Le nouveau Sans Concession est paru

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Comment je vois la crise qui sauvera la race blanche

Des internautes objectent à Vincent Reynouard: "Depuis des années, vous parlez d'une crise qui doit venir et qui provoquera le réveil des peuples blancs. Mais rien ne vient et pendant ce temps, le grand remplacement se poursuit, soutenu par une propagande de tous les instants. Or, si rien ne change, dans trente ans, il sera définitivement trop tard".
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard leur répond. Il explique pourquoi, à ses yeux, une crise qui doit sauver la race blanche surviendra inévitablement. Toujours optimiste, il déclare: "je suis persuadé que la race blanche se sauvera ; mais à mon avis, les circonstances de sa résurrection seront différentes de celles qu'ils attendent. Une lutte terrible viendra, qu'il faudra soutenir ; toutefois, les ennemis ne seront pas - ou pas seulement - raciaux. Mon opinion se fonde sur une réalité incontestable: la technique évolue sans cesse pour devenir de plus en plus performante..."

La suite dans la vidéo...

https://gab.com/Reynouard

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Hitler contre l'art dégénéré: un message très actuel

Il y a 80 ans, à Paris, la France accueillait l'exposition du sculpteur allemand apprécié par Hitler : Arno Brecker. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard revient l'importance de la guerre menée par Hitler contre l'art dégénéré.

«Il nous faudra lutter ensemble pour résister à la poussée nègre qui, d'ondes en studio, de studios en théâtres, va s'efforcer, au son du tam-tam, de venir piétiner les derniers vestiges de la vraie musique et barbariser notre jeunesse».

Qui a écrit cela et quand? Hitler en 1924? Céline en 1936? Réponse dans cette vidéo...

https://gab.com/Reynouard

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La logique infernale des droits de l'homme

L'hebdomadaire «Rivarol» vient de perdre les aides accordées à la presse. L'objectif du pouvoir est de l'asphyxier financièrement. Certains dénoncent une liberté d'expression à géométrie variable. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard analyse l'affaire et démontre que la répression contre le «torchon antisémite Rivarol» s'inscrit dans la logique des droits de l'homme, une logique infernale qui réduit nécessairement au silence le camp national.

Il appelle à soutenir Rivarol mais invite également son directeur à une discussion amicale sur le catholicisme qu'il défend bec et ongles.

https://www.bitchute.com/video/PDiPnVA5XGTT/

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Message au Maire d'Oradour-sur-Glane

A dix jours des commémorations du drame d'Oradour, Vincent Reynouard diffuse en France, à des adresses ciblées, une brochure qui résume son livre à venir sur cette tragédie (titre : "Oradour : le cri des victimes"). Dans cette vidéo, il explique au maire d'Oradour qu'en agissant ainsi, il met en pratique les enseignements de... la grande Résistante Lucie Aubrac. Une vidéo savoureuse!

https://tv.gab.com/channel/reynouard...0f664443f3b494

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Sur RTL, les mensonges par omission du survivant d'Oradour

Ce matin, le dernier rescapé encore en vie du drame d'Oradour, Robert Hébras, a été interrogé sur RTL. Il a répété son récit habituel, affirmant par exemple que la population n'a pas compris pourquoi les Waffen SS faisaient irruption dans le village : "Même le maire n'a pas réalisé".

Ah? Alors pourquoi entre 130 ou 150 habitants ont-ils tenté de fuir ou de se cacher? Pourquoi Martial Machefer a-t-il brûlé les papiers qui pouvaient lui nuire avant de s'enfuir en courant? Pourquoi Marcel Darthout s'est-il empressé de cacher un revolver sous un tas de pommes de terre?
Il y avait donc des armes prohibées à Oradour? Oui. Car lorsque, au cours du rassemblement de la population, le maquisard Mathieu Borie entendit des coups de feu, il pensa: "Quelques-uns qui ne veulent pas suivre et engagent le combat". Cette pensée démontre qu'à Oradour, il y avait des gens armés...

D'ailleurs, Marcel Darthout décrit ainsi le départ des femmes et des enfants vers l'église, alors que RIEN de grave ne se serait (encore) passé : "je vois le groupe de nos mères et de nos compagnes qui s’éloigne lamentablement. Ce sont des femmes qui pleurent, d’autres qui s’évanouissent. Elles se soutiennent. J’aperçois…, pour la dernière fois, ma femme, qui, en larmes, disparaît avec les autres au tournant de la rue."

Témoignage isolé ? Non. Marguerite Rouffanche, raconta: "Au moment où je partais avec les femmes et les enfants, des scènes d’adieux déchirantes ont eu lieu. Les Allemands ont toléré ou n’ont pu empêcher que nous embrassions les nôtres". Des "scènes d’adieux"! N’est-ce pas exagéré? Nullement. Le rescapé Clément Broussaudier décrit ainsi ces moments fatidiques: "l’officier a fait partir en groupe et encadré par les Allemands, les femmes et les enfants, en direction de l’église. Auparavant, ils nous ont fait placer, face contre le mur. Cela n’a pas empêché quelques femmes d’accourir pour embrasser leurs maris, pères ou parents avant de se séparer. D’autres femmes sont tombées évanouies". Tout cela, je le répète, alors que, d'après la thèse officielle, RIEN de grave ne s'était passé.

Si j'étais opposé à Robert Hébras, je lui poserais ces questions, en donnant la référence précise de chacune des citations.

Dans mon ouvrage à paraître, j'évoque, documents à l'appui, l'inquiétude de la population. Elle démontre qu'Oradour n'étais pas ce village tranquille décrit par la thèse officielle, une thèse que Robert Hébras répète inlassablement.

Je vous souhaite à Toutes à et à Tous une bonne journée,

Vincent

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Une brochure révisionniste sur Oradour en accès libre

Les commémorations du drame d'Oradour-sur-Glane auront lieu aujourd'hui 10 juin. Le ministre de la Justice représentera le Gouvernement. Depuis quelques jours, de nombreux articles paraissent à propos du dernier survivant, Robert Hébras, qui transmet le flambeau de la Mémoire à sa petite-fille Agathe, historienne de formation.

Dans ma dernière vidéo qui s'adressait au maire d'Oradour, j'ai évoqué une brochure que nous avons envoyée à des adresses ciblées.

En attendant l'ouvrage qui paraîtra bientôt, cette brochure est désormais en accès libre, sous la forme d'un PDF. Le lien de téléchargement figure au bas du message.

Pourquoi l'avoir mise en accès libre? Parce que n'ayant pas accès aux médias, notre seul moyen de diffuser l'information repose sur VOUS. Je vous invite donc à faire parvenir cette brochure à des gens susceptibles d'être intéressés.

Il ne s'agit pas de provoquer inutilement, en l'envoyant à des personnes qui, de façon évidente, s'en offusqueront. Il s'agit juste de l'envoyer à des proches, voire à des journalistes qui, aujourd'hui, publieront de bonne foi des articles sur Oradour.

Je remercie celles et ceux qui nous aideront dans la diffusion de la thèse révisionniste sur Oradour. Lorsque la vérité triomphera, cette victoire sera aussi la vôtre.

Je vous souhaite à Toutes et à Tous une agréable journée,

Vincent.

Lien de téléchargement :

https://drive.google.com/file/d/14YO...-MQ9Y0vF5/view

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Une synthèse générale de mon travail révisionniste et politique : le bilan de 30 ans de recherches et de réflexions

Je viens de terminer le résumé des principaux arguments que je développe depuis 30 ans. Il donnera lieu à une série de vidéos et à un livre d'environ 200 pages.

Ce travail redresse les mensonges que les vainqueurs de 1945 imposent depuis l'écrasement du IIIe Reich. Les mensonges historiques, mais aussi politiques. Car il ne faut pas l'oublier: je suis avant tout un militant politique. Je me suis engagé dans la voie révisionniste après m'être aperçu que nos dversaires utilisaient la Mémoire (déformée) pour empêcher toute renaissance nationale. A l'époque, leur argument se bornait à : "Le Pen = Hitler et Hitler, on sait où ça a mené." La lecture du livre de Maurice Bardèche, Nuremberg ou la Terre promise, écrit en 1947, a été pour moi une révélation. Je me souviendrai toujours cette nuit où j'ai dévoré cet ouvrage après l'avoir choisi dans la bibliothèque d'Henri Roques. Émerveillé par la préscience de l'auteur qui avait compris avant tout le monde les conséquences mortelles du jugement de Nuremberg, j'ai décidé de dédier ma vie au révisionnisme en suivant le professeur Faurisson, la politique en plus. Cette nuit-là, ma vie a basculé.

32 ans plus tard, je ne regrette rien. Certes, j'ai vécu beaucoup d'épreuves. Mais au final, je sais que ces épreuves m'ont toujours permis de réaliser la mission que j'avais choisie. Depuis dix ans par exemple, des gens me demandaient de rééditer mon livre sur Oradour et de publier un travail qui synthétiserait mes recherches. Mais trop dispersé, je ne l'avais jamais fait. La tentative d'arrestation à laquelle j'ai échappé en octobre dernier m'a contraint à fuir avec le mimimum et à tout laisser derrière moi: mes affaires, mes archives non digitalisées et mes cours particuliers. Vivant désormais dans une petite chambre avec juste un ordinateur, j'ai pu me consacrer à ces travaux.

L'ouvrage sur Oradour est terminé. Il sera long de 350 pages environ, avec de très nombreuses illustrations.

A l'heure où j'écris, je termine mon travail de synthèse. Vous en trouverez, en illustration, la table des matières.

Ignorant ce que l'avenir me réserve, sachant que mes adversaires attendent mon arrestation (ils m'ont encore dénoncé aux autorités suite à la diffusion de la petite brochure sur Oradour et je gage qu'une enquête est en cours...) je terminerai le travail au plus vite.

Je remercie du fond de coeur ceux qui m'encouragent et qui me soutiennent afin de m'aider à tenir. Je le redis: mon destin n'a plus aucune importance, je n'ai plus que mon ordinateur, mon ardeur révisionniste et vos marques d'amitié. Mais cela me suffit et me convainc d'aller jusqu'au bout, sans esprit de recul.

Je vous remercie.

Vincent

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Quand le national-socialisme prouvait son avantage

L'article que je reproduis est paru voilà tout juste 80 ans*. Il informait que le ministre du Ravitaillement venait d'interdire l'envoi de beurre dans les colis familiaux. Une petite nouvelle en apparence, mais riche d'enseignements.

Sous l'Occupation, de tels envois étaient importants, surtout pour les familles modestes qui, dans les villes, pouvaient difficilement se ravitailler. Celles qui avaient la chance de compter des proches habitant les campagnes pouvaient recevoir du ravitaillement issu des productions familiales ou acheté sur les marchés locaux. Le beurre figurait parmi les produits les plus importants.

Seulement voilà: l'article explique que les envois par colis familiaux avaient favorisé le trafic, c'est-à-dire le marché noir. Or, tout le beurre vendu illégalement à des prix prohibitifs se trouvait retiré du circuit légal où les prix étaient contrôlés, afin de ne pas handicaper les familles modestes. Là comme ailleurs, donc, le marché noir pénalisait les éléments les plus pauvres de la communauté nationale.

Le journaliste pointait les causes immédiates du trafic. La principale était celle-ci: afin que le beurre vendu légalement ne soit pas trop cher, l'État achetait le lait à un prix très bas. En conséquence, de nombreux producteurs préféraient garder leur lait et en faire du beurre pour... faire leur beurre.

Le journaliste proposait ensuite des remèdes: ils passaient par des contrôles renforcés. Certes, c'était alors de la seule solution envisageable et praticable à court terme. Mais l'efficacité des contrôles se révéla limitée, car les producteurs et les trafiquants trouvaient la parade, allant même jusqu'à corrompre des contrôleurs eux-mêmes.

Dans cette affaire, il aurait fallu que les producteurs de lait veuillent servir la communauté nationale avant tout. Autrement dit: ils auraient dû vouloir privilégier le Bien commun avant leur bien particulier.

Au sein de l'Allemagne nationale-socialiste, c'était le cas. En France, sauf exception, c'était le contraire. Pourquoi? En septembre 1938, un éditorialiste avait donné la réponse: "nul régime ne nous inspire plus de dégoût que la dictature et nous préférons encore notre pagaille générale et chronique à l'ordre mussolinien, à l'organisation hitlérienne."** Sans doute. Mais un jour où l'autre, ce refus de l'ordre se paie. Hier, c'était avec le beurre. Mais au-delà, c'était à cause d'une défaite militaire issue de cette pagaille générale. Fort heureusement, le vainqueur, Adolf Hitler, avait donné sa chance à la France. Cette chance, les Français ne l'ont pas saisie: ils voulaient leur pagaille et l'American way of life. Aujourd'hui, c'est le pays tout entier qui sombre.

Si, avec la France et l'Europe, Hitler avait gagné la guerre, nous n'en serions pas là. Il est urgent de réhabiliter le national-socialisme.

*Paris Soir, 17 juin 1942, p. 1

** Voy. La Charente. Organe républicain quotidien, 1er septembre 1938, p. 1.

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L'importance politique du révisionnisme

Suite à mon dernier message qui concluait en l'importance politique du combat révisionniste, des militants nationalistes m'ont exprimé leur désaccord. Les deux arguments principaux qu'ils m'opposent sont les suivants :

1°) Le passé, les gens s'en moquent. D'ailleurs, ils n'en parlent pas. C'est l'avenir qui les intéresse. 2°) S'engager dans le combat révisionniste, c'est se suicider socialement et politiquement. Reynouard en est la preuve vivante. Il est vu comme infréquentable et se trouve traqué par les autorités jusque dans son exil.

Me fondant sur ce que j'ai vu en trente ans de militantisme, sur mes lectures et sur mes réflexions, je réponds à ces deux arguments.

https://tv.gab.com/channel/reynouard...8b1e51f1dbf1f1

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Soutenez ma série : "Pour sauver l'Europe blanche: réhabiliter le national socialisme"

Hier, j'ai enregistré le premier épisode de la série qui résumera trente années de combat et de réflexions (pour le plan, voir mon message du 14 juin).

Elle durera huit heures environ, découpées en vingt vidéos. Espérant sortir une ou deux vidéos chaque semaine, la diffusion devrait durer environ trois mois.

Sachant que je ne donne plus de cours particuliers, donc que je ne gagne plus rien et que j'arrive au bout de mes réserves, 1500€ me seront nécessaires pour tenir ces trois mois.

Je lance donc un appel à celles et à ceux qui peuvent me soutenir financièrement.

Pour m'envoyer un don, si minime soit-il, il suffit de cliquer à l'adresse de mon blogue : http://blogue-sc.com/devenez-mecene.

Je vous remercie chaleureusement et vous souhaite une agréable journée.

Vincent