Le nouveau Sans Concession est paru

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Simone Veil, menteuse sur la Shoah

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard démontre que Simone Veil mentait à propos de sa déportation à Auschwitz.

Cette accusation, il est prêt à en répondre face à des historiens et à des survivants du camp.

https://www.bitchute.com/video/nhNVME7X42J5/

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Merci à Toutes et à Tous

Voici un message publicitaire pour la brochure "Mais Qui ? Lettre ouverte à Cassandre Fristot"

Je remercie chaleureusement celles et ceux qui m'aideront à la diffuser sur le Net.

Lien pour commander : https://editions-critias.com/produit...andre-fristot/

Merci,

Vincent

https://www.bitchute.com/video/Ehe7LPyxFnbj/

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Pass sanitaire et intelligence artificielle

Savez-vous pourquoi on développe l'intelligence artificielle ? Réponse ici.

https://www.bitchute.com/video/Gcs3EM3VNRST/

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Un nouveau fil «anti-négationniste ». Un prof d’Histoire acceptera-t-il le débat ?

Le 13 octobre, un film «anti-négationniste» –encore un– paraîtra sur les écrans : «L’homme de la cave». En tant que premier concerné, Vincent Reynouard se fonde sur la bande-annonce et sur un spot publicitaire qui prône la vaccination anti-covid en disant qu' "on peut débattre de tout" pour alerter la jeunesse et l'inviter à lancer un défi aux professeurs d'Histoire.

Nous invitons celles et ceux qui le peuvent à contribuer à la diffusion de cette petite vidéo. Merci beaucoup.

https://www.bitchute.com/video/CWXSauEPytPP/

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Le sens réel d'une photo

Un Internaute m’envoie cette photo: fin août 1939, le ministre des Affaires étrangères du Reich, von Ribbentrop, serre la main de Staline.

Cette photo serait une preuve flagrante de l’identité entre le nazisme et le communisme.

C’est toutefois confondre idéologie et politique. Les circonstances provoquent parfois un écart entre les deux. Ce fut le cas en 1939.

Depuis plusieurs années, en effet, les démocraties occidentales pratiquaient bon an mal an une politique d’encerclement de l’Allemagne. En avril 1935, par exemple, Pierre Laval déclara au Premier Ministre britannique Ramsay McDonald: "faisons la chaîne. Il n’y a que ce moyen de mettre Hitler dans l’impossibilité de nuire. Faisons la chaîne de Londres à Moscou." (Voy. la déposition de Laval au procès Pétain, 3 août 1945, J.O., p. 185).
Cette politique n’était pas secrète. Le 30 mars 1935, un organe français parla de faire barrage à Hitler. Ce barrage, c’était "l’alliance entre la France, l’Italie et la Russie, appuyées par l’Entente balkanique (…). Hitler saura que ce barrage formidable ne peut être ébranlé. Il y a plus. La bête sauvage est enfermée dans une cage où il n’y a plus beaucoup de nourriture (…). Un coup de pouce… et il s’effondrera. Le boycottage économique et financier est une arme prodigieuse" (voy. Aux Écoutes, 30 mars 1935, p. 33-34).

Lorsque, en janvier 1939, l’Allemagne s’aperçut qu’il serait impossible d’arriver à un accord pacifique avec la Pologne (car elle subissait l’influence de l’Angleterre et de la France), von Ribbentrop dit à ses collaborateurs: "Nous n’avons plus désormais qu’une seule ressource si nous volons échapper à l’encerclement: c’est de nous entendre avec les Russes" (voy. J. von Ribbentrop, De Londres à Moscou. Mémoires, p. 129).

Pourquoi ? Parce que fin 1938, du côté américain, on espérait cyniquement qu’une guerre éclaterait entre l’Allemagne et la Russie. Elle permettrait aux démocraties d’en finir avec le Reich. Dans un rapport, l’Ambassadeur polonais à Washington avait écrit : "les États démocratiques [ont] absolument besoin de deux années encore avant d’avoir parachevé leurs armements (…) Ce serait le désir des États démocratique de voir se déclencher à l’est un conflit belliqueux entre le Reich allemand et la Russie (…) l’Allemagne [se verrait] condamnée à une longue guerre qui l’affaiblirait. C’est alors seulement que les États démocratiques (…) attaqueraient l’Allemagne et la contraindraient à capituler." (voy. le rapport de J. Potocki au ministre des Affaires étrangères polonais, 21 novembre 1938).

Voilà pourquoi, à partir du printemps 1939, Hitler accepta l’éventualité d’un pacte germano-soviétique. Lorsque, en août 1939, il apparut que la France et l’Angleterre voulaient s’entendre avec Moscou, le Führer brusqua les choses fit conclure le pacte.

Telle est l’origine de cette photo: en signant avec Staline, Hitler obéissait à des considérations purement diplomatiques. L’idéologie était sans aucun rapport.

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Question juive : quand Céline me donnait raison

Le 21 novembre 1943, Céline accorda un entretien à "l’Émancipation nationale" de Jacques Doriot. On y trouve des réflexions qui appuient les positions de Vincent Reynouard sur la question juive.

https://www.bitchute.com/video/ULfcJKyChfaJ/

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Contre la dictature sanitaire, le combat principal rester à mener

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard dresse le bilan des manifestations contre le pass-sanitaire, le 4 septembre 2021, après une rentrée qu’on annonçait «explosive». Puis il indique ce qui, à ses yeux, reste la voie à suivre pour lutter efficacement contre la dictature sanitaire.

https://www.bitchute.com/video/XKGVkCvUHzsI/

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"Mais qui ?" Ce que l’antijudaïsme m’a appris

A l’heure où le slogan "Mais Qui?" fleurit dans les manifestations, entraînant une réaction sévère des autorités, Vincent Reynouard intervient: il explique ce que trente ans d’études et de militantisme politique en faveur du national-socialisme lui ont appris sur la "question juive". Ses expériences et ses réflexions l’ont mené fort loin, sur des terrains qui dépassent largement le problème juif mais qui ouvrent la voie à une sauvegarde de notre civilisation.

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La candidature plus que probable d'Eric Zemmour à l'élection présidentielle provoque des querelles dans nos milieux. Les "pros" et les "antis" se heurtent parfois violemment.

Je resterai en dehors. Voulez-vous voter Zemmour? Alors votez pour lui. Refusez-vous catégoriquement de voter Zemmour? Alors ne votez pas pour lui.

"Mais le vote Zemmour fera perdre des voix à Marine Le Pen." A cela, le partisans du polémiste répondront que de toutes façons, Marine n'a aucune chance de remporter les élections. J'ajouterai : "Pas plus que Zemmour".

Car le problème n'est ni Zemmour, ni Le Pen; le problème réside dans le peuple français.

Un dessin publié par Rivarol présente Cassandre Fristot avec une pancarte sur laquelle on lit : "Croyez-moi, le peuple se soulève." Peut-on la croire?

Sous le titre : « Lassitude », H. Saint-Pérey écrit:

"Trompé, volé, bafoué de toutes les façons, le pauvre peuple français est las, écœuré, découragé, déprimé. Il n’ose plus concevoir l’espoir d’une délivrance et d’un rappel à la gloire et au bien-être ; l’avenir lui fait peur (...) Tous les partis politiques sans exception, en tant que partis, lui inspirent de la défiance, pour ne pas dire du dégoût. Il n’a foi en aucun d'eux. Tous les événements aussi lui sont indifférents. La politique extérieure ne peut plus le préoccuper, parce qu’il se sent trompé et trahi... Alors, à quoi bon, n’est-ce-pas, se casser la tête?... Ce qui est fait est fait. Arrive que plante! Les persécutions, les infamies de l’intérieur, les scandales quotidiens le laissent froid. Une canaillerie de plus ou de moins, qu’importe sur le tas ! Voici vingt ans qu’on lui en sert tous les jours et des corsées, des vertes et des pas mûres!… Voilà, tel quel, ce me semble, l’état d’âme de l’immense majorité de nos concitoyens."

Plus loin, il lance cet appel: "Voulez-vous hâter de plusieurs années le triomphe de la souveraineté nationale? — Organisez-vous ; faites connaître le programme plébiscitaire (que les quatre cinquièmes des Français ignorent), — et travaillez les cervelles au lieu de crier et de montrer le poing."

De quand date ce texte? Du 18 juillet... 1903*. Oui, il a 118 ans !

S'il garde toute son actualité, c'est parce que l’appel qui le concluait n’a pas été entendu. Tout comme ceux lancés par Jean-Marie Le Pen dans les années 80 et 90. Tout comme ceux des anti-pass sanitaire. A chaque fois, seule une minorité a réagi.

Voilà pourquoi à vue humaine, je ne nourrir guère d'illusion au sujet d'un soulèvement populaire.

Cassandre Fristot, elle, y croit. Rompant son silence, elle a accordé un entretien à Présent. J'en espérais beaucoup. Ma prochaine vidéo lui sera consacrée. Arguments à l'appui, je répondrai courtoisement à Madame Fristot, à laquelle je garde mon soutien.

* Voy. L'Appel au peuple de Paris, 18 juillet 1903, p. 1

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Je ne me découragerai jamais

Je ne me découragerai jamais. Le mouvement anti-pass sanitaire s’essouffle... Et alors? Le combat en devient-t-il moins légitime pour autant?

Depuis 20 ans, le révisionnisme est interdit par la loi, chassé des grands médias, rejeté aux marges… Et alors? La vérité historique a-t-elle changé pour autant? Ne mériterait-elle plus que l’on se batte pour elle?

Je ne me découragerai jamais. Parce que je ne subordonne pas mon combat à l’espoir d’une victoire collective. En effet, luttant pour le Vrai, le Beau, le Noble:

•la lutte en elle-même (quelle que soit son issue), me permet de me bonifier.

•je sers une cause qui me dépasse, une causse universelle. Servir signifie se donner tout entier, jusqu’au bout, sans se soucier ni de la victoire espérée, ni de la défaite possible. Car victoire ou défaite, ma récompense sera la même à l’heure de ma mort.

Voilà pourquoi aujourd’hui plus que jamais, le découragement m’est inconnu. Certes, à vue humaine, je suis très pessimiste. Mais cela ne change strictement rien. Déjà parce que ma vue humaine est celle d’une taupe: que puis-je savoir du futur. Ensuite parce que même si un messager du futur venait me prévenir de l’échec du combat, je dirais: «Et alors? J’aurai accompli mon devoir. Si, collectivement, il aura échoué, au niveau personnel, j’en aurai retiré un bienfait immense.»

Ne jamais s’inquiéter du succès collectif. Toujours rester dans la voie droite que la Providence nous trace. Quel sentiment de légèreté!

Je vous souhaite un bon dimanche à Toutes et à Tous,

Vincent