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Thread: Le nouveau Sans Concession est paru

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    I just randomly found a video on Odysee where you were speaking at the same event with Professor Faurisson: https://odysee.com/@nsviking:5/Histo...thering-2018:f. It must have been one of his last public appearances . Antifa had threatened the staff of the hotel that they would send methheads to attack the conference, and then at the end of the video it just shows that someone had rang the firealarm, and some person got punched in the face.

  2. #972
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    Qu’est devenu Vincent Reynouard disparu depuis un mois sans laisser de traces ? – Rivarol



    DEPUIS UN MOIS désormais, Vincent Reynouard a disparu sans laisser de traces. Et ce qui est alarmant, c’est qu’à notre connaissance il n’a contacté personne, absolument personne, depuis ce fameux lundi 25 octobre 4 heures de l’après-midi où il a réussi à fausser compagnie aux policiers britanniques et d’Interpol venus l’appréhender à son domicile. Ni sa famille, ni ses amis, ni ses proches collaborateurs. Même pas de manière indirecte ou minimaliste. Il a disparu des radars. Il s’est volatilisé. Nous n’avons même pas aujourd’hui la certitude qu’il est vivant ni qu’il est libre. Il est toutefois probable que, s’il avait été arrêté, des sites communautaires se seraient alors fait une joie et un devoir de l’annoncer urbi et orbi, de le crier sur les toits, de revendiquer cette incarcération comme une victoire. Ce qui laisse à penser qu’il n’est pas actuellement derrière les barreaux.

    Mais il y a depuis l’origine dans toute cette affaire quelque chose d’étrange, d’inhabituel, sinon de passablement inquiétant. D’abord, cela ne ressemble pas à Vincent de ne pas se manifester, d’une manière ou d’une autre, sur une aussi longue durée. Il lui était en effet possible d’écrire une lettre pour donner des nouvelles sans bien sûr divulguer le lieu où il se trouve, et en la postant assez loin de l’endroit où il se cache, d’envoyer un texto rassurant à un proche, quitte à se débarrasser immédiatement après du téléphone pour ne pas laisser de trace, ou de passer par l’intermédiaire d’une tierce personne pour donner un signe de vie. Or, jusque-là, il n’a rien fait de tel. Ce n’est pas ainsi qu’il avait agi lors de ses précédentes cavales en 2008-2009 (en Belgique et en France) et de nouveau au printemps 2015 (en Flandre) avant de s’exiler en Angleterre, le 16 juin 2015.

    QUE SAVONS-NOUS de certain ou d’à peu près certain à ce jour ? La police britannique et Interpol (si c’est bien d’eux qu’il s’agit) ont sonné en bas de son domicile le lundi 25 octobre en milieu d’après-midi. Vincent descend l’escalier, ouvre la porte. Voyant les policiers lui indiquant qu’ils veulent parler à Vincent Reynouard, ce dernier décline une fausse identité, puis claque aussitôt la porte sur les policiers. La porte ne s’ouvrant pas de l’extérieur, cela laisse le temps à Vincent de remonter en toute hâte à son appartement, et même de téléphoner à 15h44 à un proche collaborateur, certainement pour le prévenir de la situation et peut-être l’appeler à l’aide. Las, ce dernier, qui est dans le train, n’entend pas l’appel. Vincent ne laisse pas de message vocal. Il n’a pas le temps. Il se saisit rapidement, semble-t-il, de l’argent liquide dont il dispose grâce à ses cours particuliers, laisse tout sur place (son téléphone, ses papiers d’identité, son permis de conduire, ses ordinateurs portables, ne prend pas de change). Entendant les policiers qui ont finalement réussi à ouvrir la porte d’entrée grimper quatre à quatre les marches d’escalier jusqu’au deuxième étage, il a tout juste le temps de fuir par la cour intérieure du petit immeuble qui donne sur une sortie à l’arrière du bâtiment de sorte qu’il a pu semer ses poursuivants.

    Une demi-heure plus tard à peine, l’ami s’apercevant que Vincent Reynouard l’a appelé, son numéro s’étant inscrit sur son portable en appel entrant, lui téléphone aussitôt. Cinq fois de suite. Les quatre premières fois, l’appel sonne dans le vide. Ce qui est logique puisque le téléphone a été laissé à l’appartement. Mais la cinquième fois, l’appel est rejeté. Manuellement. A cet instant-là, il y a donc quelqu’un à l’appartement. Qui ? Selon toute vraisemblance, la police qui était possiblement encore sur les lieux à ce moment-là. Mais pourquoi alors ne pas avoir répondu à l’appel ? C’est étonnant de la part de policiers qui poursuivent un fugitif et qui habituellement ne négligent aucune piste pour obtenir des renseignements, et surtout pas un appel téléphonique qui peut s’avérer déterminant. Plus étonnant encore, la police n’a rien pris dans l’appartement de Vincent. Ni les ordinateurs, ni le téléphone, ni les archives, ni les pièces d’identité. Tout a, semble-t-il, été laissé intact. Ce n’est pas là non plus dans les habitudes de la police de ne pas saisir les éventuelles pièces à conviction, de ne pas procéder à des fouilles méticuleuses du logement de la personne que l’on recherche, de ne pas saisir le matériel informatique ni le téléphone qui peuvent parfois donner de précieux renseignements.

    ON A LE SENTIMENT qu’il y a des éléments manquants au puzzle. Quelque chose cloche dès le départ, suscite un malaise, légitime toutes les suspicions, autorise toutes les hypothèses. Est-on sûr d’abord qu’il s’agissait d’Interpol ? C’est en tout cas ce qu’a déclaré la propriétaire de l’appartement, répétant ce que lui avaient dit les (vrais ou faux) policiers britanniques. C’est ce qu’affirmait également Sarah Cattan dans son très long article du 3 novembre pour Tribune juive. Mais, quelques jours après, ce n’était déjà plus tout à fait la même version. Le compte Twitter intitulé Jugé coupable (qui est animé par le collectif anonyme BTA : Balance ton antisémite) indiquait soudainement que « Vincent Reynouard n’a pas de notice rouge d’Interpol », contrairement par exemple à Boris Le Lay exilé au Japon depuis 2014, ce qui laissait entendre que ce n’est pas forcément Interpol qui a sonné le 25 octobre au bas de l’appartement loué par le militant révisionniste dans le Grand Londres.

    Mais si ce n’est pas Interpol, qui cela peut-il bien être ? La police britannique ? Peut-être, mais agissant à la demande de qui ? Dans quel cadre ? Sur quelle base légale ? Certes, à ce jour, Vincent Reynouard a été condamné en tout depuis son exil en Angleterre à 29 mois de prison ferme par des juridictions françaises pour avoir contrevenu à la loi Rocard-Fabius-Gayssot. Mais il n’y a pas actuellement d’équivalent de cette législation anti-révisionniste au Royaume-Uni. Comment peut-on donc motiver légalement une demande d’extradition ? Certes, comme le disait feu le professeur Robert Faurisson, « quand il s’agit de lutte contre le révisionnisme, il n’y a ni foi, ni loi, ni droit. Tout est permis. » La chasse au révisionniste est ouverte toute l’année, n’importe où, n’importe quand, n’importe comment. Au reste, les anonymes analphabètes et haineux de BTA ne se vantent-ils pas d’être des « chasseurs d’antisémites » ? Et manifestement leur chasse n’est pas réglementée. Elle n’est pas limitée à certains horaires et à une ou deux saisons dans l’année. Elle est permanente, sauvage et brutale, s’exerce de nuit comme de jour, ne s’encombre pas de respect des conventions, de la morale, de la probité et de la vérité.

    IL EST SOMME TOUTE très facile à quelqu’un de déterminé de se faire passer pour un policier sans l’être aucunement. Vincent Reynouard avait raconté en vidéo comment, il y a cinq ans environ, alors qu’il était déjà en Angleterre, deux hommes étaient venus intimider une personne de son entourage immédiat restée en France, comment ils l’avaient suivie la journée en voiture, puis comment ils l’avaient attendue devant la porte de son appartement, puis, à son arrivée dans le couloir, comment il l’avait forcée à leur ouvrir la porte et à leur communiquer sous la menace les coordonnées téléphoniques et l’adresse exacte du domicile de Vincent au Royaume-Uni. Et manifestement, ce soir-là, ce n’était pas la police. Les deux hommes n’ont d’ailleurs pas eu la politesse de se présenter ni de décliner leur identité.

    Plus étrange encore, Vincent avait raconté comment, une nuit, il y a un peu plus d’un an, des inconnus s’étaient introduits chez lui pendant son sommeil, au précédent domicile qu’il occupait près de Londres, et avaient, semble-t-il, fouillé dans ses affaires, ses archives, ses documents, comme s’ils recherchaient absolument quelque chose de précis, d’important, et étaient repartis. Il s’en était aperçu car il avait soigneusement fermé la porte avec un verrou la veille au soir, avant de se coucher, il s’en souvenait fort bien, or, la porte était ouverte au petit matin à son réveil !

    On peut donc tout imaginer dans l’affaire présente, et plus le temps s’écoule, plus le silence devient assourdissant. Chaque jour qui passe nourrit le doute, accroît l’angoisse. Car si ce n’est ni Interpol, ni la police britannique qui a sonné chez lui ce jour-là, qui cela pouvait-il bien être ? Mais qui ? Serait-ce le fameux “qui” de Claude Posternak apostrophant le général Delawarde le 18 juin dernier sur CNews ?

    AU MOMENT OÙ il est parti en courant vers son destin le lundi 25 octobre vers 16 h. heure de Londres (17 h. heure de Paris), pour peut-être ne plus jamais réapparaître, Vincent mettait la dernière main à une étude approfondie et actualisée sur le drame d’Oradour-sur-Glane. Il s’apprêtait à me l’envoyer par courrier électronique comme mémoire en défense dans le cadre du procès qui m’était intenté deux jours plus tard, le 27 octobre, à la suite de la publication dans RIVAROL du 2 septembre 2020 d’un long article de deux pleines pages sur le tag inscrit sur le centre de la mémoire d’Oradour et sur l’hystérie que ce graffiti réalisé nuitamment, du 20 au 21 août 2020, avait suscitée dans la classe politico-médiatique. Vincent souhaitait en faire un livre détaillé avec force illustrations, un ouvrage sur le point d’être achevé dont il était heureux et fier et qu’il comptait absolument éditer et proposer à la vente avant Noël. Il avait, me confiait-il, fait des découvertes importantes, sinon sensationnelles, dont il était impatient et excité de faire connaître la teneur à ses lecteurs et qui, selon lui, étaient de nature à éclairer d’une lumière nouvelle toute cette ténébreuse affaire. Ce document ne m’a finalement jamais été communiqué, pas même par un intermédiaire ou au moyen de telle ou telle astuce, de tel ou tel artifice, de telle ou telle ruse dont Vincent n’est pourtant pas avare.

    Tout cela décidément ne lui ressemble pas, lui qui, travailleur acharné, et ne manquant jamais à ses promesses, a toujours fait l’impossible, remué ciel et terre, pour diffuser, publier, transmettre ses études, ses travaux, ses découvertes, ses intuitions, ses raisonnements, ses argumentaires par écrit et par vidéos. De manière tout aussi inexplicable, il n’a pas non plus prévenu, ni fait prévenir par un tiers, la grosse vingtaine d’élèves qu’il avait jusque-là en cours particuliers et qui se sont retrouvés du jour au lendemain sans leur professeur, et sans aucune nouvelle de lui, alors que les dates avaient été prises, les cours programmés, les rendez-vous confirmés. Non, décidément, cela ne lui ressemble pas. Certes, on conçoit parfaitement que les premiers jours d’une cavale, l’on pare au plus pressé et que la priorité soit de se cacher, de survivre et que l’on ne donne pas immédiatement de ses nouvelles. Peut-être ce silence prolongé s’explique-t-il seulement par sa prudence, sa crainte d’être repéré et appréhendé, un simple principe de précaution. Si l’on veut cultiver l’optimisme, c’est ce dont il faut essayer de se persuader. Mais, outre que cela n’est guère dans les habitudes de Vincent, et ne correspond nullement jusque-là à son mode opératoire, voilà maintenant un mois entier qu’il a disparu dans la nature sans laisser aucune trace, sans transmettre le moindre message, de manière directe ou indirecte, franche ou subliminale, de nature à rassurer sa famille, ses amis, ses proches, ses relations, sans donner le moindre signe de vie. Voilà qui nous plonge assurément dans un abîme de perplexité voire d’angoisse. Il est des silences qui, lorsqu’ils se prolongent, sont encore moins rassurants que le cliquetis des clés fermant à double tour la cellule d’un infortuné prisonnier.

    […]
    Rivarol

    Source : Éditorial de Rivarol n°3494 du 17/11/2021

    https://jeune-nation.com/lectures/he...traces-rivarol


    AIDEZ RIVAROL !

    https://rivarol.com/

    Le 4 novembre, le directeur de RIVAROL a été condamné par la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris à trois mois de prison avec sursis, 4 000 euros d’amende et 11 000 euros de dommages et intérêts pour différents écrits, datant de 2018 et début 2019, dont un éditorial sur la panthéonisation de Simone Veil. La loi interdit de demander des dons pour le paiement des amendes et des dommages et intérêts, mais il est possible de nous aider autrement, de manière tout à fait légale :

    l Abonnez-vous, même par anticipation (auquel cas, votre abonnement sera prolongé d’autant), abonnez des amis, des connaissances, de la famille, des relations de travail ou autres. Que tous ceux qui le peuvent prennent l’abonnement de soutien (175 euros), de propagande (210 euros) ou à vie (2 000 euros). Vous pouvez également souscrire à un abonnement couplé papier et numérique d’un an à 150 euros ou prendre l’abonnement numérique seul d’un an à 80 euros.

    l Cotisez à l’association des Amis de RIVAROL pour 2021 (adhésion simple : 20 euros. Adhésion donateur : 40 euros. Adhésion bienfaiteur : 100 euros et plus).

    l Vous pouvez également faire des dons, uniquement pour le paiement des droits civils de procédure et les frais d’avocats à l’Association des Amis de RIVAROL, soit par chèque (19 avenue d’Italie, 75013 Paris), soit par virement bancaire. Voici les coordonnées du compte de notre association à la Banque postale :

    IBAN : FR91 2004 1000 0108 6027 7P02 005

    BIC : PSSTFRPPPAR

    l On peut aussi faire un don par Paypal pour les mêmes motifs en se rendant sur la page accueil de notre site rivarol.com à la mention : Faire un don.

    Merci pour tout ce que vous pourrez faire pour nous aider, dans ces temps si difficiles. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Haut les cœurs ! Merci d’avance du fond du cœur pour votre cadeau de Noël à RIVAROL.
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  3. #973
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    Rivarol - Pas d'affolement, Vincent a plus d’un tour dans son sac !

    Rivarol N°3496 - 1er décembre 2021


    RIVAROL : Vous êtes la dernière personne à avoir vu à son domicile londonien Vincent Reynouard avant sa fuite et sa disparition le lundi 25 octobre dernier en milieu d’après-midi. Vous l’avez quitté seulement deux heures avant la descente de la police. Pouvez-vous nous raconter le pourquoi et le comment de votre visite à Londres au militant révisionniste et pouvez-vous nous relater par le menu les 72 dernières heures de Vincent avant les événements du 25 octobre vers 16 h., heure de Londres ?

    VALENTIN, responsable des Éditions Critias : Cela fait désormais quelques années que je collabore avec Vincent Reynouard. Au fil des années, nous sommes devenus amis proches et nous nous fréquentions très régulièrement lorsque j’habitais moi aussi à Londres, jusqu’à la crise du Covid.

    Fin octobre, j’ai décidé de rendre visite à Vincent, que je n’avais pas vu depuis près d’un an. Il n’était, initialement, pas question de faire une vidéo d’entretien mais seulement de lui rendre une visite de courtoisie le temps d’un week-end. Quelques jours avant mon arrivée, Vincent m’appelait et me proposait de faire une vidéo d’entretien, dans laquelle il dévoilerait à la caméra ses conditions de vie étonnantes. D’abord réticent, j’ai accepté, et nous nous sommes immédiatement mis au travail. Vincent tenait beaucoup à réaliser cette vidéo. Je suis arrivé le vendredi en fin d’après-midi. Le samedi a été entièrement consacré au tournage de la vidéo sur la vie de Vincent, établissant une liste de questions, réalisant des plans, etc.

    Le lendemain, nous avons travaillé sur le montage de la vidéo. Pour cette vidéo d’environ une heure vingt, nous avons dû passer un peu moins d’une dizaine d’heures au montage. Il faut savoir que les vidéos de Vincent, très travaillées, prennent beaucoup plus de temps. Pour l’avoir assisté un temps, je peux vous affirmer qu’il n’exagère pas quand il affirme passer son temps à travailler. Le public, en général, n’imagine pas la quantité de travail nécessaire à la réalisation d’une vidéo richement documentée et illustrée, telle que Vincent a l’habitude de faire.

    Nous avons donc publié la vidéo du lundi 25 octobre en fin de matinée, vers 11h, heure de Londres, sur YouTube et sur le compte Gab de Vincent. Je partais ensuite à l’aéroport vers 14h et me rendis compte, une fois le réseau WiFi retrouvé à l’aéroport, que Vincent avait essayé de m’appeler une fois à 15h44, sans succès. J’essaierais ensuite de le joindre cinq fois en une heure, mais il ne répondrait pas. La cinquième fois, l’appel allait être carrément rejeté. Cela n’est pas dans les habitudes de Vincent, je pressentais qu’il se tramait quelque chose d’inhabituel. C’est au soir, en rentrant chez moi, que j’ai appris la disparition de Vincent et la visite des policiers. Je tiens à rassurer nos lecteurs : nous sommes certains que ce sont des policiers qui ont rendu visite à Vincent, ce jour-là. Il a réussi à leur échapper. Aujourd’hui, tout laisse à penser qu’il essayait de me joindre une dernière fois avant de fuir la police et d’abandonner son téléphone.

    R. : Voilà maintenant cinq semaines complètes que nous n’avons absolument aucune nouvelle de Vincent, fût-ce de manière indirecte ou subliminale. Sachant que Vincent donne en général des nouvelles, des signes de vie, ce silence total qui se prolonge n’est-il pas alarmant ? Quelles sont les différentes hypothèses, les divers scénarios possibles ? Vous qui le connaissez bien, êtes-vous confiant, et si oui pour quelles raisons ?

    V. : À vrai dire, ce n’est pas la première fois que Vincent disparaît ainsi. Peut-être était-il moins connu à l’époque, mais il s’est déjà volatilisé pendant plus de deux mois, avant de réapparaître sur son lieu d’exil, en Angleterre. C’était en 2015. Plus tard, dans une vidéo, Vincent raconterait qu’il était hébergé chez un ami en Belgique. Il n’avait alors donné de signe de vie à personne, pas même à ses plus proches amis. Vous-même, qui connaissiez alors Vincent depuis une quinzaine d’années, ne saviez pas où il était. Aujourd’hui, cela fait cinq semaines que nous sommes sans nouvelles. Je pense qu’il est beaucoup trop tôt pour s’alarmer. Nous ne devons pas sous-estimer Vincent, qui a plus d’un tour dans son sac. Il doit chercher à rester discret pour le moment, mais je n’ai pas beaucoup de doutes sur le fait qu’il se manifestera tôt ou tard. Peut-être pas dans les semaines à venir, certes, mais nous ne devons pas tomber dans la panique ou la paranoïa. Nous devons continuer à relayer son travail et ne pas céder à la peur. Je pense également que le manque de communication et d’informations directes autour de la disparition de Vincent ne joue pas en notre faveur. Cela nourrit des fantasmes et laisse envisager le pire. C’est pourquoi j’ai accepté votre demande d’interview.

    R. : D’après vous, Vincent avait-il sérieusement envisagé cette brusque incursion de la police à son domicile londonien ou, du fait qu’il n’y a pas actuellement de loi anti- révisionniste au Royaume- Uni, se pensait-il relativement à l’abri ? Pensez-vous qu’il avait un plan précis en tête en cas de descente de la police chez lui ? Avait-il songé sérieusement à une cavale, à une longue période de clandestinité ?

    V. : En décembre 2020, Vincent a déposé une demande auprès des autorités britanniques pour avoir le statut de résident permanent (avec sa vraie adresse postale), et avoir ainsi le droit de rester au Royaume- Uni après le Brexit. Il a déjà expliqué cela dans une vidéo. Parmi les questions auxquelles le candidat au statut de résident permanent doit répondre, il y avait celle ci : « Avez-vous des condamnations non purgées dans d’autres pays ? ». Par honnêteté, et aussi parce qu’il se pensait en sécurité dû au fait qu’il n’y a pas en effet de lois anti-révisionnistes en Grande-Bretagne, Vincent a répondu “oui”.

    Le délai moyen pour obtenir une réponse du ministère de l’Immigration à ce genre de demande est de trois mois. En octobre 2021, soit plus de dix mois après sa demande officielle, Vincent n’avait toujours reçu aucune réponse. Il savait que cela ne jouait pas en sa faveur et subodorait un refus. Nous en étions venus à la conclusion suivante : les autorités britanniques ne répondraient pas à sa demande, lui laissant de facto le droit de rester en Angleterre tout en ne le lui accordant pas officiellement. Il n’est pas à exclure, dans une hypothèse optimiste, que les policiers soient venus seulement pour lui poser davantage de questions concernant sa demande de résidence.

    R. : Au moment de sa disparition, Vincent mettait la dernière main à une étude détaillée, renouvelée et actualisée sur l’affaire d’Oradour-sur-Glane. En savez vous plus sur les conclusions auxquelles il était arrivé, sur les éléments nouveaux qu’il avait pu trouver ? Pensez- vous que ce travail pourrait avoir un lien, direct ou non, avec sa disparition ?

    V. : Quand je le quittais, le lundi 25 octobre à 14h, heure de Londres, Vincent peaufinait en effet son étude sur Oradoursur- Glane. Comme vous le savez, il était question qu’il vous fournît un dossier récapitulatif pour votre procès du mercredi 27 octobre, portant sur le long article du 2 septembre 2020 que vous aviez signé et publié sur Oradour. Je ne souhaite pas, pour l’instant, divulguer les conclusions de Vincent à ce sujet. Je préfère lui donner l’occasion de les divulguer lui-même, il le fera mieux que moi. Il faudra simplement être patient.

    Quant au lien supposé entre ce travail et sa disparition, j’en doute fortement. Je pencherais plutôt pour la thèse des autorités britanniques cherchant à le contacter pour des questions d’immigration, ou peut-être une demande d’extradition de la France. À mon avis, c’est un problème spécifiquement légal. Il ne faut pas croire aux revendications de certains journaux ou de certains sites internet, se vantant d’être à l’origine de la disparition de Vincent. Ces personnes pérorent, comme à leur habitude. Il ne faut leur accorder aucun crédit ni leur prêter aucune attention.

    R. : Si jamais, à un moment donné, Vincent refait surface, ce que nous souhaitons tous, ne va-t-il pas se trouver en Grande-Bretagne dans une situation impossible, dans une impasse, car s’il milite à nouveau sur Internet par vidéos, s’il a de nouveau la moindre vie sociale, ne risque-t-il pas d’être aussitôt appréhendé puis extradé par la police britannique ? Ne se trouve-t-il donc pas durablement bloqué d’autant qu’il semble également difficile de l’exfiltrer, la Grande-Bretagne étant une île ? Que peut-on faire de concret pour Vincent, selon vous, actuellement ?

    V. : C’est un risque en effet. En s’exilant en Grande-Bretagne, Vincent savait que sa liberté sur cette île ne durerait pas éternellement, que celle-ci ne serait qu’un répit de quelques années. Tôt ou tard, il était évident que la France demanderait son extradition, ou qu’une loi anti-révisionniste serait votée par le Parlement britannique. Vincent était donc tout à fait conscient de ce risque. Mais, condamné en France en 2015 à de la prison ferme, il a pu s’exiler au Royaume-Uni. Il a donc su franchir cette frontière.

    Je crois que le moyen le plus efficace pour continuer à soutenir Vincent est de diffuser ses travaux, qu’ils soient sous forme de vidéos - que l’on peut trouver sur son blogue - ou sous forme papier - disponibles sur la boutique Sans Concession, qui continue de tourner, et via notre site des Éditions Critias. Comme les lecteurs de RIVAROL l’ont peut-être vu dans la vidéo-interview que nous avons publiée, Vincent consacre toute sa vie et toute son énergie à travailler. Je pense que le meilleur service que nous puissions lui rendre, pour le moment, c’est de diffuser au maximum ce pour quoi il se donne tant.

    R. : Vous avez créé et vous dirigez les Editions Critias. Pourquoi ce nom et quel est le but de cette toute nouvelle maison d’édition ? Que proposez-vous à son catalogue ?

    V. : Nous avions le projet initial de publier, avec son accord, des textes de Vincent portant sur la philosophie... d’où le nom choisi de “Critias”, en référence au Critias de Platon. Mais notre maison d’édition a rapidement changé d’orientation, surtout depuis les récents événements contés ci-dessus. Nous continuons - et continuerons - à publier des textes de Vincent, certains inédits, mais également à republier des documents historiques concernant, entre autres, la période historique qui nous intéresse, celle là même qui est l’objet d’étude de Vincent Reynouard : la Seconde Guerre mondiale, et le XXe siècle en général. Ainsi, nous venons de rééditer deux ouvrages méconnus de Philippe Henriot. Le 6 février 1934, contant les tenants et les aboutissants de cette journée funeste, et Ici Radio France, recueillant les allocutions de « l’homme à la voix d’or » sur Radio-Paris. Nous avons trop souvent l’habitude d’entendre un seul son de cloche concernant cette période, les interventions de Pierre Dac à Radio Londres ont totalement occulté celles de son talentueux adversaire de Radio-Paris. Nous éditons également un ouvrage inédit de Vincent Reynouard, Sauver la France et l’Europe, itinéraire idéologique d’un national-socialiste contemporain, dans lequel Vincent détaille son parcours idéologique et explique pourquoi il se définit comme national-socialiste.

    Propos recueillis par Jérôme BOURBON.

    https://the-savoisien.com/blog/index...r-dans-son-sac
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


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    Vincent Reynouard, vivant et libre, donne de ses nouvelles !

    21 décembre 2021

    Le dimanche 19 décembre 2021, à 22h31, heure de Paris, après presque deux mois entiers de silence, Vincent Reynouard, toujours en clandestinité, a enfin donné de ses nouvelles pour rassurer tous ceux qui s’inquiétaient depuis sa disparition le lundi 25 octobre de son ex-appartement du Grand Londres. Voici le texte qu’il a écrit pour ses amis et soutiens et qu’il souhaite faire paraître en exclusivité dans RIVAROL. C’est un très beau cadeau de Noël qu’il nous fait, même si, bien sûr, rien pour lui n’est réglé sur le fond et sa situation reste évidemment très précaire car il est toujours recherché activement par la police britannique, agissant, semble-t-il, sur demande des autorités françaises en vue de son extradition. Rappelons qu’il a été condamné à 29 mois de prison ferme par la justice française depuis son exil au Royaume-Uni le 16 juin 2015. Il a plus que jamais besoin de nos prières.


    Chers Amis,
    Je vous donne enfin de mes nouvelles. Après avoir échappé de justesse à une arrestation, je vais très bien. Je suis logé dans une petite chambre et, le soir, je travaille quelques heures dans un établissement. Le 25 octobre, deux inspecteurs ont frappé à la porte de mon domicile pour « parler à Vincent Reynouard ». Des inspecteurs qui veulent vous parler, je connais. En juillet 2010, à Bruxelles, deux inspecteurs m’avaient demandé de les suivre pour me parler et signer un papier. Je les ai suivis, j’ai signé. Le soir, je dormais en prison... Le 25 octobre dernier, j’ai donc joué le tout pour le tout en niant être Vincent Reynouard. J’ai expliqué qu’il était en France et qu’il reviendrait dans deux ou trois jours. Les inspecteurs sont repartis. Mais dix minutes après, ils tambourinaient à la porte avant de l’ouvrir, je ne sais comment. J’ai juste eu le temps de prendre une paire de chaussures et un disque externe de secours que je tenais prêt en cas d’urgence, et j’ai fui par derrière. J’ai dévalé l’escalier, sauté par-dessus un vélo qui obstruait les dernières marches, puis j’ai couru jusqu’à un jardin public. Là, je me suis débarrassé de la veste que les inspecteurs avaient vue, j’ai récupéré un masque facial qui traînait au sol et je suis parti vers le village voisin. Jusqu’au soir, j’ai erré... Je vivais un véritable film !

    Une amie anglaise m’a recueilli. Au bout de trois semaines, elle m’a trouvé un travail chez un ami patron informé (partiellement) de ma situation, donc qui me paye en numéraire. J’ai ainsi pu m’acheter le strict nécessaire pour vivre (des sous-vêtements, un manteau, un pantalon, du nécessaire de toilette, une bouilloire et un bol...). Matin, midi et soir, je mange des Weetabix (NDLR : céréales de blé complet) avec du lait en poudre, car cela ne nécessite ni réfrigérateur, ni préparation, et c’est compact.

    Combien de temps cela va-t-il durer ? Je l’ignore. Dans ma situation, je vis au jour le jour. Des amis ont débarrassé l’appartement où je vivais et ont entreposé mes affaires dans un endroit sûr qui m’est inaccessible.

    Malgré tout, je ne regrette rien. Cette vie, je l’ai choisie. Je savais à quoi je m’exposais. Je m’étais toujours demandé ce qu’avaient pu ressentir les vaincus qui, en 1945, fuyaient après avoir tout perdu. Bien que ma situation soit infiniment moins tragique, je le vis un peu. L’expérience m’enthousiasme.

    Car le fait de vivre au jour le jour et de m’en remettre totalement à la Providence me donne une sensation de liberté immense, quasi infinie. Pour me reposer, n’ayant que très peu de moyens de distraction, je médite. Ces deux dernières années, j’avais beaucoup lu à ce sujet, mais sans jamais pratiquer, car entre mes cours et mes vidéos, je vivais à cent à l’heure. Désormais, seul dans ma chambre, je pratique.

    Bref, je suis très heureux et je comprends parfaitement l’enseignement traditionnel selon lequel la situation extérieure n’est rien, c’est la façon dont l’esprit réagit qui est tout. A 52 ans, sans famille et recherché, je vis comme un étudiant désargenté. Je passerai Noël seul dans ma chambre, avec mes trois Weetabix et mon bol de thé. Je pourrais vouloir me pendre. Je pourrais me consumer dans la haine de mes adversaires. Or, mes adversaires, je n’y pense jamais ; ils n’ont été et ne sont que des instruments de la Providence. Encore une fois, je savais à quoi je m’exposais.

    Je me souviens du professeur Faurisson qui, dans ses premières lettres, m’écrivait : « Vous compromettez gravement votre avenir ». Un jour, il me dit : « Attendez d’obtenir votre diplôme avant de vous lancer dans le combat ». Je lui répondis : « Professeur, vous me dites d’attendre d’avoir mon diplôme pour entrer dans le combat. Ensuite, vous me direz : attendez d’avoir une situation. Puis vous me direz : attendez d’avoir une épouse. Puis vous me direz : attendez d’avoir une famille. Puis vous me direz : attendez que vos enfants soient grands... Si je ne m’engage pas à vingt ans, je ne m’engagerai jamais. » Des années plus tard, le professeur Faurisson me dit : « Votre réponse m’a frappé. J’ai alors compris que la relève était assurée. » Trente ans plus tard, je suis heureux d’avoir assuré cette relève. Quant à l’envie de me pendre, à l’heure où j’écris, je n’ai jamais autant aimé la vie. Certains me diront : « Certes, mais à la différence de l’étudiant désargenté, votre vie est derrière vous. » Erreur ! La vie est toujours devant soi quand on a pris conscience de l’essentiel. Dans le domaine de l’esprit, j’ai encore tant à apprendre, tant à découvrir... Et même si, demain, je me retrouve en prison, cela ne m’empêchera pas de vivre cette aventure de l’esprit qui, malgré quatre murs emprisonnant le corps, vous ouvre des horizons infinis.

    J’ajoute qu’en prison, j’écrirai mes mémoires. Cette année a marqué le trentième anniversaire de mon premier procès et de ma première condamnation pour révisionnisme. C’était en novembre et en décembre 1991.

    L’année prochaine marquera les 25 ans de ma révocation de l’Éducation nationale. C’était le 23 avril 1997. Dans la tranquillité de ma cellule, avec le gîte et le couvert assurés, je disposerai de tout le temps nécessaire. Je raconterai tout, détails à l’appui, avec de nombreuses anecdotes que je n’ai jamais dévoilées dans mes écrits ni dans mes vidéos. En voici quelques-unes.

    Le 7 mai 1990, j’ai distribué des tracts révisionnistes dans les cités universitaires de Caen. J’étudiais alors la chimie à l’école d’ingénieurs de la ville, située à la frontière du campus. Deux jours après, la France apprit la profanation du cimetière de Carpentras. Dans la fièvre qui suivit, ma distribution de tract fut considérée comme une provocation insupportable.

    Des journalistes de la télévision locale vinrent à mon école pour m’interroger. J’acceptais. Panique dans les locaux. Le soir, un fragment de l’entretien fut diffusé au journal régional. L’école me fit passer en conseil de discipline pour « salissure de sa réputation ». Elle me renvoya un an, dont neuf mois avec sursis, la peine devant être effectuée l’année scolaire suivante. La décision était illégale. L’école le savait, aussi refusa-t-elle de me la notifier. Un de mes amis retraité, qui avait étudié le droit, me dicta un recours en annulation à déposer devant le tribunal administratif. Je suivis son conseil. Le soir, le téléphone sonna. « - Monsieur Reynouard ? », dit une voix. « Oui. », répondis-je. « - Vous avez déposé un recours devant le tribunal administratif ? » « - Oui. » Seul mon ami retraité le savait. Je me dis qu’il devait s’agir d’un journaliste. La voix continua : « - Le recours sera rejeté, car il est mal rédigé. Je vais vous dire comment il faudrait le rédiger. » Je pris un stylo et notai sous la dictée. « - Vous avez bien noté ? » fit la voix. « Oui. » « - Alors au revoir. » La personne raccrocha. Je téléphonai à mon ami ; il me conseilla de suivre le conseil anonyme, ce que je fis. Lorsque l’affaire vint à l’audience, le premier recours fut effectivement rejeté pour vice de forme, et le tribunal me donna raison sur le second. Il ordonna ma réintégration immédiate dans l’établissement. J’en déduisis qu’au tribunal administratif de Caen, les révisionnistes avaient un allié. La personne ne s’est jamais manifestée...

    A une ou deux autres reprises, je fus aidé en justice. En 1999 ainsi, alors que j’avais été condamné à de la prison ferme pour la diffusion du Rapport Rudolf, la cour d’Appel laissa passer le délai de prescription. J’évitai ainsi les amendes et la prison. L’avocat de la partie civile qui plaidait contre moi était furieux. Il lâcha : « Je n’arrive pas à croire que le dossier ait été oublié. » Avec Maître Delcroix, nous sortîmes tout joyeux du Tribunal. Il me dit alors d’un air malicieux : « Je crois qu’une bonne âme a discrètement placé votre dossier sous la pile. »

    Je raconterai d’autres anecdotes cocasses. Ainsi cet inspecteur de la ville de Honfleur chargé de m’arrêter et de m’interroger. Son nom figurait sur la porte de son bureau : « Philippe Enriot ». J’éclatai de rire : « Très honoré d’être interrogé par Philippe Enriot ». « - Il n’y a pas de H à mon nom ! » me répondit-il un peu vexé. Quant à la juge chargée, en 2010, de me signifier mon incarcération à la prison de Valenciennes, elle s’appelait Émilie Joly. Ayant pu constater ma personnalité, l’inspecteur qui m’avait réceptionné à la frontière française me dit : « Je vois que vous avez le sens de l’humour. Alors je vous préviens, la juge s’appelle Émilie Joly, mais je vous déconseille de faire une remarque sur son nom, elle n’apprécierait pas ! »

    Quelques années auparavant, une juge d’instruction m’avait placé sous contrôle judiciaire avec plusieurs obligations. Dans son bureau se trouvaient plusieurs étudiants en droit venus assister à la scène. Visiblement très honorée, la juge me toisait. Sachant que j’étais professeur particulier, elle me dit : « Parmi les obligations, l’interdiction de donner des cours à des mineurs. » « - Des mineurs d’âge ou de profession ? » fis-je tout sourire. « Monsieur Reynouard ! » dit-elle excédée.

    A Bruxelles, l’inspecteur qui s’occupait des affaires de révisionnisme s’appelait Cornélis. Lors d’un interrogatoire, il me demanda, les yeux fixés sur son écran d’ordinateur : « Avez-vous conscience de violer la loi ? » « - Naturellement » répondis-je. Il interrompit la frappe, leva les yeux et me fixa. « - J’ai dit quelque chose de mal ? » « - Non, répondit-il. Mais c’est si rare de voir des gens qui assument leurs actes ». J’ai toujours assumé, car dire la vérité n’est pas une honte, c’est un honneur, surtout lorsque la vérité est bannie. M. Cornélis m’appréciait. Un jour, il arriva vers 7 h 30 pour me perquisitionner. Je partais emmener mes enfants à l’école. Je lui dis : « Commencez sans moi, inspecteur, vous savez où c’est ! » « - Je ne peux pas, me dit-il, ce serait illégal. » « Mais je dois emmener mes enfants à l’école ! » L’inspecteur se tourna vers l’un de ses subordonnés et lui demanda de prendre la voiture pour emmener mes enfants. Le soir, ceux-ci revinrent tout excités : « On a été dans la voiture de Police, il y avait plein de boutons partout ! » Une autre fois, l’inspecteur arriva plus tard, alors que j’allais conduire mon épouse et deux de mes enfants chez le médecin. Là encore, il demanda à un subordonné de le faire pour moi. Mon épouse me raconta qu’une fois arrivée chez le médecin, le subordonné lui dit : « A quelle heure dois-je venir vous rechercher ? » Elle le remercia de son amabilité et lui dit qu’elle rentrerait en transport en commun.

    L’inspecteur Cornélis était correct avec moi car j’étais correct avec lui. Un jour, je lui dis : « Vous faites votre travail de fonctionnaire de l’État, c’est normal. Si, demain, j’arrivais au pouvoir, vous ne seriez nullement inquiété, vous pourriez rester à votre poste. » C’était sincère. Je dénonce l’Épuration perpétrée en 1945, ce n’est pas pour en souhaiter une si j’étais le plus fort. Mon objectif n’est pas d’écraser mes ennemis, car en tant que non-violent (physique et intellectuel), je fais mienne cette devise de Lanza del Vasto : « Vous avez vraiment vaincu un ennemi quand vous vous en êtes fait un ami. »

    Si je suis arrêté, extradé et incarcéré, dans le calme de ma cellule, je raconterai tout cela... je raconterai le trou percé, avec mon fils aîné, dans le mur du mon bureau afin d’y récupérer des affaires sans briser les scellés que la Police avait posés sur la porte. D’un côté et de l’autre du mur, il y avait une bibliothèque. Le trou put donc être masqué. Les policiers n’y ont vu que du feu. Ils avaient mis sous scellés des cartons pleins de livres ; une semaine après, ils emportèrent des cartons aux trois quarts vides.

    Je raconterai aussi des anecdotes personnelles. Un jour, mon fils aîné me dit : « Quand on raconte à nos copains nos vacances avec toi, ils nous répondent qu’ils n’en ont jamais eu de pareilles. » Nos vacances étaient en effet particulières. Une année, nous avions organisé un concours avec un prêtre : c’était à celui qui trouverait la plus vieille tombe lisible. Nous arpentions les vieux cimetières. Un jour, nous vîmes un mausolée appartenant à une famille noble. L’intérieur avait l’air magnifique, mais la porte était fermée à clé, avec une serrure passablement rouillée. J’avais appris à ouvrir ce genre de serrure. J’ouvris la porte et nous entrâmes. L’intérieur était effectivement très beau : c’était la réplique en miniature d’une église. Derrière l’autel, un accès au sous-sol. Nous y allâmes. Posés simplement sur le sol, les cercueils étaient là. Le dernier enterrement remontait aux années 1960. Tout était plein de poussière, le spectacle était digne d’un film fantastique. Nous partîmes après avoir fait une prière et sans rien toucher...

    Lorsque je regarde en arrière, je ne regrette rien. La vie m’a tant appris. Et même jeté en prison, j’aurais encore beaucoup à vous offrir. Pour l’heure, je vous souhaite à toutes et à tous de saintes fêtes de Noël.

    Vincent REYNOUARD.
    RIVAROL 3499 - Numéro de Noël 2021

    Vincent REYNOUARD.
    https://jeune-nation.com/actualite/a...-ses-nouvelles

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    Last edited by PHDNM; 12-22-2021 at 06:48 PM.
    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


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    Le héros Vincent Reynouard s’exprime après 2 mois de silence !

    Démocratie Participative

    23 décembre 2021

    https://democratie-participative.onl...is-de-silence/

    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


  6. #976
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    Se prémunir contre la censure sur Internet


    07/02/2022

    Vous avez sans doute entendu que le Tribunal judiciaire de Paris ordonne le blocage de Shoarnaque et Blogue SC chez les fournisseurs d’accès à internet français. Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement?

    Site bloqué ≠ Site fermé

    Commençons par éclaircir un point important : non, les sites Shoarnaque et Blogue SC ne seront pas fermés. Depuis plusieurs années, nous prenons soin d’héberger nos sites internet hors de France et dans un pays où aucune loi n’interdit le révisionnisme. Ainsi, le gouvernement français ne peut pas obtenir leur fermeture.

    Puisqu’il ne peut pas faire fermer les sites de Sans Concession, le tribunal de Paris ordonne donc leur blocage par les fournisseurs d’accès à internet français. Les fournisseurs d’accès à internet français sont ces entreprises auxquelles les personnes résidant en France font appel pour obtenir un abonnement internet (ce sont d’ailleurs souvent les mêmes qui leur fournissent un abonnement téléphonique): ce sont Orange, SFR, Free, Bouygues, pour ne citer que les plus importantes.

    Concrètement, le Tribunal de Paris ordonne à Orange, SFR, Free, Bouygues et aux autres fournisseurs d’accès à internet opérant sur le territoire français, de mettre les sites Shoarnaque et Blogue SC sur une liste noire et d’en interdire l’accès à tous leurs abonnés, c’est-à-dire de facto à tous les internautes de France.

    La France copie le Grand Pare-Feu de Chine

    Le raisonnement du Tribunal de Paris est donc le suivant: puisqu’on ne peut pas obtenir la fermeture de ces sites, ordonnons aux entreprises télécom françaises d’en bloquer l’accès, afin que les Français ne puissent pas les consulter. Cette méthode n’est pas nouvelle, loin de là: c’est celle qu’utilise le Parti communiste chinois depuis vingt ans pour la censure d’Internet en république populaire de Chine, avec son Grand Pare-Feu.

    La répression des discours dissidents en France n’est pas nouvelle. Toutefois, cette décision du Tribunal de Paris signale qu’un nouveau pas a été franchi dans la censure. Le gouvernement français adopte peu à peu les méthodes Parti communiste chinois: désormais, les juges ne sont plus seulement chargés de pourchasser les auteurs d’ouvrages non-conformistes, mais ils doivent contrôler ce que les Français peuvent lire, voir et écouter. Et tout laisse à penser qu’avec le temps, la liste des sites bloqués par le gouvernement français deviendra toujours plus longue.

    Le VPN: outil essentiel du citoyen libre des temps modernes

    Il donc temps de s’équiper pour faire face à cette censure. Car oui, il existe des moyens pour contourner les blocages! L’un de ses moyens est le Réseau privé virtuel, plus connu sous l’acronyme anglais VPN.

    Pour faire simple, un VPN est un système qui:

    – crypte les informations qui transitent entre votre ordinateur et un site Internet;

    – masque votre adresse IP (l’adresse de votre ordinateur sur le réseau internet) et vous en donne une autre.

    C’est ce dernier point qui nous intéresse dans le cadre de la lutte contre la censure imposé par le gouvernement français. En effet, pour faire appliquer la décision du Tribunal de Paris, les fournisseurs d’accès à internet français discrimineront les internautes en fonction de leur adresse IP, car une adresse IP est automatiquement géolocalisée :

    – quand un internaute doté d’une adresse IP située en France se connectera à un fournisseurs d’accès à internet français, l’accès aux sites Shoarnaque et Blogue SC sera interdit;

    – en revanche, quand un internaute doté d’une adresse IP située hors de France se connectera à un fournisseurs d’accès à internet français, l’accès aux sites Shoarnaque et Blogue SC sera permis.

    Avec un VPN, vous pourrez masquer votre adresse IP et en obtenir une nouvelle. La plupart des VPN vous offriront le choix entre plusieurs pays: il vous suffit de choisir une adresse située hors de France pour contourner la censure et accéder aux sites Shoarnaque et Blogue SC.



    Voici une vidéo qui explique très bien ce qu’est un VPN

    (cette vidéo a été réalisée par NordVPN, qui en profite à la fin pour faire la promotion de son VPN, mais tout ce qui est dit dans cette vidéo est valable pour tous les autres VPN)

    Est-il légal d’utiliser un VPN?

    Oui ! C’est non seulement légal, mais dans certains cas, c’est même recommandé!

    Les entreprises ont été les premières à recourir aux VPN: depuis plusieurs années, les VPN sont utilisés par les employés pour se connecter aux serveurs de leur entreprise depuis leur maison en toute sécurité, car les VPN chiffrent la connexion internet.

    Internet prenant de plus en plus de place dans notre vie quotidienne (achats, démarches administratives et opérations bancaires en ligne), les particuliers aussi sont invités à se doter d’un VPN, afin de se prémunir contre les piratages, se protéger des cyberattaques, échapper au pistage des publicitaires et assurer leur anonymat en ligne.

    Aujourd’hui, les VPN sont principalement utilisés par les particuliers pour:

    sécuriser leur connexion internet, particulièrement lorsqu’ils doivent utiliser leurs données personnelles (cartes bancaires, passeport et autres);
    contourner des restrictions géographiques et accéder à des services qui ne sont disponibles que dans certains pays;

    accéder à Internet dans un pays dont le gouvernement en réduit l’accès (comme en Chine, en Arabie Saoudite, au Vietnam… et bientôt en France?)

    Concrètement, comment fonctionne un VNP?

    Est-ce compliqué?


    De nos jours, un VPN se présente sous la forme d’un logiciel à installer sur votre ordinateur. Une fois installé, le logiciel fonctionnera tout seul (avec un peu de chance, votre VPN démarrera automatiquement en même temps que votre ordinateur; sinon, un simple clique suffira à le démarrer).

    Votre VPN vous donnera la possibilité de choisir dans quel pays vous désirez que soit située votre nouvelle adresse IP. Choisissez un pays où il n’existe pas de loi anti-révisionniste (États-Unis, Royaume-Uni, Japon…) et le tour est joué!

    Quel VPN choisir ?

    Il existe aujourd’hui un très grand nombre d’entreprises proposant des VPN, chacune ayant ses points forts et ses points faibles. Comme vous vous en doutez, nous avons nous-mêmes dû passer plusieurs heures à comparez les VPN. Nous partageons donc avec vous le fruit de nos recherches: vous trouverez, ci-dessous, une liste de cinq VPN généralement considérés comme parmi les meilleurs du marché.

    Nous avons choisi ces cinq VPN en particulier pour les raisons suivantes:

    Ils sont tous basés en dehors de l’Union Européenne et des pays participants aux réseaux de surveillance gouvernementale Five Eyes, Nine Eyes, 14 Eyes;

    Ils ne gardent ni historique de connexion, ni registre d’activité de leurs utilisateurs (les fameux « log »);

    Ils utilisent tous le chiffrage AES-256;

    Ils ont tous un grand nombre de serveurs;

    Ils ont tous des serveurs hors d’Europe;

    Leur logiciel est simple d’utilisation;

    Ils fonctionne sur macOS, Windows, iOS, Android et Linux.

    Quel que soit le VPN que vous choisirez parmi les cinq ci-dessous, vous êtes assuré de faire le bon choix, car tous les cinq sont parmi les plus robustes et les plus efficaces du marché.

    Avant de passer à la liste, parlons rapidement argent (soyons honnête: l’argent est toujours une préoccupation):

    il existe une offre gratuite chez ProtonVPN: elle n’est pas parfaite (seulement trois serveurs et une vitesse limitée) mais dans un premier temps, elle devrait suffire (il n’est pas nécessaire d’avoir une connexion ultra-rapide pour consulter le Blogue SC);

    Pour un contrat de 6 mois, Surfshark est le plus abordable (5,66 €);

    Pour un contrat de 12 mois, PureVPN est le plus abordable (2,50 €), suivi de NordVPN (4,36 €);

    Pour un contrat de 24 mois, PureVPN est le plus abordable (1,75 €), suivi de Surfshark (2,00 €).

    ExpressVPN est un VPN d’excellente qualité, mais la qualité a toujours un prix…


    Il existe aussi une chaîne YouTube de test de VPN en français, VPNpro en Français: ses vidéos vous permettront d’avoir une idée plus clair sur le fonctionnement de chaque VPN en particulier.

    https://www.youtube.com/channel/UC_t...Xxv4BgTWQW3gQA

    https://blogue-sc.com/2022/02/se-pre...e-sur-internet
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    Lettre ouverte à Jean Castex

    Nouvelle lettre de Vincent Reynouard


    Le 27 janvier dernier, à Auschwitz, M. Castex a souligné la lutte menée par la République française contre le révisionnisme: «C’est un combat juridique, mais c’est d’abord un combat politique, idéologique, une vision de la société et de l’humanité.» Par ces propos, il a rappelé que l’Histoire officielle est un outil idéologique et politique. Cependant, si cette Mémoire est fausse ou frelatée, alors le modèle que M. Castex et son gouvernement imposent risque de conduire l’humanité au désastre.

    https://blogue-sc.com/2022/02/lettre...-a-jean-castex
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    A la rencontre de Vincent Reynouard

    14 févr. 2022

    En cavale depuis que deux inspecteurs se sont présentés à son domicile, le 25 octobre 2021, Vincent Reynouard n'avait plus donné de signe de vie jusqu'à son article du 22 décembre 2021 publié dans l'hebdomadaire Rivarol.

    Que s'est-il passé depuis cette journée du 25 octobre ? Comment Vincent Reynouard vit-il sa cavale, comment s'organise-t-il ? Les Éditions Critias ont pu le rencontrer et lui poser ces questions. Vincent y répond, puis se livre peu à peu, revenant sur les événements qui ont marqué sa vie, sur son engagement révisionniste, son évolution spirituelle... et nous livre ses projets pour l'avenir.

    Notre maison d'édition : https://editions-critias.com/

    Visitez le blogue de Vincent Reynouard : https://blogue-sc.com/

    Retrouvez Vincent Reynouard chez les Editions Critias :

    https://editions-critias.com/
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    Entretien d'actualité avec Vincent Reynouard

    Février 2022

    Demain mardi 22 février, à 20h, découvrez en exclusivité sur notre chaine YouTube notre dernier entretien d'actualité avec Vincent Reynouard

    https://www.youtube.com/channel/UCnb...KJlsLFoIzCSotg
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    POUR UNE HISTOIRE DÉBARRASSÉE DES NOMBREUX MENSONGES
    Vincent Reynouard: Je suis ingénieur chimiste et historien révisionniste français. J’expose de la façon la plus pédagogique possible les arguments révisionnistes. Je propose, j’expose, je n’impose rien. Chacun doit (ou devrait) être libre de se faire une opinion sur le sujet. .


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