public restreint (deux ou trois milliers de personnes tout au plus) ; qui, pour vivre, donne des cours particuliers ; il diffuse ses travaux à compte d’auteur et vend ses ouvrages au compte-gouttes, car aucun éditeur n’accepte de publier ses recherches ; qui, chassé de toutes les grandes plateformes de partage, publie ses vidéos dans les catacombes d’Internet — à savoir, une chaîne Gab et un blogue aux États-Unis d’Amérique.


    Tels sont donc les éléments en présence, que l’on pourrait dépeindre ainsi : face à une immense chorale qui chante à tue-tête accompagnée d’un orchestre assourdissant, un homme seul, muni d’un cône en papier dérisoire en guise de porte-voix. Toutefois, pour les autorités françaises, c’est encore trop : il faut faire taire cet homme seul en le saisissant à tout prix et en le jetant en prison ! Un premier mandat d’arrêt ne suffisant pas, elles en lancent un deuxième après avoir déposé trois plaintes supplémentaires. Oui, vraiment, je ne pouvais espérer une reconnaissance plus éclatante de la valeur et de l’importance de mes travaux.

    Vous alléguerez sans doute, Monsieur le Président, que la répression à mon encontre a une tout autre cause : mes thèses, direz-vous, offensent les victimes et peuvent conduire certains éléments fragiles de la population à perpétrer des actes “racistes”. Je répondrai que c’est faux, pour deux raisons.

    • Je n’ai jamais nié l’effroyable tragédie vécue par les gens présents à Oradour-sur-Glane le samedi 10 juin 1944. Je n’ai jamais nié le drame que fut la déportation précipitée, en pleine guerre, de millions de gens, parmi lesquels des femmes, des enfants, des vieillards, des affaiblis et des handicapés. Si les fouilles menées depuis vingt-cinq ans dans les camps de Treblinka, Sobibor, Belzec et Chelmno n’ont pas permis de découvrir des chambres à gaz, elles ont en revanche contribué à la mise à jour de nombreuses fosses communes improvisées. Ces fosses, je n’en ai jamais contesté l’existence. Elles contiennent les corps de dizaines de milliers de Juifs morts dans les trains ou euthanasiés à leur arrivée, parce que blessés, malades ou trop affaiblis pour aller plus loin vers l’Est. De nombreux récits corroborent ces constats matériels. Dans plusieurs vidéos, j’en ai cité, sans les contester ni les rejeter. S’y ajoutent les conditions de vie dans les ghettos surpeuplés et parfois mal ravitaillés en Pologne ou à l’Est : elles firent de nombreuses victimes que j’ai également mentionnées. Viennent enfin tous les déportés morts dans les derniers mois de la guerre lorsqu’au sein d’une Allemagne laminée par les bombardements, la situation à l’intérieur des camps se détériora (surpopulation, manque de médicaments, ravitaillement insuffisant). Les photos effroyables prises à la libération de Buchenwald, de Dachau, de Vaihingen ou de Bergen-Belsen, je les ai montrées à de multiples reprises, sans jamais les qualifier de montages. Personne, donc, ne peut prétendre honnêtement que j’offenserais la mémoire des victimes en niant leur mort ou les circonstances terribles de leur décès.
    • quant à mener certaines personnes à commettre des actes “racistes”, ma réponse sera simple : depuis trente ans que je diffuse mes travaux, aucune agression n’est à déplorer, dont je me serais révélé être l’inspirateur.
    • Cependant, allons plus loin. Oui, admettons que mes exposés puissent conduire une poignée de personnes fragiles à perpétrer des violences “racistes”. Faut-il pour autant priver toute la population de certaines vérités historiques en sanctionnant leur diffusion publique ? Assurément non !


    Toutefois, j’entends déjà votre réplique, Monsieur le Président : « Pays de la liberté de recherche, à France n’interdira jamais la diffusion de vérités scientifiquement établies. Avec les négationnistes toutefois, il n’est pas question de vérités, mais de mensonges réfutés par les témoins fiables et une cohorte d’historiens accrédités. Vous êtes bien présomptueux, Monsieur Reynouard, de prétendre avoir raison contre ces gens. »

    En réalité, je ne suis pas plus orgueilleux qu’un enquêteur persuadé d’avoir élucidé une affaire malgré les dénégations des inculpés et de leurs avocats. Pourquoi ? Parce que d’Oradour à Auschwitz, j’ai adopté les méthodes traditionnelles utilisées dans des enquêtes criminelles.

    • Je me suis rendu sur place afin d’examiner la scène du crime allégué ;
    • j’ai effectué des constats matériels afin de comprendre ce qui a pu se passer ;
    • j’ai vérifié les récits recueillis (témoignages et aveux) en les confrontant aux constats matériels et en analysant leur cohérence interne ;
    • j’ai complété mes recherches avec l’étude de documents utiles. En résumé, j’ai établi la matérialité des faits.


    Ai-je tort dans mes conclusions ? Débattons-en loyalement, chaque partie pouvant librement s’exprimer et déposer ses documents sur la table. Cette confrontation à armes égales, j’y suis prêt. Je la réclame même.

    Vous m’objecterez qu’on ne débat pas d’Histoire avec une personne dénuée de toute formation d’historien. Dois-je en déduire, Monsieur le Président, qu’un non-historien ne saurait intervenir dans une question d’Histoire ? Voilà trente ans toutefois, en 1993, le CNRS publia un ouvrage intitulé : Les Crématoires d’Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse.

    La presse l’encensa, affirmant qu’il réfutait définitivement les thèses révisionnistes. Or son auteur, Jean-Claude Pressac, était… pharmacien de profession. Plus révélateur encore : l’homme considéré jusqu’à sa mort comme l’expert numéro un de l’Holocauste, Raul Hilberg, n’était pas, lui non plus, historien de formation. Je pourrais également citer Robert Jan Von Pelt, Jean-Jacques Fouché ou Guy Pauchou (pour Oradour). Preuve que des non-historiens peuvent intervenir dans des questions d’Histoire.

    Certains de mes contradicteurs — Gilles Karmasyn par exemple — prétendent me réfuter, mais sans jamais accepter le débat. Ils sont comparables à des boxeurs qui, seuls sur le ring, donneraient des coups de poing dans le vide avant de lever les bras en criant : « J’ai gagné ! Il est KO. » À celui qui s’étonnerait de l’absence de l’adversaire, ils répondent : « Voyons ! On ne boxe pas avec un non-boxeur ». Prétendre qu’on ne débat pas d’Histoire avec un non-historien est une dérobade pitoyable.

    Certes, je n’ai aucune formation en la matière, mais à Auschwitz et à Oradour, les SS sont accusés d’avoir massacré des innocents. Il s’agit donc d’affaires criminelles. Le fait que les meurtres allégués auraient été commis dans le passé ne modifie pas la nature de la question, donc ne change en rien les méthodes d’enquête. Or, je le répète, j’applique scrupuleusement ces méthodes.

    En voulez-vous la preuve ? Voici : à Birkenau, les SS auraient aménagé des chambres à gaz homicides dans quatre grands crématoires. La plus meurtrière — 400 000 victimes alléguées — se serait trouvée dans le Krema II. Les SS auraient déversé le Zykon B par quatre orifices carrés pratiqués dans le toit. Les granulés mortels seraient tombés le long de quatre colonnes grillagées fixées solidement au sol et au plafond. Bien que le crématoire ait été dynamité, le toit, partiellement effondré, subsiste. L’ayant inspecté du dessus et du dessous, je n’ai vu nulle trace ni d’un quelconque orifice d’introduction ni d’une fixation de colonne grillagée. Rien.

    Certes, en 2004, trois chercheurs indépendants (MM. Keren, McCarthy et Mazal) prétendirent avoir localisé trois des quatre trous ; mais les autorités du Musée d’Auschwitz n’ont jamais osé invoquer leur étude. Sept ans plus tard d’ailleurs, le directeur du Musée préfaça un Guide historique d’Auschwitz dans lequel les deux auteurs prévenaient qu’il était vain de rechercher l’emplacement exact de ces orifices fantomatiques. Depuis, rien n’a changé.

    En cas de débat avec un historien, je porterais tout d’abord la discussion sur ce sujet. Je proposerais que l’on se rende ensemble sur les lieux, à la recherche des trous allégués ainsi que des traces des colonnes grillagées. Je profiterais de notre présence sur le site pour demander à mon contradicteur s’il peut me montrer des traces bleues sur le mur ou au plafond de la « chambre à gaz ».

    Au printemps 1943, en effet (date du début des gazages massifs dans les crématoires d’après la chronologie officielle), la structure venait d’être construite. Par conséquent, les maçonneries étaient alcalines. L’acide cyanhydrique prétendument utilisé par les SS pour gazer en masse aurait pénétré en partie dans les matériaux humides (briques, plâtres, béton). Il s’y serait dissocié pour former un pigment à base de ferrocyanures : le Bleu de Prusse.

    Très stable, résistant aux rayons lumineux et aux intempéries, les murs et le plafond de la pièce présentée comme ayant servi de chambre à gaz devraient en contenir encore aujourd’hui. Aussi devrait-on y voir des traces bleues plus ou moins larges. Toutefois, l’historien serait dans l’impossibilité de m’en montrer une seule. Prétendrait-il que ce pigment ne peut se former dans une pièce non chauffée ? Je lui démontrerais le contraire. Sur les plans originaux du crématoire, cette salle est désignée comme une morgue. Tout démontre qu’elle a été utilisée à cette fin, sans jamais avoir été reconvertie en chambre à gaz homicide.

    « No Hole No Holocaust » (pas de trou, pas d’Holocauste), répétait le professeur Faurisson depuis 1994. Il avait raison, car sans ces trous, les 400 000 victimes alléguées de cette chambre à gaz sont imaginaires. Tous les témoignages et les aveux n’y changeront rien.

    Les antirévisionnistes nous demandent : « si les millions de Juifs n’ont pas été exterminés, alors où étaient-ils passés en 1945 ? » Pardon, mais c’est inverser la charge de la preuve. C’est aux antirévisionnistes de démontrer que les Juifs auraient été exterminés systématiquement, parmi lesquels trois millions auraient péri dans des chambres à gaz.

    D’après l’Histoire officielle, Auschwitz-Birkenau aurait été le centre de cette extermination par gaz (près d’un million de victimes). La chambre à gaz du Krema II aurait été la plus meurtrière (40 % des asphyxiés). C’est donc elle qu’il faut examiner en premier. Où sont les orifices d’introduction du Zyklon B ? Historiennes et historiens, montrez-les nous, qu’on en discute. Et où sont les traces bleues ? Il est vrai qu’une formation en chimie est nécessaire pour comprendre l’importance de leur absence. Titulaire d’un diplôme de chimie organique, je suis donc mieux placé qu’un historien pour conclure.

    Il en va de même à Oradour. Les Waffen SS sont accusés d’avoir massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants dans l’église du village. Ils auraient tenté de les asphyxier avant de les mitrailler, puis d’incendier le bâtiment. L’incendie généralisé aurait transformé le lieu saint en four crématoire, et de très nombreux corps auraient été réduits en cendres. Dans cette affaire, des notions en diffusion de la chaleur, en rayonnement et en résistance des matériaux se révèlent nécessaires.

    Mes études m’ayant conduit à étudier ces matières, j’ai mis mes connaissances à profit pour expertiser l’église. Cette expertise fait l’objet d’un chapitre entier de mon ouvrage paru en décembre 2022 : Oradour, le cri des victimes. J’en conclus que l’histoire officielle est fausse : les femmes et les enfants sont morts dans des explosions qui ont ébranlé tout l’édifice. Comment suis-je parvenu à cette conclusion ? Voici :

    • La préservation du mobilier en bois (le confessionnal dans la chapelle de la Vierge et l’autel de la chapelle Saint-Joseph) dément la thèse de l’incendie généralisé ;
    • La fusion partielle des cloches (des parties totalement fondues, d’autres intactes au point de montrer encore les motifs qui y étaient gravés) démontre que l’événement destructeur fut très rapide et très bref, en un mot, une explosion ;
    • L’observation des coups portés à la fine sphère en laiton sous la croix faîtière confirme que le phénomène destructeur fut accompagné d’un souffle puissant.


    S’y ajoute l’état des corps retrouvés dans l’église ou à côté : ils ne sont pas carbonisés, mais déchiquetés, avec les habits intacts, comme après un bombardement.

    Viennent enfin les récits racontés par la femme présentée comme l’unique rescapée de l’église, Marguerite Rouffanche. Quelques semaines après le drame, par deux fois en novembre 1944, puis une fois janvier 1953 (au procès des Waffen SS) et une encore une fois en 1969 (pour la télévision), elle témoigna. L’étude comparative des différentes versions fait apparaître des contradictions insurmontables et des impossibilités matérielles manifestes.

    1. Fin juin 1944 ainsi, Madame Rouffanche affirma que le massacre de l’église avait commencé avec une « caisse » apportée par deux Waffen SS. L’engin n’avait pas explosé, il avait uniquement dégagé une épaisse fumée noire.
    2. Quelques mois plus tard toutefois, les voûtes de la nef de l’église s’effondrèrent, attestant que l’édifice avait été ébranlé sévèrement. Pour l’expliquer, il fallait invoquer une explosion : le 16 novembre 1944, Madame Rouffanche opéra donc un virage à 180 degrés et prétendit que la “caisse” avait été le siège d’une « petite détonation ».
    3. Toutefois, c’était insuffisant pour expliquer l’ébranlement de ce bâtiment fortifié. Deux semaines plus tard, « l’unique rescapée » changea encore sa version : elle allégua que l’engin avait explosé fortement. Ce témoignage devint le récit officiel, publié partout, cependant que celui du 16 novembre resterait à l’abri des regards, dans les archives militaires fermées au public.


    Aux contradictions s’ajoutent des impossibilités manifestes. En particulier, la fuite de Mme Rouffanche hors de l’église, en se hissant jusqu’à un vitrail puis en sautant de quatre mètres de haut sur un plan fortement incliné sans s’occasionner la moindre blessure, un exploit impossible pour une femme de 46 ans.

    Dans l’affaire d’Oradour, tout trahit le mensonge improvisé maladroitement. M’appuyant sur les constats matériels, sur les documents et sur des témoignages ignorés, j’affirme qu’un dépôt clandestin de munitions se trouvait sous les combles de l’église, au-dessus des voûtes.

    Dans quelles circonstances a-t-il été mis à feu ? Tant que les archives militaires seront fermées aux chercheurs indépendants, aucune réponse certaine ne pourra être avancée. Toutefois, à supposer que, l’ayant découvert, les Waffen SS l’aient fait sauter pour tuer les femmes et les enfants, dès 1944, le fait aurait été révélé : Oradour-sur-Glane aurait été présenté comme un village héroïque dans sa résistance à l’Occupant, victime d’une vengeance abominable des “nazis”. Voilà pourquoi je reste persuadé que les Waffen SS ne portent aucune responsabilité directe dans le déclenchement de la tragédie de l’église.

    Ayant découvert que le bâtiment servait à la Résistance locale (qui y cachait des pilotes alliés tombés en France et pris en charge par le réseau d’évasion « Comet Escape Line »), ma thèse est la suivante.

    Le 10 juin 1944, des maquisards s’étaient réfugiés dans l’église, avec leurs munitions. En effet, les Waffen SS ayant cerné le village, il était impossible de fuir. Dénoncés par deux collaborateurs vivant dans le bourg (cf. le témoignage de Mathieu Borie enfin publié dans son intégralité), ils firent exploser le dépôt de munitions afin de couvrir leur fuite par une porte latérale qui donnait sur la sortie de l’agglomération. Ils n’avaient pas prévu que les explosions se propageraient au clocher, provoquant la destruction de la voûte fragilisée par la présence de l’oculus. Les gaz surchauffés se répandirent dans la nef, entraînant des débris qui mutilèrent les gens présents.

    À Oradour, comme à Auschwitz, mes constats matériels sont indéniables, mes analyses, méticuleuses, et mes arguments, rationnels. Loin de toute considération idéologique, je reste sur le terrain des faits. D’où cette volonté et cet acharnement à me faire taire, les autres raisons invoquées relevant de prétextes fumeux.

    La France parviendra-t-elle à me faire extrader ? Peut-être, mais il est trop tard : j’ai diffusé mes travaux sur Internet et j’ai pu de justesse — avant mon arrestation le 10 novembre 2022 — finir mon ouvrage sur Oradour. Depuis janvier dernier, il est en vente.

    Voilà une trentaine d’années, tout jeune révisionniste, j’avais été invité chez les Faurisson. Un matin, je discutais dans la salle de travail ; je soulignais que nos adversaires disposaient de moyens financiers et répressifs. Le professeur Faurisson se lavait dans la salle de bain attenante. À ces mots, il entrebâilla la porte et, passant la tête, il lança : « Oui, mais nous, on dort tranquille. »

    C’était vrai à l’époque, ça le reste aujourd’hui : dans ma cellule à Édimbourg, je dors tranquille, car ayant semé des graines de vérités historiques, j’ai accompli mon devoir. Désormais, mon destin personnel n’a plus aucune importance. La France que vous représentez peut s’acharner à me faire extrader pour m’emprisonner. Quand on dresse le bilan des forces en présence, son acharnement apparaît comme un aveu : l’aveu que j’ai raison et que mes travaux sont importants. Oui, vraiment, je dors tranquille, et plus vos sbires s’acharneront, plus je dormirai tranquille.

    Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression de mes sentiments choisis.

    Vincent Reynouard

    https://blogue.sansconcession.org/20...sident-macron/
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


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    Le procès en extradition du héros Vincent Reynouard à nouveau reporté !


    La rédaction

    Démocratie Participative
    09 juin 2023

    Hier, le héros Vincent Reynouard devait voir se dérouler son procès en vue d’une possible extradition exigée par l’État français et les juifs pour avoir fait des vidéos.

    Vincent dispose d’une équipe d’avocats écossais déterminés à l’arracher des griffes de ZOG. La procédure a encore été repoussée en raison de cette détermination.

    The Herald :

    L’audience d’extradition d’un négationniste recherché par la police française a été à nouveau reportée.

    Vincent Reynouard a été arrêté à Anstruther, dans le comté de Fife, en novembre dernier, puis placé en détention provisoire après avoir traversé la Manche pour tenter d’échapper aux autorités françaises, qui le poursuivent depuis deux ans.
    Il n’y a pas d’autorités françaises.

    Il y a une autorité en France.

    Il y a très longtemps que les Français n’exercent plus d’autorité dans le pays de leurs ancêtres. Depuis l’affaire Dreyfus exactement.

    L’homme de 54 ans a pris la fuite après avoir été condamné en vertu des lois antinazies à une peine de quatre mois d’emprisonnement en novembre 2020, puis à une nouvelle peine de six mois en janvier de l’année suivante.

    La négation de l’Holocauste est une infraction pénale en France depuis 1990 et Reynouard a été condamné à de nombreuses reprises.
    Ce journaliste écossais s’égare. Il n’y a pas de « lois antinazies » en France. Il y a une loi de censure qui interdit de discuter librement de la théorie étrange des « chambres à gaz » d’Adolf Hitler, que l’on soit ou non « nazi ».

    Une audience d’extradition complète était censée commencer à la Cour du shérif d’Édimbourg au début de l’année, mais l’avocat Paul Dunne a fait pression pour qu’elle soit reportée afin de permettre la traduction en anglais des vidéos que Reynouard est censé avoir réalisées.

    Lorsque l’affaire a été rappelée devant la Cour jeudi, M. Dunne a demandé un nouveau report, insistant sur le fait que certaines « questions juridiques » liées aux deux mandats d’arrêt délivrés par les autorités françaises devaient être débattues en premier lieu.

    Il a indiqué qu’un autre avocat spécialisé dans l’extradition, Fred Mackintosh KC, ne pourrait pas venir au tribunal avant le début du mois de juillet au plus tôt, et il a demandé à ce que l’audience d’extradition soit reportée à la fin de ce mois.

    Le shérif Kenneth Campbell a accepté de reporter l’audience complète au 27 juillet et a fixé une autre audience préliminaire au 13 juillet.

    Il a également demandé que les observations écrites relatives à l’affaire soient remises une semaine à l’avance.
    Il est indéniable que la justice écossaise se situe à des années lumières de ce qui en tient lieu en France. Jamais Vincent et ses avocats n’auraient pu méthodiquement exposer dans le détail l’ensemble de ses positions de la sorte.

    Le niveau de corruption et d’infiltration juive est tel qu’il n’y a pas de procès à proprement parler dans le système judiciaire français. Un procès en France ne sert qu’à faire retranscrire publiquement le châtiment décidé par le sanhédrin en amont et à faire croire aux goyim qu’ils ont le droit à un « procès équitable ».

    En Écosse, la justice est encore relativement loyale et le procès se déroule bel et bien au tribunal, pas en amont dans une salle secrète remplie de juifs.

    Cela ne préjuge pas de la suite, mais je doute que le juge laisserait les avocats de la défense préparer aussi méticuleusement le dossier de Vincent s’il ne sentait pas que l’affaire ne repose sur rien. Ce juge a l’air de ne pas apprécier d’être considéré comme un simple domestique qu’un gouvernement étranger siffle pour tamponner une extradition qui viole frontalement le droit écossais. Or, c’est exactement sur ce ton que parlent les juifs de Paris à n’importe qui.

    Nous allons voir comment les choses évoluent, mais cette affaire qui devait être soldée en janvier dernier s’enlise face aux nombreux points de droit que soulèvent les avocats de Vincent.

    Quoi qu’il en soit, écrivez à Vincent pour l’encourager. Envoyez des livres, peu importe le sujet. Vous n’êtes pas obligé de signer de votre nom le courrier.

    160071 V Reynouard
    HM Prison Edinburgh
    33 Stenhouse Road
    Edinburgh
    EH11 3LN
    Royaume-Uni (UK)

    https://dempart.quest/le-proces-en-e...uveau-reporte/
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  6. #1106
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    Vincent Reynouard : "HOLOCAUSTE ? CE QUE L'ON VOUS CACHE..."



    La brochure de 16 pages qui, en 2010, a valu à son auteur une peine d’un an de prison.

    À diffuser le plus largement possible.

    https://drive.google.com/file/d/1KWT...usp=share_link
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  7. #1107
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    Message de Vincent Reynouard : report de son audience d’extradition

    20 juin 2023

    Le 8 juin dernier, Vincent Reynouard devait être informé du sort qui allait lui être réservé quant à sa demande d’extradition formulée par la France. Le juge a décidé un report au 27 juillet, pour des raisons de procédure. À cette occasion, Vincent nous a adressé le texte qui suit, que RIVAROL a publié dans son dernier numéro, et que nous vous proposons à notre tour. Un autre texte, particulièrement important, suivra dans les jours à venir. Pour l’heure, Vincent reste confiant quant à son avenir, s’en remettant humblement à la Providence.

    On attendait avec impatience la décision de la justice écossaise qui, le 8 juin, devait se prononcer sur mon extradition. L’audience a toutefois été reportée au 27 juillet. En cause, un accident cérébral de l’associé de mon avocat qui le rend indisponible pour plusieurs semaines.

    Ce nouveau report ne m’affecte pas. En effet, le premier mandat d’arrêt a été lancé pour que je purge une peine d’un an de prison. Or, en France, du fait des réductions automatiques de peine, un an se transforme en neuf mois. Sachant que je suis emprisonné depuis le 10 novembre et que le temps passé ici en prison est décompté, le 27 juillet, ma peine sera quasiment purgée (à 2 semaines près). Par conséquent, le premier mandat sera très probablement jugé obsolète.

    Ne restera que le deuxième, qui invoque des poursuites pour « incitation à la haine » des Juifs. Toutefois, je l’ai déjà souligné : l’accusation est inepte. Quand un orateur conclut qu’éliminer les Juifs de la société ne servirait à rien, puisqu’ils ne font que révéler nos propres dysfonctionnements, il ne peut susciter l’antijudaïsme. Son message est le suivant : « Cessons de désigner des boucs- émissaires et corrigeons-nous ».

    Mon avocat est donc optimiste, car la stratégie de la France lui paraît manifeste : me poursuivre abusivement pour un délit dont je serai reconnu innocent, juste afin d’obtenir mon extradition et, ainsi, de pouvoir m’emprisonner le plus longtemps possible en multipliant les condamnations au nom de la loi Gayssot. Il m‘a dit : « Depuis le début, la France agit avec mauvaise foi pour vous saisir à tout prix ». On peut supposer que la justice écossaise le reconnaîtra et refusera de se rendre complice de la manœuvre.

    Je remercie celles et ceux qui me soutiennent dans cette lutte, que ce soit par des prières, des envois d’argent, ou de simples lettres. En prison, le courrier est très important.

    Ici, je me suis découvert un talent que j’ignorais : savoir réaliser des portraits. Des détenus viennent et me donnent des photos de leur famille ou de leur animal domestique. Je les reproduis, agrandies, en aquarelles. Tout le monde est enthousiaste. Une gardienne m’a même félicité pour un portrait d’enfant. La prison m’a demandé deux dessins, grand format, pour décorer l’étage de l’école.

    Dans le cadre de mes projets de BD révisionnistes, un ami anglais m’a envoyé deux cours très complets (175 pages et 147 pages) pour apprendre à dessiner des mangas. J’ai commencé le 7 juin. L’apprentissage me prendra largement jusqu’au 27 juillet.

    Je ne suis pas malheureux en prison, car j’accepte et je garde toute ma confiance en la Providence. Merci à vous, de tout cœur.

    Vincent
    https://jeune-nation.com/actualite/a...e-dextradition
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  8. #1108
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    Vincent Reynouard : « Le combat mené en première ligne coûte cher, mais il contraint l’adversaire à se démasquer »


    27 juin 2023

    Nous avons publié récemment un texte de Vincent, qu’il nous avait fait parvenir après le report de l’audience portant sur son extradition. Le lendemain, 9 juin, il nous adressait un nouveau texte, dans lequel il analyse les raisons de son emprisonnement et l’acharnement à son encontre dont font preuves les autorités. Voici ce texte.

    Le combat mené sans esprit de recul coûte cher à celui qui le soutient en première ligne. Mais il présente un avantage : il contraint l’adversaire à se démasquer.

    Le 10 juin, j’ai pensé aux commémorations organisées dans le village d’Oradour-sur-Glane à l’occasion du 79ème anniversaire de la tragédie. À un millier de kilomètres de là, j’étais emprisonné pour contestation de l’existence de crimes contre l’humanité. Grâce aux lenteurs de la Justice, je purge actuellement ma peine en Écosse dont le système pénitentiaire m’apparaît très confortable. Mais la France me réclame désormais pour avoir contesté l’existence d’un crime de guerre, celui d’Oradour. Il y a 7 ans, de telles poursuites auraient été impossibles, la loi anti-révisionniste ne visant que les crimes contre l’humanité. En janvier 2017 toutefois, elle fut étendue aux crimes de guerre ayant donné lieu à une condamnation par une instance française ou internationale.

    C’est ici que les adversaires se sont démasqués. Pour une raison très simple : en 1990, lors du vote de la loi Gayssot, ils ont prétendu que leur objectif n’était pas d’instaurer une histoire officielle. La loi devrait servir à réprimer un discours jugé subtilement antisémite, car il consistait à dire non pas : « Mort aux Juifs », mais : « Les Juifs ne sont pas morts ». D’où une loi qui, logiquement, visait les seuls crimes contre l’humanité commis par les puissances de l’Axe. En vérité, il s’agissait d’une « lex Faurissonia » .


    Or, les crimes de guerre sont d’une autre nature. Ils n’ont pas pour mobile la haine raciale ni religieuse. Ils sont perpétrés dans le cadre d’un conflit armé, contre des ennemis ou des populations ennemies, pour se défouler, se venger, intimider, piller, etc. Par conséquent, leur contestation ne saurait être motivée par la haine raciale ou religieuse. À Oradour, c’est flagrant : des Waffen SS commandés par un Allemand auraient massacré des civils français pour se venger ou pour intimider la Résistance. Ni racisme, ni Juif dans cette tragédie.

    Par conséquent, lorsque la France me poursuit pour avoir contesté l’histoire communément admise et enseignée de l’affaire d’Oradour, son objectif est de protéger l’Histoire officielle en réduisant au silence l’auteur d’une thèse dissidente.

    En étendant la « lex Faurissonia » pour en faire aussi une « lex Reynouardia », nos adversaires se sont démasqués : ils ont admis que la loi anti-révisionniste sert à protéger l’Histoire écrite par les vainqueurs de 1945. Or, la vérité n’a pas besoin des juges pour la défendre. Seul le menteur inquiet se réfugie dans les jupes de dame Justice. Là encore, quel aveu.

    Vincent
    https://jeune-nation.com/actualite/a...a-se-demasquer
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  9. #1109
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    « Ce séjour à la prison d’Édimbourg restera parmi mes meilleurs souvenirs »


    29/06/2023

    Vous l’avez appris: au terme d’une rencontre de kick-boxing filmée dans le cadre d’une compétition non officielle, mais largement suivie, le vainqueur — un jeune homme prénommé Flavio — a lancé: « Libérez Vincent Reynouard ». la séquence a été diffusée sur YouTube, Twitter, TikTok, etc. Elle a fait plusieurs millions de vues. Qu’est-ce que vous inspire un tel fait?

    Tout d’abord, je remercie ce Flavio — dont j’ignorais l’existence — pour son courage. Car aujourd’hui, il en faut pour me soutenir à visage découvert. J’espère pouvoir rencontrer ce jeune homme pour lui dire tout le respect que je lui porte et pour m’entretenir avec lui en toute simplicité. Son courage exceptionnel doit servir d’exemple.

    Son soutien, hélas, ne provoquera pas une révolution…

    Non, bien entendu. Toutefois, quand l’accès aux grands médias vous est interdit, ce genre de déclaration permet d’avancer. Pour bien comprendre l’importance du geste de Flavio, il faut savoir que le système n’occulte pas nécessairement la répression qu’il orchestre. Mais ce qu’il souhaite, c’est conserver le monopole de l’information.

    Dans mon cas, il annoncera mon arrestation, mon extradition et mon incarcération en disant: « Le nazi négationniste Reynouard a été mis en prison; d’autres procès lui seront intentés ». Le grand public pensera: « Cet individu veut exterminer les Juifs, les handicapés, les Noirs, les Arabes, les Slaves et instaurer une dictature au sein de laquelle les opposants seront jetés dans des camps de concentration. Bien fait pour lui; il a ce qu’il mérite. Merci au système de nous protéger contre ce genre de monstre qui n’a rien appris du passé ».

    Or, quand Flavio lance: « Libérez Reynouard! », le message est très différent. Supposons que la séquence ait été vue un million de fois et que 10 % des spectateurs aient consulté Internet pour apprendre qui j’étais. Cent mille personnes m’auront découvert. Supposons que 1 % ont eu la curiosité d’aller plus loin en consultant mon blogue ou en regardant quelques-unes de mes vidéos. Cela fera mille « éveillés » supplémentaires. Mille personnes qui, pas nécessairement convaincues à 100 %, auront compris qu’il reste un « problème des chambres à gaz » et que je ne suis pas le « nazi » présenté par l’Histoire officielle. Mille personnes qui en parleront autour d’elles.

    Voilà comment nos idées avancent. Le Système le sait. D’où ses efforts pour conserver le monopole de l’information en bloquant mon blogue par exemple et en retirant mes vidéos d’Internet. Dans un tel contexte, le geste de Flavio est d’une importance capitale.

    Vous croyez donc que le révisionnisme progresse lentement en silence?

    La répression dont je suis l’objet me paraît le démontrer. Cette progression invisible, les sociologues l’appellent la « spirale du silence ».

    Lorsqu’une thèse est sévèrement combattue par les autorités, elle se répand par l’intermédiaire de nombreux canaux non officiels. Les citoyens convaincus n’en parlent pas publiquement par peur des ennuis. Toutefois, ils en parlent en privé. Ainsi, la thèse se répand-elle lentement, de façon invisible. Puis un jour, à la faveur d’une déstabilisation du Système provoquée par autre chose, les gens se mettent à parler ouvertement. On s’aperçoit alors que l’idée interdite était très répandue.

    Un exemple tiré du passé concerne la désaffection religieuse au XVIIIe siècle. « La France se réveilla incrédule », dit-on. C’était vrai: depuis un siècle, l’incrédulité avait atteint de nombreux foyers. Dans ses ouvrages, l’abbé Proyart — un contemporain de la Révolution — en parle très bien.

    Vous êtes donc optimiste?

    Je suis serein: la vérité historique triomphera un jour ou l’autre, lorsque le Système s’effondrera, emportant avec lui ses mensonges.

    Un ami qui s’intéresse à l’affaire d’Oradour m’a appris qu’au Centre de la Mémoire d’Oradour, la librairie propose très peu de titres sur la tragédie en elle-même. Il a constaté l’absence des ouvrages rédigés par des auteurs modernes pourtant peu suspects de révisionnisme. Il l’attribue au fait que ces auteurs finissent par dévoiler certaines vérités dérangeantes pour la thèse officielle. La plupart de ces vérités ont été découvertes par vous, mais les historiens omettent de le préciser, comme s’ils en étaient les découvreurs. Bref, ils vous pillent. Cela vous laisse-t-il un sentiment amer?

    Non, pas du tout. L’important est que la vérité se diffuse. Pour ma part, je me considère comme un simple serviteur de la vérité. Je la découvre et l’expose. Si d’autres la reprennent à leur tour sans nommer le serviteur qui la leur apporte sur un plateau, c’est sans importance. Je n’attends pas ma récompense ici-bas. Sur cette terre, j’espère juste que la Providence m’aidera dans ma mission — et elle m’a beaucoup aidé, Deo Gratias!

    Pour l’heure, vous êtes en prison dans l’attente de votre libération ou de votre extradition. Cela fait près de huit mois que vous croupissez entre les quatre murs d’une cellule. Quelles sont vos impressions? Êtes-vous optimiste?

    Mon avocat est optimiste. Moi, je n’attends rien.

    La dernière fois qu’il m’a vu — c’était le 8 juin — constatant mon éternel sourire, il m’a dit: « Vous semblez être le prisonnier le plus heureux d’Édinbourg! ». Je lui ai répondu que j’étais heureux. Ce séjour passé ici restera parmi les plus beaux souvenirs de ma vie.

    Dans ma cellule, je n’ai ni télévision, ni radio, ni Internet. Ne lisant pas la presse, j’ignore donc ce qu’il se passe dans le monde: la guerre en Ukraine, la COVID, les retraites. Je n’en sais rien et je m’en moque éperdument!

    En échange, mon esprit est calme, reposé. Je lis beaucoup de livres de spiritualité, j’écris et j’apprends à dessiner des mangas. J’entretiens une correspondance avec de nombreuses personnes très intéressantes. Je pense surtout à une personne avec laquelle nous échangeons à propos de philosophie, de sociologie et de spiritualité. Nos échanges sont très constructifs et profitables aux deux.

    Ici, je me suis découvert un talent que j’ignorais: savoir réaliser des portraits à partir de photos. Les détenus m’apportent des clichés de leur famille ou de leur petite amie et j’en fais des aquarelles. Cette semaine, un prisonnier m’a donné deux photos: une de sa fille et une du grand-père dont elle était très proche. Ils avaient l’habitude de se promener ensemble le long d’une rivière. Il m’a demandé de les réunir sur un dessin dans un décor de rivière. Je l’ai fait, il en était très ému.

    Tout le monde m’aime pour ma générosité — je ne demande aucune rétribution en échange de mes dessins — et pour mon sourire. Un détenu m’a dit: « Ton sourire nous illumine! ».

    Ma cellule étant à l’ouest, le soir, la nature me gratifie de couchers de soleil d’une grande beauté. Je dépose des flocons d’avoine sur ma fenêtre, les pigeons et mes mouettes viennent les picorer. Certains se sont laissés apprivoiser et viennent manger dans ma main (ou dans la cuiller remplie). Deux jeunes mouettes, notamment, n’ont plus aucune peur. Je les observe avec émerveillement.

    La Nature nous apprend ou nous rappelle tant de vérités. Les nuages qui passent en changeant de forme pour enfin disparaître soulignent la brièveté de la vie où tout est impermanence. Je les regarde passer et je médite. Le soir, dans le silence de ma cellule, je reste allongé sur mon lit en pensant à l’existence, au sens de la vie, à la vacuité…

    Oui, vraiment, ce séjour à la prison d’Édinbourg restera parmi mes meilleurs souvenirs. Certes, mon corps est entre quatre murs, mais lorsque je médite ou que je dessine, des étendues infinies s’offrent à moi, étendues que je parcours en toute liberté.

    En cas de libération le 27 juillet, quels sont vos projets?

    Je n’en ai aucun. Je vis chaque jour pleinement, sans songer à l’avenir. Si je suis libéré, sans doute resterai-je en Écosse le plus longtemps possible, dans une petite chambre d’hôte, comme je l’étais avant mon arrestation. Mais sera-ce possible? Je l’ignore, car je suis persuadé que les autorités françaises s’acharneront pour parvenir à me saisir. Dès lors, on verra…

    Avez-vous des projets éditoriaux?

    Si Dieu me prête vie, je poursuivrai la rédaction de mes mémoires. Ma vie s’est révélée très agitée et remplie d’évènements qui peuvent servir d’enseignements pour des lecteurs plus jeunes. J’ai réalisé des choses positives, mais j’ai aussi commis beaucoup d’erreurs dont j’aimerais prévenir les autres. Bref, je souhaiterais que mon expérience puisse être utile.

    Et en matière de révisionnisme?

    Je ne pense à rien de spécial, mais cela ne signifie pas que j’aurais abandonné. Toute ma vie, j’ai fait n’importe quoi. Comprenez: toute ma vie, j’ai réagi aux circonstances et aux opportunités.

    Considérons l’exemple d’Oradour: tout est parti de deux brochures qu’un ami m’a prêtées au printemps 1990. La première fois que je me suis rendu dans le « village martyr », j’avais pris un billet de train pour Limoges. J’ignorais comment j’irais de Limoges à Oradour. Un contrôleur m’a suggéré de descendre avant Limoges et de dormir le soir au camping de Nieul. J’ai suivi son conseil, et ma détermination a payé: mon livre paru en décembre 2022 en est le fruit.

    C’est un peu le « triomphe de la volonté ».

    La foi déplace les montagnes, la volonté permet de surmonter les obstacles. La vie me l’a confirmé. Ma volonté restant intacte, je suis confiant dans l’avenir, quel qu’il soit. Même si je dois mourir, je sais que les graines semées ne l’auront pas été en vain. Elles germeront.

    https://blogue.sansconcession.org/20...urs-souvenirs/
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


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    Réponse à la LICRA à propos de l’article intitulé: « Vincent Reynouard, autopsie d’un négationniste » de Xavier Truti

    12/07/2023

    Monsieur Truti, il est certes assez inhabituel qu’un autopsié commente le rapport rédigé à son propos. Dans le cas présent, cela s’explique par le fait que je ne suis pas encore mort, ni comme homme ni même comme révisionniste.

    https://www.leddv.fr/actualite/vince...niste-20230610

    Ce n’est pas moi que vous autopsiez, mais une image fantasmagorique

    Non, je ne crois pas au complot


    Ce n’est pas moi que vous avez autopsié, mais une image que vous et vos amis brossez de moi, une image fort éloignée de la réalité.

    Vous citez, par exemple, Jean-Yves Camus qui déclare: « Reynouard a voulu miser sur la croyance aux prophéties autoréalisatrices d’un complot juif. » Or, je ne crois ni au complot juif ni au complot maçonnique. J’ai notamment consacré deux vidéos aux « Protocoles des sages de Sion », afin d’expliquer pourquoi je ne leur accorde aucune valeur.

    Voilà peu, dans une réponse à un jeune nationaliste, j’ai expliqué pourquoi la révolution de 1789 n’avait pas eu lieu à cause d’un complot quelconque, mais qu’elle avait été le fruit d’une évolution de la pensée, dirigée par le progrès des sciences expérimentales à partir du XVIe siècle. La vision du monde ayant changé, il en résulta un affaiblissement des croyances religieuses enseignées par l’Église, ainsi qu’une désaffection grandissante pour le régime alors en place.

    Dans d’autres vidéos, j’ai souligné que le grand commerce n’avait pas été inventé par les Juifs, mais par les Phéniciens, et que le capitalisme était né en Italie, dans des milieux chrétiens. Au Moyen-Âge, le prêt à intérêt était pratiqué aussi rudement par des Juifs que par des chrétiens.

    Je n’ai pas réalisé des vidéos par sympathie pour les Juifs, mais parce qu’à mes yeux, toute vérité est bonne à dire, surtout si elle peut permettre de corriger certains travers répandus dans la société.

    Quoi qu’il en soit, Jean-Yves Camus se trompe à mon propos: je ne crois pas en l’existence d’un complot juif mondial. Si vous aviez pris la peine de m’interroger ou de consulter mon blogue, vous n’auriez pas cité cet auteur.

    Non, je ne crois pas que les Juifs ont inventé la Shoah

    De même, je ne crois pas que le « mythe des chambres à gaz » aurait été imposé au monde par les Juifs. À plusieurs reprises, j’ai démontré la responsabilité écrasante des Alliés dans cette affaire: en août 1944, les Soviétiques exploitèrent la rumeur des gazages homicides, afin de galvaniser leurs troupes au moment de monter à l’assaut du Reich. Au printemps 1945, les Anglo-américains leur emboîtèrent le pas pour masquer leurs propres crimes de guerre et pour justifier leur croisade d’extermination du national-socialisme. Les Juifs ne firent que saisir l’occasion pour obtenir la création de l’État d’Israël. Tout cela, je l’ai démontré, documents à l’appui.

    Non, je ne suis pas aidé par un réseau

    Toutefois, la lecture de votre prose démontre votre mépris des réalités les plus élémentaires. À mon propos, vous alléguez: « Reynouard […] se planqua dans une Angleterre encore membre de l’Union européenne, sous la protection d’un réseau de néonazis et de nationaux-catholiques européens. » On attend des précisions. Quel réseau? Qui m’aurait protégé? Comment? Mais rien ne vient. Et pour cause: ce « réseau » n’existe pas. De toute ma vie, je n’ai rencontré aucun réseau qui m’aurait épaulé, que ce fût en France, en Belgique ou en Angleterre.

    En 2015, j’ai pu m’établir dans la banlieue de Londres grâce à un collaborateur de longue date, qui y possédait une petite maison inoccupée depuis deux ans du fait de sévères dégradations et qui servait alors de remise aux membres de sa famille restés en Angleterre. Ce collaborateur m’y a conduit et m’a aidé à m’y installer. Quand une semaine plus tard, il m’a quitté pour retourner sur le continent, je me suis retrouvé seul, sans aucun réseau ni pour me cacher ni pour me protéger. Jusqu’à la tentative d’arrestation dont j’ai fait l’objet en octobre 2021, j’ai vécu en Angleterre légalement, bénéficiant d’un numéro de sécurité sociale et payant mes impôts.

    Non, je ne méprise pas les Juifs

    J’ai gagné ma vie en donnant des cours particuliers de mathématiques à de jeunes Français dont les parents étaient expatriés. Parmi mes élèves, environ 20% étaient juifs. Aujourd’hui encore je me souviens de leur nom: Lucas qui me tutoyait tant nos rapports étaient cordiaux; Adrien profondément sioniste, et cela ne m’empêchait pas de l’aider de mon mieux; Alexandre qui, en septembre 2021, me confia: « Je pourrais travailler seul, mais j’aime les cours avec vous. » Pourquoi? Parce que nous travaillions dans la bonne humeur, riant beaucoup ensemble. Chaque Noël, sa famille m’offrait une carte de remerciement avec 100£ à l’intérieur. Je pense également à Éliana, si satisfaite de mon aide qu’à la fin de l’année, la mère et la fille firent un détour de 50 km pour venir m’offrir un beau cadeau.

    Le plus beau message qu’un élève m’écrivit date de cette époque: « Merci, Monsieur: vous m’avez fait aimer les maths. » Il m’a été envoyé par Salomé, jeune élève de terminale ES. Oui, monsieur Truti: le message le plus émouvant me fut envoyé par une jeune juive que j’avais sauvée en mathématiques.

    En 2021, on me tendit un piège. Une prétendue journaliste asiatique me téléphona pour un entretien. Elle souhaitait savoir où j’en étais « dans mon combat contre les Juifs ». Je lui répondis: « Mais madame, mon combat n’est pas contre les Juifs… » Elle mit alors fin à la conversation, alléguant qu’elle retéléphonerait le lendemain. Je n’ai plus jamais entendu parler d’elle. Ma réponse était sincère… Ces précisions effectuées, j’en reviens à vos fantaisies.

    Vous voulez rire, Monsieur Truti !

    À propos de mon dernier ouvrage sur Oradour, vous écrivez: « Reynouard fait expédier frauduleusement ses livres en France, de petites quantités transportées dans des véhicules personnels sans déclaration de douane, par ses bons amis ou par sa famille, à l’occasion de visites en prison. » Mais malheureusement pour vous: 1) je n’ai reçu aucune visite en prison; 2) les livres n’ont ni été imprimés ni transités par la Grande-Bretagne. Je vous mets au défi de démontrer le contraire.

    Vous fabulez, M. Truti, car vous omettez de vérifier vos infirmations. Votre objectif est de me présenter comme un individu qui bénéficierait de l’appui d’un réseau puissant et qui, jusque dans sa cellule, organiserait la diffusion de son livre sur Oradour. Vos fantaisies le confirment: ce n’est pas moi que vous autopsiez, mais une image fantasmagorique.

    Votre malhonnêteté intellectuelle

    Vous qualifiez mon livre de « logorrhée pseudoscientifique aberrante »…


    Avec un aplomb phénoménal, dans l’affaire d’Oradour, vous m’accusez de ne pas pouvoir vérifier les faits: « Sans s’encombrer de la réalité historique ni de la vérification des faits, [Vincent Reynouard] recopia en grande partie de précédents livres négationnistes sur le massacre d’Oradour d’anciens SS […] » Vous réduisez donc sept années d’enquête à un simple plagiat! De façon évidente, vous n’avez pas pris la peine de visionner ni de lire mes travaux consacrés à cette tragédie. Dans mon dernier livre, les constats matériels et leur analyse s’étalent sur 62 pages. Les photos, les graphiques et les lois physiques invoquées permettent d’établir les faits. Dès 1997, mon premier livre avait offert au public l’expertise de l’église la plus complète menée à ce jour.

    Toutefois, dans votre mépris de la réalité, vous la qualifiez de « logorrhée pseudoscientifique aberrante ». Là encore, on attend au moins une ou deux justifications; là encore, cependant, rien ne vient. Et quand bien même en avanceriez-vous, encore faudrait-il discuter la valeur de vos contre-arguments, d’où la nécessité d’un débat loyal, face-à-face, au cours duquel chaque partie pourrait librement s’exprimer et apporter ses documents.

    … mais vous n’apportez aucun contre-argument et rejetez le débat loyal

    Cependant, ce débat, vous et vos amis le refusez catégoriquement. Vous citez Jean-Yves Camus qui déclare: « Reynouard a voulu miser […] sur une tentative de débats pervers, de doute ou de réfutation, de la culpabilité des Waffen SS dans le massacre d’Oradour, ou de l’existence des chambres à gaz. » En quoi le débat que je réclame serait-il « pervers »? L’auteur répond: « les débats sur des faits établis n’existent pas, comme il n’existe aucun intérêt à répondre aux négationnistes. » J.-Y. Camus pose donc comme principe et base certaine ce qui est précisément en discussion: la véracité des faits.

    Peut-être me répondrez-vous qu’ils sont effectivement attestés par de nombreuses preuves. C’est faux, et J.-Y. Camus lui-même le reconnaît implicitement lorsqu’il ajoute: « la force des témoins disparaît, il est indispensable que l’État soit vigilant et soutienne davantage le devoir de mémoire […] » Or, si les faits étaient établis à l’aide de preuves matérielles et documentaires incontestables, il n’y aurait nul besoin d’invoquer « la force des témoins ». Ayant illégitimement refusé la confrontation loyale, J.-Y. Camus a le toupet de lancer: « en Europe, les négationnistes ont perdu la partie. » Il me fait penser à un joueur de tennis qui, face à un adversaire se déclarant plus fort et l’invitant à disputer un match, répondrait: « des témoins attestent que je suis le plus fort. C’est donc établi et il n’y a pas à organiser de rencontre. Mon adversaire a déjà perdu. »

    « Truth sounds like hate to those who hate truth »

    Telle est, mise en lumière, votre malhonnêteté intellectuelle. Toutefois, il y a plus grave: cette improbité vous permet d’orchestrer une répression féroce. En effet, partant du principe que les faits seraient établis, vous accusez les révisionnistes de mentir pour susciter la haine et la violence et écrivez: « Rappelons que le négationnisme est une imposture qui n’a pas de lien avec la liberté d’expression ou d’opinion telle que nous la concevons dans notre démocratie, encore moins avec le champ ou le débat historique, c’est un délit en soi, une forme insidieuse de racisme ou d’antisémitisme qui appelle tout autant à la haine et à la violence. »

    Je vous rappelle, M. Truti, qu’aucune violence raciste ou antisémite n’a jamais pu m’être imputée, directement ou non. En trente ans, aucun condamné en vertu de la loi Pleven n’a expliqué avoir agi après m’avoir lu ou écouté. Aucun avocat n’a plaidé que son client aurait été influencé par mes travaux. Si, donc, mon objectif était de susciter la haine ou la violence, j’aurais depuis longtemps changé de stratégie.

    Cependant, une telle évidence ne vous effleure même pas. Claustré volontairement dans votre logique folle, tout discours révisionniste vous apparaît comme un « message de haine ». Voilà quelques semaines ainsi, j’ai rédigé une lettre ouverte au Président Emmanuel Macron. Vous écrivez: « Reynouard continue de diffuser des messages de haine sur Internet, comme cette lettre adressée au Président de la République […] » Encore et toujours, on attend une justification; mais comme d’habitude, rien ne vient. Et pour cause: mon texte ne comporte aucune incitation à la violence.

    Calmement et posément, j’y réfute les principaux arguments

    antirévisionnistes et je résume les constats matériels qui, à Auschwitz et à Oradour, m’amènent à contester l’histoire officielle. Toutefois, conformément à votre logique folle, le révisionnisme est un « délit en soi ». Dès lors, selon vous, il n’y a rien à prouver: mon texte étant révisionniste, il appelle de lui-même à la haine, point final.

    « Truth sounds like hate to those who hate truth », dit l’adage anglais que l’on pourrait traduire ainsi: « La vérité apparaît comme de la haine à ceux qui haïssent la vérité. » Cet enseignement s’applique parfaitement à vous et à vos amis. Tout comme la personne qui pose sur son nez des lunettes rouges voit le monde en rouge, vous voyez de la haine partout, en affirmant que les faits sont établis, ce qui vous permet de justifier une répression toujours plus féroce.

    Les autorités françaises savent qu’à Oradour la thèse officielle ne tient pas

    L’affaire révélatrice du graffiti d’Oradour


    Peut-être croyez-vous vraiment qu’à Oradour, les faits seraient établis. Cependant, en haut lieu, la certitude s’évanouit. Votre texte le démontre. Vous soulignez que depuis l’été 2020, l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH) « a travaillé sans relâche » pour obtenir mon extradition. Pourquoi depuis 2020 seulement, alors que j’étais en exil depuis 2015, frappé par une condamnation à un an de prison ferme? Parce que fin août 2020, un graffiti révisionniste fut découvert sur l’entrée du Centre de la Mémoire d’Oradour. L’auteur du graffiti avait rayé le mot « martyr » pour le remplacer par « menteur », et il avait ajouté une inscription faisant référence à mes travaux: « à quand la vérité? Reynouard à raison ».

    Vous écrivez que ce graffiti « a suscité les foudres des autorités françaises qui ont souhaité entendre le pronazi Vincent Reynouard. » S’il ne s’était agi que de m’entendre, une simple commission rogatoire aurait été suffisante: j’aurais été interrogé par la police britannique et relâché après. Cependant, à la place, les autorités françaises ont remué ciel et terre pour obtenir mon extradition. Vous précisez que l’OCLCH « a initié l’opération avec la coopération de la Division antiterroriste de la police métropolitaine de Londres, du Service de la sûreté britannique et des réseaux diplomatiques. »

    On n’emploie pas des moyens aussi importants pour arrêter l’auteur d’une « logorrhée pseudoscientifique aberrante »

    Tout ça pour un simple graffiti effacé le lendemain? Certains jugeront la réaction des autorités françaises disproportionnée. Si mes conclusions étaient ineptes, fruit d’une « logorrhée pseudoscientifique aberrante », ils auraient raison. Toutefois, c’est précisément parce que mes conclusions sont, au contraire, solidement étayées que, prises de panique, les autorités françaises ont relié ciel et terre pour me saisir.

    Le graffiti attestait en effet que mes travaux se répandaient au sein de la société, convainquant un nombre sans cesse croissant de personnes. De plus, mes vidéos démontraient que je ne lâchais pas l’affaire et que de nouveaux éléments en faveur de mes thèses ne cessaient d’apparaître et qu’un jour ou l’autre, je publierais un nouveau livre bien plus percutant que le premier. D’où ces moyens colossaux déployés pour obtenir mon extradition: il fallait m’empêcher à tout prix de publier ce nouvel ouvrage. Cependant, par deux fois, la Providence m’a protégé: j’ai échappé de justesse à une arrestation en octobre 2021 et j’ai pu terminer la dernière relecture du livre trois jours avant mon arrestation.

    La répression sert la cause révisionniste

    Ma détention contribue à la diffusion de mon œuvre


    N’ayant pu empêcher la publication de l’ouvrage, vos amis en demandent l’interdiction. Vous écrivez: « La LICRA, la Dilcrah et PHDN ont alerté le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la Direction des Libertés publiques et des Affaires juridiques en avril dernier, les associations ont demandé l’interdiction de diffusion et de vente de ce livre. » Elles arrivent trop tard: la quasi-totalité des exemplaires imprimés ont été vendus. Mon arrestation et ma détention y ont largement contribué. Désormais, la thèse révisionniste sera colportée de proche en proche: ceux qui ont lu l’ouvrage en parleront autour d’eux, convaincant les uns et excitant la curiosité des autres.

    Afin de satisfaire cette curiosité, dès le décret d’interdiction publié, l’ouvrage sera mis en accès libre sur Internet avec l’avertissement suivant: « Voici le livre dont la LICRA a obtenu l’interdiction afin d’en empêcher la lecture par le public qu’elle considère comme un enfant inapte à se forger une opinion. Son auteur, en revanche, vous estime aptes à juger par vous-mêmes. Il vous invite à comparer les arguments développés par les deux camps, afin de conclure — ou pas — en toute liberté. Il propose, il expose, il n’impose pas. » Une fois encore, la répression aura servi la cause révisionniste.

    Même extradé, j’aurai gagné

    Quant à moi, peut-être serai-je extradé. Vous prévenez: « En cas d’extradition, ce serait un retour cinglant devant la justice française pour Reynouard qui tomberait de Charybde en Scylla, entre ses condamnations non exécutées et celles à venir. Ses récidives surabondent […] » Vous me promettez donc la prison pour très longtemps.

    Toutefois, vous citez Jean-Yves Camus qui soupire: « face à un doctrinaire comme Reynouard, malheureusement, seule la prison permet de faire taire sa propagande. » L’auteur s’en désole, car il sait que si mon emprisonnement permettrait de me faire taire, il donnerait un crédit immense à tout ce que j’ai dit ou écrit depuis des lustres.

    Obtenue en déployant des moyens colossaux et en recourant à des procès déloyaux (les autorités françaises ont menti dès le début en alléguant que j’avais été condamné pour « racisme »), mon extradition servira in fine la cause que je défends. Un ami, philosophe de formation, a lumineusement résumé la situation:

    Les autorités françaises veulent votre peau et usent d’arguments juridiquement fallacieux, et cela encore prouve que vous dérangez. Vos travaux et ceux de vos prédécesseurs ont été lus, diffusés, commentés, discutés, et ont ébranlé certainement beaucoup d’esprits; mais les temps ne sont pas mûrs encore pour faire céder la réticence des volontés à laisser l’intellect voir ce qu’il sait ou pressent être vrai. Vos persécuteurs savent tout cela, ils savent que vous n’avez pas encore dans les faits emporté l’adhésion du grand nombre et suscité une prise de conscience qui devrait déboucher sur une révolution; mais ils savent que les choses pourraient changer assez vite si la vie facile de consommateur abruti par des gadgets se mettait à s’enrayer. Alors ils veulent faire peur aux velléitaires qui seraient tentés par les idées sulfureuses.
    Il a raison. J’ai dédié ma vie au révisionnisme, j’ai publié mon nouveau livre sur Oradour. Mon destin personnel est désormais sans importance. En liberté ou derrière les barreaux, je servirai la cause que je défends depuis trente ans. D’où ma sérénité, car contrairement aux allégations de J.-Y. Camus, les révisionnistes n’ont pas « perdu la partie ». Au contraire, puisque leurs adversaires ont refusé la confrontation loyale, les révisionnistes ont gagné la partie. C’est un fait contre lequel vous ne pouvez rien.

    https://blogue.sansconcession.org/20...se-a-la-licra/
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


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